Riham Al-Mansur ll S.E.C.R.E.T-D.E.F.E.N.S.E ll

Invité

₪ CARTE D'IDENTITE ₪

۞ Nom :Al-Mansur

۞ Prénom(s) :Riham

۞ Surnoms :Elizabeth ou encore Liz’. En effet elle ne révèle jamais son identité à qui que se soit, ainsi les gens ne la connaissent que sous le prénom d’Elizabeth.

۞ Âge :19 ans

۞ Statut :Actuellement elle est recherchée par son père, un des plus influents et riches Sultans de Jazerath, pour avoir assassiné l’héritier au trône à priori. En clair elle est recherchée pour ensuite être condamnée à mort à Jazerath.

۞ Rang social :Une simple aubergiste à priori mais il lui arrive de rendre différents services (une informtion, un meurtre…etc…)quand elle a besoin d’argent ou quand elle en a envie tout simplement.

۞ Orientation sexuelle :Hétérosexuelle

₪ ASPECT PHYSIQUE ₪

۞ Physique :
Riham est une jeune fille à la peau tânée et aux cheveux d’un noir de jais à la base. En effet avant de subir une transformation radicale pour son apparence physique, elle rassemblait tous les critères typiques d’une Jazerathis c’est-à-ire des formes généreuses, un corps solide, une peau ambrée et bronant avec facilité sous le soleil et une abaondante chevelure soyeuse et brillante. Elle été fière de son allure jusqu’à ce qu’à cause de l’assassinat de son demi-frère, elle dut changer radicalement. Etant pouruivi par un bataillon d’espions assez doués, elle n’avait pas eu d’autre choix que se changer et adopter un style totalement différent et à l’opposé de son caractère ou même de ses préférences avec l’aide d’un Calife qui possède un sang noble de Belmonte.

Dorénavant elle ressemble plus à une Françoise qu’à une Jazerathis.Tout d’abord elle n’a plus un seul air d’assassin d’Elite, rôle qu’elle occupée dans Jazerath, et on a d’avantage l’impression de faire face à une douce jeune fille, pleine d’innocence et de naïveté. En effet sa peau de bronze a du céder place à une peau d’une pâleur incroyable et ses yeux noirs brillants s’étaient adoucis avec le bleu-océan dont ils se sont parés. Elle a également du abandonner les formes voluptueuses dont elle s’était parée depuis quelques années seulement pour des contours plus fins et plus plats. Sa seule consolation reste les longues jambes qu’elle avait pu conserver au moins.
On dirait une petite poupée de porcelaine fragile à manipuler avec délicatesse et non une jeune fille de 19 ans pleine de vitalité et d’énergie débordante.

Malgré tout, certaines choses ne peuvent pas changer. Par exemple sa force : elle a du s’entraîner avec acharnement quinze ans pour être la plus rapide, la plus agile afin d’accéder au rang d’assassin au service du Sultan, un grand honneur si l’on réussit chaque mission donné. Un tel savoir et des années d’entraînement dans la sueur, le sang et le sable ne peuvent pas s’oublier par un simple coup de baguette magique, ainsi derrière ses airs de poupée innocente peut se cacher une fille qui sait très bien se défendre en manipulant toute sorte d’arme blanche, en particulier les sabres.
Une dernière chose qui colle difficilement à cette apparence vient de son caractère. Deux choses totalement opposées qui étonnent plus d’un.

۞ Allure :
Riham n’a pas une allure pompante exceptée ses robes qui lui donnent des airs de bourgeoise. Elle travaille comme tout le monde avec sérieux et ne s’arrête pas un instant. Elle marche toujours avec ce pas léger et enveloppe ses clients d’une douce odeur de jasmin ou de fleur d’orangé. Une petite poupée qui tournoye sans cesse et sans se reposer.

۞ Goûts vestimentaires : Ayant changer radicalement d’apparence et de style, elle est bien obligée de continuer sa transformation en adoptant les modes de vie de Belmonte, c’est-à-dire les robes bouffantes, à froufrou et pleines de couleurs. Elle a abandonner à regret ses habits de Jazerathis plus ample et plus léger pour celles de Belmonte où le corset l’étouffe presque. Riham s’habille toujours avec une certaine élégance malgré qu’elle soit une aubergiste, travaillant sous les services de son frère, un autre prince banni pour des bagatelles et faux témoignages.

۞ Signes particuliers : Un tatouage sur tout le dos. Des sortes d’arabesques, de marques trybales sont gravés et le tout décoré par un texte écrit en Jazerath ancien. Seule elle et une poignée de personne à Jazerath savent ce qu’il signifie. Sinon tout les Jazerathis savent qu'une personne possédant ce tatouage est très haut placé dans tous le Jazerath et dans l’estime du Sultan. Ainsi elle doit constamment le cacher de peur de tomber sur un espion ou assassin qui veut sa mort.

₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪

۞ Généralités :
Une poupée innocente et fragile ? C’est loin d’être le cas. Riham a du grandir dans un environnement plein de conflits, de jalousie et de complots entre les concubines, les épouses, les héritiers, les héritières, les favorites, les domestiques …etc… Par conséquent elle est très méfiante et ne se laisse pas berner facilement par des blagues enfantins ou encore par des pièges qui tiennent difficilement debout. Ce point de son caractère n’a fait que se développer pour aboutir à un manque confiance total envers son entourage. Vous pouvez être son ami pendant dix ans, elle doutera toujours de vous comme si c’était la première que vous vous rencontrez. Cela agace sonf rère mais il ne dit rien, sachant mieux que quiconque le demi-enfer que Riham a subi inconsciemment.
De plus elle n’est pas très sentimentale. En effet elle a fait parti d’une escouade d’assassin, une Elite, qui tuait sans aucun scrupule et détruisait un village entier si tel était les ordres du Sultan. Ainsi, cette adolescente a déjà goûté au goût bien amer d’un massacre, de meurtre d’innocents et même de tortures sans distinction d’âge, d’ethnies. Elle suivait docilement les ordres de son père dans l’espoir de lui plaire et de plaire ainsi à sa mère. Si elle agissait comme ca, c’était pour avoir droit à la reconnaissance de ses parents et pouvoir à nouveau voir sa mère sourire. Malheureusement le temps a passé et plus elle reste à Belmonte, loin de Jazerath, elle commence à sentir de la culpabilité et de la honte. Donc il n’est pas étonnant qu’elle refuse de plus en plus des demandes d’assassinats de nobles ou autres personnes. Au contraire il lui arrive de sauver des gens et d’être un peu plus douce et compatissante, mot n’ayant pas existé dans son vocabulaire avant d’arriver dans cette ville, envers les orphelins ou pauvres et de les sauver si elle le peut de temps en temps. Pourtant ces actes minimes ne rachèteront jamais tous les horreurs à laquelles elle a assisté et dès qu’elle y pense, un soupir plein de regret s’échappe de sa petite bouche, et se regarde des heures durant dans le miroir à la rechercher de l’ancienne Riham, celle qui n’a pas peur et aveuglée par la rage de réussir. Elle ne trouve plus rien, seulement un regard étrangement bleu et qui ne semble pas être la sienne.Un changement radical de son apparence semble apporter de graves troubles de personnalités et il semble que se soit le cas pour Riham. Elle-même commence à confondre entre Riham ou Elizabeth, Riham étant un passé turbulent et difficile et Elizabeth qui n’est qu’un intru, un substitut pour échapper à un problème.
Si elle est toujours à Belmonte c’est qu’elle tergiverse encore sur sa décision : soit elle retourne à Jazerath et trouve le pot au rose et celui qui l’a accusé faussement d’un crime grave, soit elle reste à Belmonte avec ce corps et vivre une nouvelle vie.

Enfin elle n’est pas non plus une boule de défauts et de complexes. En dehors de cette déprime et ce problème majeure de personnalité, elle est plutôt joyeuse et vous sourit très souvent. Sa voix tinte dans toute la salle sans se fatiguer pour demander les commmandes ou encore pour récolter quelques informations. Effectivement mademoiselle est d’une curiosité insatiable et pose uen quantité incroyable de questions avec plus ou moins de délicatesse et à coup de boissons fortes pour les plus réticents. Autre bizarrerie, elle est un véritable aimant à problème. A croire que là où il y a un conflit ou une dispute ou encore un événement important ou meurtrier, elle s’y retrouve. On peut dire qu’elle est très souvent dans les situations les plus grotesques et déjantés au plus dangereuses. Quand vous lui demandez comment elle fait, elle répondra seulement « J’en sais rien moi ! Si je pouvais je voudrais bien vivre pépère, quoique je m’ennuirais vite. ». Une dernière chose à noter : Mademoiselle est d’une franchise incroyable la plupart du temps.

۞ Vices :Son vice principal serait peut-être sa capacité à se fourrer n’importe où et là où elle ne devrait pas y être. En effet elle peut fouiner partout sans gêne. Sinon elle est très attirée par l’or, les bijoux, les robes de luxes…bref tout ce qui est chère. Comme son frère ne peut pas répondre à toutes ses caprices ou lubies, elle doit faire des petits boulots supplémentaires.

۞ Aime : Elle adore les informations croustillantes et intéressantes. Se balader dans les lieux les plus insolites ou tout simplement aller à des fêtes. Elle adora ca et surtout danser sous les lumières de la salle. Une danseuse et musicienne hors pair. En effet afin d’évacuer ou d’oublier son stress, elle s’est mise à jouer des instrument dès qu’elle avait du temps à Jazerath.

۞ N'aime pas :La violence ce qui peut paraître paradoxale car elle n’hésitera pas à taper si c’est pour se protéger. Mais en fait, par habitude ou instinct, son corps agit de lui-même pour mettre KO tout ennemi potentiel.

۞ Sociabilité :Étant de nature très méfiante, Riham est très peu sociable. Elle ne vous parlera d'elle-même et éludera pour beaucoup de questions un peu trop indiscrète. Si elle connaissait assez bien la personne, elle sera également très sociable comme elle l'est avec son grand frère Radja.

₪ HISTORIQUE ₪

۞ Passé :

Un jeune homme avait attendu toute la soirée pour que chaque esclave s'endorme. Puis il se leva, prit un morceau de papier de sa chaussure et se mit près du feu pour la lire. Pendant sa lecture, ses yeux n'arrêtaient pas d'observer les couloirs afin de remarquer les allées et venues probables qui lui seraient fatales. Effectivement la lettre n'était pas une simple déclaration d'amour mais une révélation inquiétante et venant même d'une princesse, celle avec qui il avait passé une bonne partie de son enfance et la seule avec qui il pouvait parler librement de son pays d'origine avant d'arrivée à Jazerath en tant qu'esclave de guerre. Après qu'elle est intégrée cette escouade d'assassin, les contacts s'étaient raréfié ainsi cette lettre était un peu précieuse. Voilà ce qu'elle disait:

Jin,

Avant de commencer à lire ma lettre, isole-toi dans un lieu où personne ne pourra te surprendre. Je sais que c’est difficile pour un esclave d’agir à sa guise mais tu es assez intelligent pour trouver un moment opportun.

Demain, après une disparition de deux jours, mon prénom circulera sur toutes bouches comme étant l’assassin du second prince héritier au trône. Je plains ma seconde belle-mère de perdre ainsi son second fils, je parie qu’elle doit se morfondre sur tous les privilèges qu’elle perdra et la montée en puissance de la troisième et dernière épouse avec son fils. C’est ainsi à la Cour Royal et dans le Harem, seul la femme ayant un fils digne de s’asseoir sur le trône a droit aux privilèges du Sultan mon père, Abdul Al-Mansur. Quant aux filles, elles doivent constamment déployer leurs talents pour remonter dans l’estime de leur père pour quelques bijoux. Ma mère faisait partie de ces femmes ambitieuses et elle m’a forcé à entrer au sein du groupe d’assassinat du Sultan. Malgré les horreurs que j’ai pu commettre et vue, je n’arrive pas encore à la haïr comme tu me le disais. En fait tu as raison, je ne vois pas l’étendue des dégâts que j’ai pu causer et me causer. Je risque de méditer longuement sur mon passé dans mon exil, loin de mon pays car oui, je dois fuir.
Quelqu’un m’a piégé Jin. Je ne sais pas ce qui a bien pu se passer. On m’avait seulement appelé dans la chambre de mon demi-frère et à mon arrivée, il était déjà mort, baignant dans son propre sang encore bien frais. A cet instant quelqu’un est entré et a commencé à hurler, en me traitant d’assassin. Certes je le suis mais pas pour le meurtre de mon demi-frère. Des gardes sont arrivés et je n’ai pas réagi, croyant naïvement qu’on se rendra compte de mon innocence mais ce ne fut pas le cas. On m’a mis dans une cellule pullulant de rats Jin et je n’ai pas pu fermer l’œil de peur qu’ils me mordent et m’arrachent un bout de chair ! On m’a réellement traité comme une criminelle et non une princesse. Mes tatouages ne me servent à rien alors que j’avais souffert pour les avoir et pour me les faire graver sur ma peau. Toute cette douleur a-t-il donc été vain ? Il semblerait que oui. Après une soirée dans la cellule sans nourriture, ni eau, on m’a sortit et portait jusqu’à une salle secrète qui faisait office d’une cour judiciaire. Ils ne m’ont pas laissé témoigner et chaque fois que j’ouvrais ma bouche pour plaider ma cause ou encore me défendre contre les tissus de mensonges qui se suivaient, mon crime s’alourdissait et mes cries de détresses devenaient l’équivalent d’un aveu d’un crime que je n’ai pas commis. Mon père n’a rien dit et n’a fait qu’écouter les témoignages, le visage bien triste. Tu sais Jin que j’étais l’une des rares filles qu’il aimait, et j’imaginais bien le sentiment de trahison qu’il doit ressentir à cet instant comme je le ressens face à ces faux témoignages. Je n’étais plus une princesse, juste un objet sur qui rejeter une faute bien grave. Finalement le Sultan dû donner la sentence qui était bien entendu la peine de mort. Dans toute l’assistance, seule mon père et mon professeur de musique exprimaient leurs chagrins à travers leurs yeux, le reste me regardait avec avidité et arrogance. J’étais devenue un objet plaisant à voir, apparemment il est intéressant d’assister à l’injustice que subie une princesse. On m’emmena à nouveau dans la cellule sombre et froide le soir, étouffante la journée. « Je vais mourir sans dire au revoir à Jin », voilà ce que j’avais pensé. Mais un visage bien familier m’apparut : mon professeur de musique françois, Armand. J’ai été surpris et d’avantage quand il a ouvert la porte de mon isoloir. Sans dire un mot il me recouvrit d’une cape et nous quittâmes cette prison. Des chevaux de très bonnes races attendaient silencieusement notre venue, nous les montâmes et je suivis Armand sans un mot. Mes questions se multiplièrent à la vue du palais du Calife Abd-Al-Salif où les esclaves ou autres domestiques nous accueillirent dans la plus grande discrétion. Ils nous conduisirent directement au Calife, seul dans sa salle de réception. Les domestiques disparurent de la pièce, ainsi il n’y avait plus qu’Armand, le calife et moi. Il m’apprit à cet instant qu’ils allaient modifier toute mon apparence grâce à son don. J’avais refusé sans réfléchir une seule seconde car je tenais à ce corps que j’ai côtoyé dix-huit ans. Mais après une multitude d’arguments, ils eurent raisons. Le Sultan mettra un prix sur ma tête ainsi des mercenaires ou autres pirates pourront me pourchasser à travers le monde s’ils ont vents de la somme donnée à celui qui me capturera. Il est donc primordial de me cacher et de changer. J’acceptai mais il y eut un problème déconcertant : l’art du calife ne put effacer les tatouages gravés sur mon corps. Sinon il avait réussi pour le reste. En effet il est impossible que l’on me reconnaisse car même moi je ne me reconnais pas. Tu es bien le seul, mis à part ces deux autres hommes, à qui je confie ce secret : Je ressemble à une Françoise. Les cheveux blonds platine, les yeux d’un bleu azur, la taille menue et fine et la peau d’une pâleur effroyable. Avec cette nouvelle apparence, je vais me déguiser en un moussaillon, embarquer dans un bateau pirate et m’enfuir de là dès que j’aurais franchi le sol de Belmonte.
Pourquoi vais-je là-bas ? A cause d’un de mes demi-frères. Te rappelle-tu que ma deuxième belle-mère avait également un premier fils qui fut le premier héritier en titre au trône, Rajda et qu’il me protégeait et me défendait face à l’éducation inhumain que mère me faisait subir? Je me rappelle encore des nombreuses disputes qu’il avait eu avec ma mère à cause du désir fou de cette dernière à vouloir à tout prix faire de moi un assassin au service du Sultan. C’était également lui qui avait été là pour me soutenir dans la douleur que les tatouages me causaient ou encore qui m’avait appris à jouer de quelques instruments afin que je garde encore un « soupçon d’humanité » selon lui. Il était aussi célèbre à cause du scandale de la « perle d’or », il avait offert une perle d’une valeur inestimable et enduite d’or à une esclave qu’il avait aimé en gage de sa fidélité. Par la suite des intrigants de la Cour ont rendu mon frère plus coupable, comme ils me l’ont fait. Il a fui, banni du royaume et plus personne ne sut ce qu’il advint.
En fait il est toujours vivant et il vit même avec cette esclave à Belmonte. Il tient une auberge qu’il nomma « le repos du désert » et avait envoyé Armand afin qu’il m’aide et me protège durant son absence. Je le en suis très reconnaissant et t’invite à venir me rendre visite si jamais tu échappes à ton maître un jour.

Cette lettre est bien longue je l’avoue mais je veux que tu saches toute l’histoire. Je ne puis écrire plus car Armand me presse. C’est presque l’aurore et je dois rejoindre un bateau-pirate sous le déguisement d’une jeune noble Françoise voulant faire le « Grand Tour », une nouvelle mode qui consiste à faire un tour du monde et visiter les lieux avec un intérêt culturel élevé.

Au fait je me nommerais Elizabeth je pense. Quand on était petite tu me racontais souvent des histoires quand j’échappais à la surveillance des gardes, et dans l’une d’elles il y avait une héroïne que tu aimais bien et qui me ressemblait. C’était Elizabeth non ?

Je pars définitivement Jin et n’oublie la Riham que j’étais. Toi aussi essaye de fuir à se désastre qu’est l’esclavage, tu ne le mérites pas.

Adieu,
Riham.

PS : Brûle cette lettre pour que personne ne puisse me poursuivre. J’espère pouvoir revenir dans mon royaume innocentée et glorieuse.

A contrecœur il jeta la lettre dans le feu. Il avait bien fait car quelques secondes plus tard, il entendit les tintements de l'armure des gardes. Quelques minutes plus tard, ils pénètrent dans le logis afin de vérifier qu'il n'y avait aucun réfractaire aux règlements. Jin avait eu le temps de se coucher et la lettre avait eu le temps de se consumer, se mêlant aux cendres des autres détritus.

۞ Famille :
Sa famille est assez nombreuse avec les deux autres épouses de son père par conséquent on va limiter ce cadre au plus privé et aux plus importants. Sa mère Kadima est toujours vivante et tente désespérément de prouver l'innocence de sa fille. Son père le Sultan suit l'affaire de près dans son palais mais ne fait rien pour sauver ou attraper sa fille. Elle est la fille unique de ce couple-là.
Actuellement la seule personne de sa famille vivant avec elle est son demi-frère Radja, qui a six ans de plus qu'elle.

₪ ET VOUS ALORS ? ₪

۞ Comment avez vous découvert le forum? Par partenariat

۞ Que pensez vous de ce dernier? J'adore *O* Le design, le contexte.

۞ Comment définiriez vous votre niveau RP?Je dirais un niveau correct avec des fautes ici et là mais normalement rien de bien grave.

۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Fréquente si les cours ne me tuent pas >.<

ღ Il sua Altezza *Femminiello* ღ

Accepté et validée, bienvenue sur Belmonte après une longue attente! =)

Invité

D2solé pour l'attente mais merci de votre patiente ô Admin Very Happy

!

ღ Il sua Altezza *Femminiello* ღ

Pas de quoi : quand on me préviens comme tu as fait, c'est normal d'attendre.

Aller, va t'amuser maintenant, tu l'as bien mérité. ^_^