Belmonte
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 Paolina Aquila

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Invité

Invité



Paolina Aquila _
MessageSujet: Paolina Aquila   Paolina Aquila Icon_minitimeVen 26 Nov - 19:56


Aquila
Paolina

Paolina Aquila 1011260825101001817197559
IDENTITE


۞ Nom : Aquila
۞ Prénom(s) : Paolina
۞ Surnoms : Paolina est souvent surnommée la Dame Opaline par ses admirateurs. Mais appelez-la Pao.
۞ Âge : 25 ans. Elle est née le 25 juillet.

۞ Famille : Les Aquilas.
۞ Sangue Nobile : Augurio.
▼ Intensificazione dei Sensi
▼ Percezione dell'Aura
▼ Contatto dello spirito

۞ Statut : Bonne à rien. Enfin, rentière diront nous. Femme entretenue à ne rien faire serait plus juste.
۞ Orientation sexuelle : Bisexuelle. Elle prends ce qui vient. Elle préfère cependant majoritairement les femmes – à moins que ce soit les hommes en fonction de qui est en face d'elle. En vérité elle s'en fiche, tant que la personne en face est à son goût – et elle les a éclectiques.



Physique

۞ Physique : Paolina est une jolie pierre précieuse dans son écrin de dentelles et de froufrous. Elle y brille avec éclat, et séduit de sa simple présence. Car la demoiselle est fort jolie, mais certaines verroteries, à trop vouloir se prendre pour des diamants, brillent trop pour être naturelles.

Paolina est une jeune fille, d'environ un mètre soixante-quinze mais déambulant tant et tant sur des talons hauts qu'on la prend pour plus grande que ce qu'elle est. Elle est fine, ses membres sont graciles, ses articulations délicates lui donnent de longs membres fins et d'une grande élégance. Elle a une taille étroite, des hanches un peu plus marquées et de longues jambes fuselées, un cou délicat supportant une tête portée haut, avec une fierté de Noble.
Sa peau à une couleur de miel, parfaitement douce, au grain de peau idéalement toujours délicatement parfumé de senteurs fruitées ou sucrées. Une lourde chevelure aux ondulations d'un blond doré ravissant cascade jusqu'au creux de son dos cambré. Des seins parfaitement proportionnés, ni trop gros, ni trop petits, surmonte son buste au ventre plat.

Le visage de Paolina est rayonnant d'une beauté érigée en idéal. Ses yeux ambre ourlés de cils noirs et recourbés. Son nez droit surplombe une jolie bouche en cœur, bien dessinée. Il semble impossible de voir la moindre imperfection sur la jeune femme au physique de rêve.

La voix de Paolina est agréable, assez basse et assez douce. Mais lorsqu'elle a un peu trop bu, elle a tendance à rire du nez et a avoir une voix éraillée beaucoup moins charmante tout à coup, une voix de grosse camionneuse sans élégance.

La jeune Aquila brille par sa beauté et ses manières directes, rendant fou bien des hommes et des femmes. Mais cette beauté presque surnaturelle est souvent presque trop. Paolina est simplement trop belle pour être honnête...

۞ Allure : Toujours bien habillée, toujours parfaitement maquillée, apprêtée, Paolina se sait particulièrement gâtée par son apparence et joue de cela en s'autorisant toutes sortes d'exubérances. Elle apprécie de se sentir parfaitement propre, toujours bien mise. Elle se tient bien droite, avec le menton relevé, comme la grande Dame qu'elle est. Du moins en surface : une fois un peu ivre, elle roulera sur la table les quatre fers en l'air tout en riant comme une bossue, sans plus aucune trace de bonnes manière. C'est une championne catégorie poids plume des « grandes claques viriles dans le dos » lorsqu'elle se lâche après avoir trop taquiné la bouteille.

۞ Goûts vestimentaires : Indécents et tape à l'oeil, Paolina aime porter des tenues provocatrices mais toujours très raffinée, associant souvent le rouge et le noir qui se marient idéalement à sa peau ambrée. Les jolies tenues, c'est un peu l'emballage avant le cadeau d'anniversaire, ça sublime mais ça ne remplace pas et puis cela s'ôte avec tant d'empressement... Au fond, Paolina n'est pas trop difficile, tant que c'est joli. Elle a tout de même un faible pour les robes à bustier qui mettent en valeur sa jolie poitrine.

۞ Signes particuliers : Elle a un grain de beauté sur la cheville. Oui, je sais, on s'en moque. Rien d'autre n'est vraiment à signaler. Ah, un petit détail peut-être... Elle a été modifiée par les Pavone.



Psychologie

۞ Généralités : Les jolies pierres sont les plus sans valeur, nous l'avons vu plus haut. Mais quelle fêlure marque le polissage de la jeune Aquila ?
En apparence, Paolina est une personne extravertie, sans complexes, voir particulièrement provocatrice dans ses attitudes. C'est une femme, une vraie, qui assume sa sexualité, ses envies, ses désirs. Jeune, rayonnante, d'une beauté digne de jalousie, elle croque la vie et les amants(es) à pleines dents.
Elle rit fort, sort, traine dans des bars louches avec le petit peuple de Belmonte et couche à tout va. Paolina est également l'escort-girl de riches et vieux nobles et bourgeois, qui lui payent tous ses caprices. Petite trainée ? N'est-ce vraiment que cela ?

En apparence, on pourrait le croire, en la voyant, ivre morte, rire au bras de trois marins de passage, entachant l'honneur de la famille en copulant dans les couloirs et en se montrant familière avec tout le monde.
Mais peu se souviennent que derrière cette carapace de bijou trop brillant, se cache une plaie à vif.

Victime d'un très grave accident, atrocement mutilée, défigurée, celle qui n'était jadis d'une adolescente banale, que personne ne regardait vraiment, à laquelle on ne faisait pas vraiment attention, a été entièrement refaite par les Pavone. La famille du paon lui a donné son physique, une seconde vie, alors qu'elle avait manqué de mourir ou de traîner à vie d'horribles mutilations et un visage si déchiqueté, marqué de cicatrices atroces. Elle a contracté auprès de cette famille une énorme dette. Et elle doit la rembourser. Les pierreries qu'on lui offre, les rentes de ses amants... La plupart vont à la famille du Paon, couvrant lentement le large endettement de Paolina.
Au fond d'elle, Paolina est toujours un peu la gamine mal fagotée, un peu empotée. Elle a faillit perdre la vie, découvrant par cela que tout ce qu'elle considérait comme normal ou comme étant logique était finalement bien peu de choses, qu'elle pourrait mourir sans avoir rien connu du monde, sans avoir seulement pu en profiter.
Alors tant pis si les Aquila la regardent de travers. Tant pis s'ils disent d'elle qu'une telle dégénérée aurait plus sa place chez les Leone. Tant pis, oui, si elle a été reniée par sa mère. On la regarde, on la fixe, on la scrute. Elle est sous le feu des projecteurs, en pleine ligne de mire. et qu'on la déteste, qu'on la jalouse, ou qu'on l'aime éperdument lui est égal. On la voit. Elle existe. Elle est en vie.

Paolina est une personne avec des qualités indéniable, fidèle en amitié à défaut d'en amour, elle est également généreuse et ouverte aux autres.
Accroc à l'alcool, elle a du mal à ne pas boire, car être ivre lui permet d'oublier ce qui la hante, les scènes qui peuplent toujours ses cauchemars, les visions nées de son Sangue Nobile, ces souffrances perpétuelles qui ne lui appartiennent pas toutes et qui gravitent comme de froids fantômes autours de son corps en sueur sur le lit.
Alors, dormir dans d'autres bras, dans d'autres draps, lui permettent d'oublier son sort, ses cauchemars qui ne lui laissent pourtant pas même de répit dans les bras de ses amants dont ses sens exacerbés sentent les moindres fluctuation d'humeur, rendant son quotidien pénible. Alors,oui, elle veut boire. Boire, draguer, jouer. Brûler autant qu'elle peut la flamme de son existence. Avant qu'on lui la souffle aussi brusquement qu'on l'a allumée.

La jeune fille est habituée à faire semblant, cachant aux autres ses émotions et ses terreurs - agoraphobie, claustrophobie, cynophobie, thanatophobie, algophobie... Autant de maux qu'elle masque de son mieux tout en souffrant horriblement de visions cauchemardesques dès qu'elle ferme les yeux, tentant de faire bonne figure, tentant de s'en sortir, de ne pas révéler ce qui la hante atrocement, dévorant son sommeil et sa tranquillité d'esprit.

Vivre à toute allure, consumer la flamme de cette existence en sursit n'est qu'un moyen pour elle se se sentir vivante.

۞ Vices : Paolina a parfois un peu tendance à taquiner le goulot. Sans être complètement alcoolique, elle ne peut presque pas dire non à un verre de boisson alcoolisée, à moins d'un rude effort de volonté. Une fois ivre, elle est particulière désinhibée, devenant souvent vulgaire et bêtement racoleuse. Mais elle tient assez bien l'alcool tout de même, à force d'en boire.
۞ Aime : Paolina aime vivre. Cela semble être une évidence mais cela prends énormément de sens pour elle. Elle aime séduire, voir les têtes se tourner sur elle, et provoquer autant la désapprobation de sa famille que le désir. Elle aime les fruits, l'odeur de l'herbe, les belles choses. Elle aime aussi la couture, qui la passionne. Son petit secret est qu'elle fait beaucoup de ses tenues elle-même. Elle adore lire et elle est une grande adepte des jeux en tout genre : de hasard, de carte, de société...

۞ N'aime pas : Ugolina Pavone qui l'a pourtant sauvée, elle éprouve pour elle une peur viscérale mêlée à un sentiment de gratitude. Les chiens dont elle a une trouille bleue. La violence en général à tendance à la paniquer, ainsi que les mouvements de foule. Elle ne supporte absolument pas qu'on lui résiste. Sinon, il n'y a pas grand chose qu'elle n'aime pas.

۞ Sociabilité : Très bonne. Paolina est tout à fait à l'aise et spontanée avec tous, auss bien simplement pour séduire qu'amicalement. Décomplexée, elle apprécie la compagnie et se montrera très facilement bavarde et enjouée.



Historique

۞ Passé : Cela avait commencé simplement. Petite histoire banale, tranquillité moderne et insignifiante. Nirina Aquila épousa son cousin Mondo Aquila.
Ils se marièrent un beau samedi de septembre et en juillet suivant naquit finalement Paolina Aquila, première et dernière enfant du couple d'avocats sans grande histoire.
Loin des tares trop visibles des autres Nobles, les Aquilas semblaient en apparence bien paisibles.
La vie monotomne d'une petite fille fut sans grand intérêt. Une petite sans grand charme, sans grande particularité. Pas vraiment jolie, ni vraiment laide. Un peu niaise, comme toute bonne petite fille.

Une petite qui préférait cependant jouer avec Tierso, le fils de l'un des domestiques du palais. On ne l'en empêcha pas. Pourquoi faire ? Qui se souciait vraiment d'elle ?
Ses parents étaient assez peu présents mais pas des monstres. Simples parents des fois un peu débordés.
Paolina grandit bien plus avec Tierso qu'avec quiconque, son camarade de jeu du même âge qu'elle et son complice d'enfance. L'adolescence arriva finalement, entraînant ses changements, inéluctables coups du sorts qui allaient finalement être le grain de sable des rouages d'une existence fade et sans attrait.

Paolina n'était pas la plus belle, mais elle se faisait belle pour Tierso. Elle n'était pas vraiment jolie, mais la robe rouge qu'elle portait lui allait bien. Mais Tierso ne semblait pas le voir. Petite complice qui n'avait pas vraiment grandit tout à fait comme lui. Elle faisait encore un peu enfant, grande cruche dégingandée à la peau pâle, aux cheveux entre le roux et le paille, aux dents un peu chevalines, mais aux jolis yeux d'ambre. Elle était cependant une Noble et ses pouvoirs effrayait un peu l'adolescent, sans qu'il ne se l'avoue.

Lui rêvait de naviguer sur des mers lointaines au milieu de fiers marins, elle rêvait de ses beaux yeux et de robe blanche.
Cruelles destinées croisées, destins entremêlés.

Paolina avait dix-neuf ans et trainait toujours dans le sillage de Tierso. Mais Tierso n'était presque plus avec les autres domestiques des Aquila, mais plutôt dans les tavernes du port, travaillant sur les docks en attendant d'être pris dans un équipage.
Déjà leurs coeurs divergeaient. Ils n'étaient plus si proche. Finalement l'enfant de domestiques trouva un équipage. Il prendrait la mer la semaine suivante sur l'"Aile Blanche"
Cruelle désillusion d'un coeur de jeune fille amoureuse depuis si longtemps. Triste jeune fille qui rêvait de son homme volé par la mer. Jamais elle ne s'était déclarée, se dit-elle un soir. Peut-être que Tierso renoncerait à partir si elle le faisait.

Alors la fille de bonne famille mit sa belle robe rouge et une rose immaculée dans sa chevelure quelconque. Et dans la nuit sombre toute éclairée par les lumière des bars du port, chercha son ami. On lui proposa un verre, elle le but, mais parvint à partir sans encombres, cherchant toujours celui qu'elle espérait. Elle était bien un peu ivre, petite princesse sans éclat.
Elle trouva son prince charmant près de l'une de ses tavernes habituelle, avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Alors, grisée par l'alcool et cet amour refoulé depuis tellement d'années, se jeta au cou de Tierso, lui déclarant de bien trop lourds sentiments, ignorant la main de celui qu'elle aimait dans celle de l'homme inconnu. Sans voir ce qui se tramait depuis bien plus longtemps, inaccessible pour une jeune fille sans rien d'autre que sa noblesse et sa bête gentillesse.

Tierso la repoussa, avec trop d'entrain et d'emphase. Elle n'était pas son genre, il aimait les hommes. Et puis, elle n'était pas une fille pour lui. Le cœur de la jeune fille éclata de douleur. La suite fut plutôt floue. Il lui semblât qu'elle se consumait de douleur, s'accrochant à son ami, hystérique, le suppliant de l'aimer, de ne pas partir. Le lui ordonnant.

L'homme inconnu... Etait l'amant. Alors, vaincue de douleur devant des refus si nets, devant le dégoût d'elle qu'eut Tierso, Paolina s'en fut dans la nuit trop noire et trop bariolée.

Comment se retrouva-t-elle finalement dans une ruelle, à demi morte, le corps déchiqueté, n'étant plus que viande et sang qui coagulait lentement entre les pavés ?

Cette scène de cauchemar, elle préfère encore l'oublier. Celle où l'amant inconnu, finalement trop jaloux, appelle ses gars. Car l'amant est le capitaine du navire qui devait emporter son ami. Son unique amour.
La frêle jeune fille est folle, folle de douleur. Elle frappe de ses maigres et frêles mains blanches. Tierso, horrifié du passage à tabac de celle qui fut son amie d'enfance tente de s'interposer. Il recevra cette nuit rouge un coup de couteau qui finit là sa vie et ses rêves d'aventure. Il s'écroule dans la rigole, les yeux grand ouverts sur la nuit trop noire et les trop nombreuses lumières de la ville dans laquelle brille celle du Palazzo Aquila.

Petite Aquila qui sera ce soit là violée et massacrée en représailles par ces hommes sans foi.
Cruel capitaine qui jettera sur elle son molosse qui lui emporta la moitié de son visage sans éclat.


Petite Aquila dans son blanc lit d'hôpital qui n'a plus assez de larmes pour pleurer son amour mort par sa faute.

Paolina resta six mois dans le coma, défigurée à vie, méconnaissable. On dût lui couper une jambe, irréparable. Les atroces cicatrices, le membre amputé, et son visage qui n'était plus qu'un vague agglomérera de chair avec deux yeux et un nez, les cheveux très courts, elle n'était plus vraiment une femme, à part au fond d'elle même. Et lorsqu'elle se réveilla enfin, sa mère était à son chevet, lui annonçant que son père était mort. Une crise cardiaque, aussi subite que brutale.
Sa mère qui lui dit qu'elle ne permettrait pas de perdre aussi sa fille et qu'elle avait acheté les service de "quelqu'un qui saurait défaire ce qui avait été fait". Pour que le monstre qu'était devenue la jeune fille devienne de nouveau quelqu'un de présentable. Avec un petit supplément.

C'est ainsi que Paolina rencontra Ugolina Pavone. Et entra en enfer, alors qu'elle ne désirait que mourir. A quoi bon vivre dans son état ? A quoi bon vivre lorsqu'on porte le poid de la culpabilité ? Celui de la mort d'un homme qu'on aimait. D'un jeune homme qui n'avait pas su voir que sa robe était rouge et lui allait pourtant si bien.

Lorsqu'elle sortit d'entre les mains d'Ugolina, Paolina n'était déjà plus la même. Pour le désir de sa mère, elle était devenue une autre. Créature de rêve, sculpturale beauté à la perfection idéale, il ne restait finalement plus rien d'elle. Sauf peut-être son cœur saignant en silence et que personne ne pouvait modifier pour en effacer les souvenirs atroces et pour enrailler les terribles cauchemars.

Paolina avait survécu, mais à quel prix ?
Dans le tendre cœur naquit un besoin implacable de prendre sa revanche sur ce qu'avait été sa vie.
L'effacée jeune fille était morte dans la ruelle, morte sous les mains de la Pavone qui avait fait d'elle une poupée de chair et de sang, une beauté trop grande pour être un vrai diamant.

Elle était une étrangère dans son propre corps. Mais dans les yeux des autres, elle existait enfin. L'invisible existence de la fille trop sage des Aquila devint un fétu de paille. Elle devait vivre. Vivre à fond sa vie. Et jamais, plus jamais, on ne lui dirait qu'on aimait les hommes.
Parce qu'elle séduirait tant qu'elle deviendrait alors la panacée des hommes et des femmes à la fois.

Accumuler les amants, les prétendants, boire et vivre simplement sa vie avait eut le prix le plus fort.
devant son comportement amoral qu'elle avait elle-même amené, sa mère renia Paolina, qui resta cependant au palais, contractant de ce fait la dette de sa mère auprès d'Ugolina. Une dette exorbitante qui la pousse à jouer les poules de luxe pour de vieux riches qui l'entretiennent pour sa simple compagnie.

Mais le soir, dans les tavernes, au milieu du rire gras des marins, le nez dans son verre, une petite Aigle tente d'oublier que l'odeur de la mer lui rappelle invariablement le parfum libre de celui qu'elle aimait.
Alors elle vit. Elle vit de toutes ses forces, pour cet homme qui est un jour mort pour l'aider.
Pour ne pas penser que ce qui a été donné pourrait être reprit.

Et dans les vapeurs d'alcool et au milieu des rires des filles de joie, elle peut enfin un peu... oublier l'horreur de son existence.

Et cette fille dans sa robe rouge est bien jolie...

۞ Famille : Sa mère est une avocate réputée mais elle a reniée Paolina quelques années auparavant. Son père est décédé.
Mal vue par les Aquila en raison de son comportement, la jeune fille est la brebis galeuse dans un nid d'aigle. Elle se considère comme une sorte d'orpheline mais vit toujours au palais des Aquila.
Elle est endettée gravement auprès d'Ugolina Pavone, qu'elle voit chaque mois pour lui payer son tribu qu'elle a souvent bien du mal à réunir.


Et vous alors ?

۞ Comment avez vous découvert le forum? Second Compte d'Anima Cruzio serpente.


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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

Ludovico III Leone

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Carnet de Bord
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Paolina Aquila _
MessageSujet: Re: Paolina Aquila   Paolina Aquila Icon_minitimeVen 26 Nov - 23:07

Un BG qui roxxe du poney, ça! Tu as donné une très grande profondeur à un perosnnage qu'on pourrait croire superficiel... mais il n'en est rien. très touchante histoire, je te valide donc, en espérant te croiser un jour, petit faux rubis.
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Paolina Aquila

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