Belmonte
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 Hafsa Al-Kâtib

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Invité



Hafsa Al-Kâtib _
MessageSujet: Hafsa Al-Kâtib   Hafsa Al-Kâtib Icon_minitimeMar 28 Déc - 15:26

₪ CARTE D'IDENTITE ₪

۞ Nom : Al-Kâtib
۞ Prénom(s) : Hafsa / Ezra
۞ Surnoms : Fille de Lilith, un surnom qu’elle garde pour elle-même, et rares sont ceux au courant d’une telle appellation.
۞ Âge : 23 ans
۞ Statut : Pseudo journaliste, voir aux abords du paparazzi quand il s’agit des familles nobles, vendeuse dans une petite boutique.
۞ Rang social : Classe Moyenne
۞ Sangre Nobile : Arte Carnale (Premier niveau)
۞ Orientation sexuelle : Là est une chose bien difficile à définir pour cette personne aux diverses facettes. Le noir et le blanc, nous ne nous accordons absolument pas sur cette chose. Hafsa est frigide, n’éprouvant aucun plaisir avec un partenaire sexuel, homme ou femme, et s’adonne parfois à quelques plaisirs solitaires lorsque l’envie se fait sentir. Autrement, elle ne pense pas à l’amour et toutes ces choses là, pensant que de toute manière personne ne pourrait être heureux avec elle sans l’art charnel, tout en sachant qu’elle refuse de se forcer pour de telles futilités. Quand à moi, je dispose de fortes tendances sadomasochistes, et jouis de voir mes compagnons de jeux se tordre de douleur sous mon courroux.


₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


۞ Physique : A l’instar de sa mère, la miss est dotée d’une peau de couleur foncée, bien qu’étant d’avantage dans les tons café au lait que chocolat noir. Les traits de son visage sont doux, perpétuellement agrémenté d’un sourire ourlant sa lèvre supérieure, et laissant apparaitre une ombre aux coins de ses yeux. Parlons-en, de ses derniers, et de leur couleur violette laissant penser à quelques lilas plongés dans la lumière du soleil printanier. Une lueur pétillante de joie et de bonne humeur y séjourne, un amusement presque enfantin. Du moins, c’est le cas lorsque vous tombez face à ma sœur d’âme. Si vous tombez sur moi, vous risquez plus de vous trouver confronté à une espèce de Frankenstein au regard hivernal qui vous détaille de bas en haut pour essayer de déterminer l’endroit qui vous ferait le plus hurler au passage d’une fléchette. Ses cheveux sont blancs comme de la soie, mais à bien y regarder, il est aisé de déterminer que cette couleur n’a rien de naturel. Ce n’est qu’une simple lubie, repérable à la couleur charbon de ses sourcils non teints. Ils sont aussi coupés un peu au dessus de ses épaules, et une franche tombe sur son front, avec l’élégance d’une cascade battue par une bourrasque. Le reste de son corps n’a rien de bien extravagant, elle est bien constituée, ni trop maigre ni trop grosse, avec des formes qui ne se montrent guère en excès. Elle n’est pas très grande, avoisinant à peu près le mètre soixante-dix aux dernières nouvelles.

۞ Allure : Hafsa est l’archétype même de la personne à se faire paraitre bien en public, et de passer pour un souillon dès lors qu’elle passe dans le domaine du privé, seule. Habituellement, elle se tient droite, bien campée sur ses jambes interminables, à glisser entre la populace se dressant en travers de son chemin . Gracieuse, elle aurait tout aussi bien pu jouer de son corps parmi une troupe de comédiens, mais son choix se porta d’avantage vers les journaleux. Il faut savoir aussi qu’elle est relativement maladroite, ce qui rend rapidement sa grâce comparable à celle d’un pingouin, une fois son petit museau collé à la surface rugueuse du sol.

۞ Goûts vestimentaires : Nous n’avons pas les mêmes goûts en matière d’habillement. Alors qu’Hafsa apprécie les vêtements simples, je me réjouis personnellement à m’empêtrer dans des frusques complexes à enfiler, et tout aussi difficiles à retirer, qu’elles soient de cuir, de latex ou encore de vinyle. Encore que je me plie facilement à ses envies, de peur d’avoir à lui laisser reprendre le contrôle de notre corps dans de tels habits, et qu’elle commence à se poser d’avantage de questions à son propos. Dans tous les cas, la mistinguette opte régulièrement pour des vêtements aux couleurs claires et diverses, souvent décolletés afin d’attirer sur elle le regard des hommes bien qu’elle refuse de se lancer dans n’importe quelle relation. Elle aime également tout ce qui est jupes, robes, tailleurs, tout ce qui peut mettre en valeur sa féminité. Même si elle n’est aucunement portée sur la chose – contrairement à moi-, elle sait que les atouts féminins peuvent amplement l’aider dans ses objectifs secondaires. Et que la petite dague que je l’ai habituée à conserver à l’intérieur de sa bottine droite peut lui sauver la mise.

۞ Signes particuliers : Probablement sa couleur de cheveux ainsi que celle de ses yeux, qui suscitent parfois l’étonnement.

₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


۞ Généralités : Hafsa n’est pas le genre de personne à prendre avec des pincettes, à tourner autour du pot afin de déclarer une vérité douloureuse. Elle préfère que l’on soit franc avec elle, et déteste au plus haut point les hypocrites et tous ceux qui pensent et vocifèrent dans le dos des autres, avec de beaux sourires à leur offrir sitôt leurs talons tournés. Elle est du genre bon enfant, et vit au jour le jour des présents que la vie lui accorde. Elle aime se lever tôt, regarder le soleil se lever du haut d’un bâtiment quelconque, puis se rendre de bonne humeur à son travail. Certes, elle préfèrerait gagner une place dans une office de journalisme de la ville, mais elle s’est fait repousser plus d’une fois pour son écriture un peu hasardeuse. Cela ne fait pas longtemps qu’elle apprend la langue de cette contrée, et peine bien souvent à se faire comprendre par les natifs de cette région. Alors elle gratte dans son coin, et espère de tout cœur d’avoir un jour entre les mains un papier à envoyer à son ancien patron, quelque chose qui lui vaudrait une place prestigieuse à ses cotés. Mais en attendant, elle apprécie le métier qu’elle fut parvenu à dégotter.

۞ Vices : Les scoops. Sous toutes leurs formes. Armée de son stylo et de son calepin, c’est en transe parfois qu’elle parcourt la ville à la recherche de quelque chose de croustillant à se mettre sous la dent. Enfin, c’est ainsi que je le perçois. Dans ces moments-là, elle perd limite tout sens des réalités, et se lance tête baissée n’importe où, si bien que parfois il faut que je prenne les rênes afin de limiter les dégâts. Et c’est encore pire lorsqu’elle a son appareil photo en main. Une fois, il a fallut que je la raccompagne moi-même chez elle et la fasse se mettre au lit pour qu’elle ne songe qu’à un simple rêve. C’est vrai, se faire passer pour un laveur de vitre dans le but de prendre deux nobles en train de s’envoyer en l’air, ça n’a plus rien d’anodin. Certes, la laisser faire aurait pu être fortement intéressant pour mes recherches, mais ce jour-ci, les risques étaient bien trop élevés. Quant à mon vice, vous ne voulez pas savoir.

۞ Aime : L’écriture. Il n’est pas rare qu’elle passe des journées entières à grater sur sa feuille diverses histoires tout droit sorties de sa propre imagination, qu’elle garde pour elle-même. Un jour peut-être un autre aurait le privilège de lire tout ce qui sort de sa plume, mais pour le moment, elle trouve son style tout bonnement exécrable, et ses récits dénués de toute saveur. Autrement, elle apprécie marcher dans la rue, ressentir la caresse du soleil sur sa peau déjà brunie, le contact humain, griller une cigarette de temps à autre sans pour autant être accroc à ces petits tubes de nicotine.

۞ N'aime pas : Elle déteste sa condition, sa « maladie » comme elle la qualifie si bien. Le fait de ne pouvoir manger que de la viande l’agace au plus haut point, celle-ci ayant gouté une fois au chocolat et trouvé que le goût de cette chose était tout bonnement divin. Mais elle ne recommença guère, s’étant retrouvée dans une situation bien peu enviable, à vomir ses tripes pendant trois jours durant. Elle déteste également l’alcool, qui la rend malade aussi, et tout ce qui se rapproche de près ou de loin à la drogue –quoi que la petite hypocrite laisse passer les cigarettes-. Autrement, elle n’aime pas la pluie, qui lui cache sa muse principale. Et aussi tomber en panne de papier, ou alors sa maladresse légendaire. Elle déteste également au plus haut point le sexe en lui-même, même si elle s’adonne parfois à une pratique s’en rapprochant énormément, bien que seule dans cet acte.

۞ Sociabilité : C’est simple, elle aime les gens, même si parfois ces derniers aimeraient qu’elle leur foute la paix. Si vous n’avez aucun intérêt professionnel à ses yeux, il n’y a pas de raison qu’elle vous colle plus que de raison. Autrement, vous avez intérêt à vous armer d’une bonne dose de dissolvant. Et pour moi, une fois encore, vous n’avez pas envie de savoir.

₪ HISTORIQUE ₪


۞ Passé : La petite naquit dans une petite région proche du désert, au beau milieu des contrées de Jazerath. Déjà si jeune, elle possédait un petit palmarès en matière de voyages. Sa mère était journaliste, et voyageait au gré du temps afin de s’offrir une nouvelle source d’inspiration pour ses écrits aussi bien journalistiques que littéraires, et s’était faite nonchalamment engrossée dans un pays étranger, dans une petite ville nommée Belmonte. Certes, vous allez me dire que cela n’a rien de bien extraordinaire, mais alors je pourrais me permettre de vous rétorquer que de faire mettre enceinte relève de la sorcellerie pour des personnes non initiées. Le Sangre Nobile, duquel nous avons quelques héritages de par notre « père », ou alors mère, nommée Ugolina, sauf qu’Hafsa ne connait rien de ses capacités. Je la protège depuis longtemps, l’empêcher de finir aliénée dans un asile de fous… Vous pouvez m’appeler Ezra, le coté suprêmement puissant et intelligent de notre corps, enchantée.

La petite sotte fut élevée par sa mère seule, cette dernière étant jugée comme impure par les gens de son village. Forcément, elle avait osé copuler sans n’être mariée, et aucun homme n’aurait voulu poser ses mains dessus de peur d’être souillé par tant de décadence. Malgré tout, elle ne passa pas une enfance malheureuse, même si certains la voyaient comme l’œil du démon dans l’école où elle évolua. Fille du démon, infant de Lilith, pourriture du diable, et j’en passe. Tout ceci la perturba au plus au point, pauvre petite gamine qui ne comprenait pas pourquoi les adultes la prenaient autant en chasse tandis qu’elle ne leur avait rien fait. Maman ne l’aida pas énormément, alors je naquis. Je naquis au fin fond de son esprit le jour même où elle fut sur le point de découvrir ses capacités, alors presque âgée de dix printemps. Je veillais à son bien-être, tandis qu’elle se cachait dans les zones d’ombres, je surgissais de nulle part la plongeant dans un sommeil artificiel, et montrait aux gens le visage qu’ils voulaient voir. Celui d’une enfant possédée, vociférant des grossièretés à tout va et crachant à la figure de tous ceux qui osaient approcher leur nez un peu trop près de notre être. Finalement, Hafsa fut consignée chez elle, jugée comme déséquilibrée. La pauvre ne comprit pas pourquoi un tel jugement fut prononcé, n’ayant même pas conscience des trous de mémoire que je lui conférais. Dans tous les cas, j’avais les pleins pouvoirs.

Arrivée à l’adolescence, Hafsa fut envoyée dans une ville bien plus grande que le trou perdu que nous avions toujours connu, dans un lieu où son visage était méconnus de tous. Sa mère avait assez de fonds afin de lui louer un petit studio non loin du centre, et ainsi lui permettre de continuer sa scolarité dans un lycée réputé. Je sommeillais tranquillement dans mon coin, si bien qu’elle put avoir la vie tranquille durant quelques années. Enfin, dans une certaine mesure. Je surgissais quotidiennement, le temps de l’abreuver de tout le liquide vital dont elle avait besoin, le sang que son corps réclamait. Elle avait appris à vivre avec son malaise, bien accoutumée avec le fait de ne pouvoir manger autre chose que de la viande et autres produits d’origine animale. Il lui arrivait de temps à autre de s’essayer aux légumes, mais elle finit bien vite par abandonner, prise de violentes nausées. Elle passa aux mains de quelques spécialistes, mais aucun d’entre eux ne parvint à déterminer la source de sa maladie. Quand à moi, je fis quelques petites recherches de mon coté, en prenant grand soin de dissimuler ma présence à celle qui partageait mon âme. J’en vins à découvrir la ville de Belmonte, et les quelques légendes qui apparaissaient m’interpellèrent. Il semblait que nous avions le même type de pouvoir que certains nobles vivant dans ses lieux puant la bourgeoisie, si bien que je la poussais à s’orienter vers des études littéraires. Avec un peu de chance, je parviendrais même à la convaincre contre son gré de suivre la même voie que sa mère, et nous pourrions nous rendre sur place. Et retrouver le salopart qui nous avait légué une telle malédiction.

Finalement, ce fut avec des lunettes au bout du nez et un décolleté plongeant qu’elle se retrouva derrière un bureau, à taper les quelques dépêches que ses collègues parvenaient à dénicher ici et là dans l’intégralité du pays. En la poussant un peu, je parvins à avoir ce que je désirais. Une place prestigieuse dans l’un des plus grandes boites journalistiques, et de l’expérience avec un peu de patience. Au bout de quelques mois passés derrière son ordinateur, Hafsa put enfin accéder à l’air libre, à vagabonder elle aussi un peu partout à la recherche de news croquantes. Et avec beaucoup de délicatesse, je l’emmenais voir vers d’autres territoires, la forçant à s’intéresser d’avantage aux familles Belmontiennes. Je lui projetai sans cesse des images dans la tête, des scoops appétissants à obtenir, une carrière fulgurante qui se retrouverait propulser au sommet si jamais elle parvenait à découvrir les moindres secrets de leurs aptitudes. Finalement, elle avait un tête un objectif principal : parvenir à prouver au monde entier que le mystère de ces nobles n’avaient rien de légendes diverses et variées, et n’était qu’une ignoble réalité. Il lui en fallut du temps pour convaincre son patron à l’envoyer là-bas. D’ailleurs, il refusa catégoriquement, une fois, deux fois, trois fois. A la quatrième, il la renvoya avec une prime de dédommagement, le brave homme avait un cœur en or. Il avait ses propres intérêts, et ne voyait pas du bon œil les familles qui séjournaient à Belmonte. De plus, il craignait que la rumeur d’une journaliste envoyée là-bas fasse de l’ombre à l’empire qu’il avait bâti à la sueur de son front.

Ce fut ainsi que nous nous retrouvâmes dans l’un des quartiers de la ville convoitée, avec bien des lacunes dans la langue qui y était parlée. Fort heureusement, de nombreux compatriotes y résidaient, nous permettant d’apprendre rapidement les bases du langage, et de trouver une place dans l’un des magasins tenus par ces personnes. Une boutique alimentaire, tout simplement, qui faisait office de bar dans une arrière-salle à la nuit tombée. Hafsa ne gagnait pas des milles et des cents, mais cela lui permettait de payer le loyer de son appartement et de survenir à ses besoins assez aisément. Et de continuer dans l’ombre à mener ses petites enquêtes, un appareil photo en permanence caché dans un sac qu’elle tenait en bandoulière. Un jour, elle finirait par trouver le scoop de sa vie, et deviendrait célèbre dans son pays. Mais en attendant, je prenais régulièrement le contrôle afin de mener mes propres enquêtes, et l’empêcher de trouver trop vite ce qu’elle recherchait. Cela ne faisait que quelques mois qu’elle s’était installée dans ce quartier bruyant, et un départ précipité risquait fortement de nuire à mes recherches. Trouver son père, et le détruire. D’après ce que je pus récolter, notre don n’était pas si extraordinaire que ça vu le peu de contrôle que je parvins à avoir dessus. Hafsa ignorait tout de ses capacités, et ce n’était pas plus mal ainsi. Dans tous les cas, cela me permettait de me déguiser de manière efficace, et de pénétrer dans des lieux où jamais nous n’aurions pu espérer entrer avec notre teint.


۞ Famille : Etant fille unique, la jeune femme n’a ni frère, ni sœur. Cependant, ses parents sont toujours en vie, son père vivant probablement à Belmonte –du moins, c’est ce que je compte découvrir bien assez tôt-, et la mère de la petite sotte vit toujours dans son petit village à Jazerath. Je crois qu’elle a également une ribambelle d’oncles et de tantes, mais ils sembleraient que ceux-ci se soient éloignées de notre pauvre mère pour l’acte supposé atroce qu’elle commit par le passé en s’accouplant avec un inconnu.

₪ ET VOUS ALORS ? ₪


۞ Comment avez vous découvert le forum? Petit lien sur les moutons.
۞ Que pensez vous de ce dernier? Je le trouve atroce et comme je suis maso je me suis inscrite dessus ‘_’.
۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Moyen
۞ Quelle sera votre fréquence de passage?Tous les jours pour voir, quand aux réponses je tenterais de ne pas dépasser la semaine, tout dépendra de l’inspiration. Cela peut être tout blanc ou tout noir.


[Et petite précision au niveau des rps, ça ne sera pas constitué comme l'histoire... Il n'y aura que quelques anecdotes au je lorsque ce sera Hafsa qui sera jouée, mais sans plus. Et quand se sera au tour d'Ezra, tout sera écrit en italique, avec tout à la troisième personne sans exception.]

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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

Ludovico III Leone

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Carnet de Bord
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Hafsa Al-Kâtib _
MessageSujet: Re: Hafsa Al-Kâtib   Hafsa Al-Kâtib Icon_minitimeMar 28 Déc - 15:36

En voilà une fiche que je l'aime et que je l'ai attendue! <3
Je te valide sans tarder, bienvenue à Belmonte! J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ta fiche, vraiment, et je te souhaite un très bon jeu ici!
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Hafsa Al-Kâtib

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