Belmonte
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 Uncino Le traitre.

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Uncino Lupo

↕ Wanted Dead or Alive ↕

Uncino Lupo

◊ Messages : 169

Uncino Le traitre. _
MessageSujet: Uncino Le traitre.   Uncino Le traitre. Icon_minitimeMer 29 Déc - 17:49

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Lupo
    ۞ Prénom(s) : Uncino
    ۞ Surnoms : Le nomade, la bête, le déserteur, le traitre.
    ۞ Âge : 32ans
    ۞ Famille : Lupo
    ۞ Sangue Nobile : Bestialità
    ۞ Statut : Pourchassé
    ۞ Orientation sexuelle : Peu l'importe.


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Il est plutôt dur de fixer une grandeur à Uncino, comme il est toujours courbé comme s'il était constamment en chasse. Ses cheveux noir-ébène sont très long, prit en noeud à plusieurs endroits montrant qu'il n'ent prend pas soin. Il à constamment les yeux rouges, certains disent que c'est l'abus de son sangue nobile et d'autre que c'est simplement le goût du sang qu'il lui à laissé une marque. Il est armé d'un sourire de carnassier qui semble tout aussi impardonnable que son regard. Il possède un corps bien développé, mais aucun muscle ne semble être surdéveloppé comme chez certain homme adapte de la gonflette. Sur sa nuque on y trouve une touffe de poil aussi sombre que sa chevelure. Dans le bas de son dos, sa colonne vertébrale suit un prolongement dans une sorte de queue de chien sans poil. Sur le torde il possède une grande cicatrice sous l'épaule gauche est visible de dos comme de face, montrant qu'il a déjà été gravement blessé.

    ۞ Allure : Toujours le dos légèrement courbé comme s'il était prêt à bondir à tout moment. Son regard est empli de haine et de folie. Dans ses moments des plus heureux, il adopte seulement un air impassible. (pardon je suis nul pour remplir cette section X_X )

    ۞ Goûts vestimentaires : Maintenant beaucoup sauvage. Il préfère porter peu de vêtement (dépend d'ou il se trouve). Il n'est pas rare de le voir flambant nu.
    ۞ Signes particuliers : Prolongation de la colonne vertébrale en petite queue. Dents plus affutées. Yeux constamment rouges brillants, dus à une surutilisation du Sangue Nobile.

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Il ne réfléchit plus. S'étant mit appart, il est devenu complètement sauvage. Il vit de son instinct qui est de plus en plus affuté. Le loup solitaire qu'il est devenu adore le sang et la sensation de la chair sous ses crocs. La chasse occupe la plus grande partie de son temps. Son loup intérieur étant à présent largement extériorisé. Si Uncino avait la possibilité d'avoir le niveau 4 de la Bestialità, il serait en tout temps en loup. Malgré tout, il voyage beaucoup, changeant de territoire et vivant en nomade. Il vit de chasse et de pillage. Si un voyageur a le malheur de posséder un truc qui pourrait être utile à Uncino, il est déjà trop tard pour lui. La pitié ne fait pas partie de son vocabulaire, pensez-vous que le chasseur ait pitié de sa proie?
    Lorsque le besoin de s'accoupler se fait sentir, il retourne à la civilisation et se paye une catin ou il en prend simplement une sans payer. Pas que les Lupos qui le traque. Pour lui c'est bien plus honorable qu'un viol. Après tout les femmes de joies sont des moins que rien.

    ۞ Vices : Il à un goût prononcer pour le sang, si bien qu'il ne fait plus cuir sa viande. Son animal intérieur étant devenu beaucoup plus important.
    ۞ Aime : La solitude. La viande crue. Les femmes combatives, c'est bien quand sa gigote sous la couette. L'eau pure et si rafraichissante.
    ۞ N'aime pas : Les nobles, l'armée, ,l'alcool. Les végétaux, sauf dans des cas extrêmes de survie. Non, mais quel crétin boufferait de la verdure par choix? Tout autre breuvage que l'eau encore une fois...sauf dans des cas extrêmes de survie. Le froid.
    ۞ Sociabilité : Il fuit les foules comme la peste. Il déteste la présence de plus d'une personne à la fois, cela le rend encore plus désagréable.

    div class="titres">₪ HISTORIQUE ₪


۞ Passé :
Voir poste suivant.

۞ Famille : Étant déserteur sa famille le renie


₪ ET VOUS ALORS ? ₪


۞ Comment avez vous découvert le forum? En ouvrant le web
۞ Que pensez-vous de ce dernier? Dernier est un chic type.
۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Nul si découvert
۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Quand je passe. :S pour plus de précision, je dirais....comme Bertrando et Dante.


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Uncino Lupo

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Uncino Lupo

◊ Messages : 169

Uncino Le traitre. _
MessageSujet: Re: Uncino Le traitre.   Uncino Le traitre. Icon_minitimeMer 29 Déc - 17:55

(Je m'excuse d'avance. Ce texte vient de moi et je n'es eu aucun aide, il se peut que ma dyslexie rendre votre expérience de lecture désagréable...milles pardons)

Le jour de la naissance d'Uncino, fut une belle journée pour le père de celui-ci. Manfredo avait enfin eu son 2e fils. Un fils destiner a porté l'épée pour l'honneur de la famille. Entre l'ainé Dio et le nouveau-né Uncino, il avait 10ans de différence et entre les deux, quelques soeurs avaient pris place. Clarissa ,Tationa et Liboria. Clarissa avait 8 ans et était déjoua voué à un bon avenir pour marier un de ses honorables cousins. Tationa et Luboria étaient jumelle et encore trop jeune pour que l'on puisse savoir sur leurs avenir, aillant que 3ans.

Uncino allait donc grandir au sein de la meute pour devenir possiblement un officier de l'armée de Belmonte, du moins c'est ce que l'ordre de sa naissance indiquait. Un an et quelques mois précédant sa naissance un autre Lupo de sa famille vu le jour. Celui qui allait être le benjamin de la famille et qui allait être dirigé vers le chemin de la prêtrise, Guldo. Même si c'est Lupo était considéré comme une meute de sauvages, cette branche de la famille tenait fermement à garder les postes offerts par le destin. Le premier garçon recevrait l'héritage, le deuxième tiendra l'épée et le troisième sera consacré à la foi divine. Bien évidemment parfois la Manigance vint changer le rôle de l'héritier lorsque autre personne que lui gagnait, mais c'était le destin qui changeait alors son oeil de direction.

Uncino eut une enfance bien normale, jouant avec ses soeurs et écoutant les histoires de sa mère. L'âge de 7ans fut un tournant marquant pour le jeunot, il allait commencer sa formation militaire. Il fût déménagé dans les quartiers de son oncle qui était né après Manfredo , ce qui faisait de lui le fils militaire de sa génération. Beniamino son oncle le prit donc sous son aile, lui qui n'avait pas eu de fils qu'une demi-douzaine de filles. Quatre de ses filles avaient été massacrées lors de la dernière purge seulement. Seuls les deux plus jeunes étaient encore en vie, Eliana et Élisa. Une âgée de quatre ans et l'autre de deux ans, mais Beniamino craignaient que tous deux perdent l'éclat de leurs cheveux noir.

Uncino s'est vu arraché de sa famille et par le même temps perde son enfance. Il ne jouerait plus jamais avec ses soeurs et ne pourrait plus se faire doucement border par sa douce mère. Le réveil de sa nouvelle vie fut brutal, car il allait dès maintenant apprendre la vie qu'il allait mener pour toujours. Son enfance lui paraissait comme un rêve déjà. Beniamino forma Uncino comme un nomade, pour qu'il puisse survivre, peu importe à quel endroit il se trouverait. Il apprit également à monter à cheval pour franchir de grande distance plus rapidement. L'apprentissage ne fut pas facile, lui qui était court sur patte due à son jeune âge et le cheval lui qui avait de longues pattes raides comme le fer et tout en hauteur. Il dut également subir les cuisses endolories par les secousses des galops du cheval qu'il montait presque chaque jour. Après avoir longuement vu son oncle chasser, à l'âge de neuf ans il était temps pour Uncino de l'imiter et de chasser seul. Les premiers temps furent très durs, car s’il ne chassait rien, il ne mangeait rien. Donc il progressa rapidement, chassant à la fronde pour les petits gibiers et aux javelots pour les plus gros.

Ce qu’Uncino ignorait c'est que sa formation ne se terminera pas là. Un peu avant ses dix ans Beniamino et lui monta à bord d'un bateau en direction d'une destination que son oncle lui gardait secret. Bien nerveux de ne pas comprendre se qu'il arrive, Uncino ne tenait plus en place. Son oncle tentait bien que mal de le dompter pour qu'il garde son calme, mais cela était un peu plus dur que lui apprendre la chasse. Le petit Lupo semblait souffrir d'hyperactivité. Cela n'était pas une mauvaise chose, seulement que son oncle voyait ce surplus d'énergie fort utile si le jeunot apprenait à s'en servir de manière plus sage.

Ils passèrent plusieurs semaines en mer et le jeune Lupo dut se soumettre à de dures corvées dicter par le capitaine. Comme son oncle lui avait donné toutes les bonnes valeurs d'un militaire, Uncino ne chignait pas et était fière de servir un supérieur. De plus, un capitaine fait la loi de son navire, c'est un peu une sorte de Roi d'une terre de bois.

Finalement, ils arrivèrent à la côte d'une terre étrange. Le sol semblait un peu plus sableux, même si la végétation était très danse sur le bord de l'eau. Ayant très peu d'effet personnel, son oncle et lui avaient que leurs habits et deux gourdes d'eau. Bien que son oncle avait une épée à sa ceinture, jamais Uncino l'avait vu la dégêner. D'ailleurs, le futur militaire trouvait cela étrange qu'il allait avoir bientôt dix ans et que son oncle ne lui avait jamais montré à user d'une lame. Il savait bien maitriser les javelots et la fronde, mais ce n’était pas comparable à une bonne lame et ça, le petit Lupo le savait bien.
La seule chose qui rassura Uncino fut la vue de leurs chevaux qui sortaient des enclos du navire. Même si Uncino avait grandi, Coraggio le cheval que son oncle lui avait offert semblait toujours aussi immense. Bien que son oncle était son mentor depuis déjà presque trois longues années, jamais il n’avait démontré de l'affection envers son neveu.

Une fois montés sur leurs montures, les deux Lupo partirent pour le désert. Une fois suffisamment Beniamino débarque de son cheval et poussa littéralement Uncino en bas du sien.

— Maintenant Uncino, ton passage vers l'âge adulte va commencer.

Beniamino siffla ses paroles entre sa dentition de carnassier. Le jeune Lupo encore ébranler de sa chute ne comprenait pas réellement le sens que son oncle donnait à ses propos, voulait-il qu'ils se battent? Il ignorait complètement ce qui se passait.

— Mais mon oncle! Enchaina le jeune Lupo. Que voulez-vous dire? Nous devons nous battre pour que je vous prouve ma maturité?

Son oncle secoua la tête en signe de négation et le gifla pour avoir encore une fois perdu son sang froid.

— Non mon imbécile de neveu! Hurla-t-il. À partir de maintenant, je ne t'aide plus à rien. Je suis simplement là pour ramasser ta dépouille si jamais tu échoues. Ta seule tâche, c'est survivre

D'un geste sec, Beniamino arracha la gourde qui pendait à la ceinture d’Uncino et vida son contenu sur le sable. Les yeux du jeune Lupo s'écarquillèrent, il, avait tenté d'empêcher son oncle, mais celui-ci avait si rapide que les réflexes d'Uncino avaient été insuffisants. Le jeune loup, regardait la dernière goute de sa gourde se dégagea de l'embouchure pour s'échouer sur le sable chaud. Uncino échappa un soupire devant ce qui allait surement être un des pires moments de son existence. Il savait bien que son oncle ne l'aiderait sans doute jamais. Le principe chez les Lupo était la loi du plus fort et aujourd'hui Uncino devait être l'un d'eux.

Il ne tenterait pas de défier son oncle, lui qui était au moins le double de sa grandeur et devait faire au moins le triple de son poids. Beniamino était un grand Lupo de deux mètres et pour le rendre encore plus impressionnant, sur son crâne presque dégarni deux grandes cornes de taureau étaient bien en évidence. Une épaisse barbe noire comme la suie masquait le bas du visage de l'oncle. Il était donc condamné à survivre sous les yeux d'un parent qui garderait les bras croisés même s'il devait affronter la mort.

La nuit tomba rapidement sur le désert. Les yeux d'Uncino brillaient d'un rouge sang pour ne rien manquer de la noirceur environnante. Les étoiles projetteraient une lumière, mais pas très forte. Uncino avait soif et n’avait absolument rien bu de la journée et il savait bien qu'il ne trouverait pas de l'eau très bientôt. Ses lèvres avaient déjà commencé à gercer, il n'osa donc pas parler à son oncle de peur des faires craquer. Il sentait sa langue devenir comme une lanière épaisse de cuir dans sa bouche, la fraicheur de la nuit n'était pas de trop. Par instinct, il but ce soir-là, son urine ce qui brûlait ses lèvres déjà meurtries par la déshydratation. Le goût était loin d'être agréable, mais au moins cela semblait donner une meilleure texture à sa langue. Après coup, son oncle vint le voir en lui donnant une bonne tape sur l'épaule.

— Dit donc, tu comprends vite neveu. Tu préfères avoir une galène de pisse plutôt que mourir. Non ce n'est pas un reproche, c'est même très bien. Il y a déjà eu un officier qui avait interdit ses troupes à faire cela, car il ne voulait pas que ses hommes sentent l'urine. Résulta il a condamné le tiers de ses troupes. Vaut mieux laisser l'orgueil de côté pour la survie. Mais j'espère que tu as autre chose en tête, car tu ne pourras pas vivre que de cela.

Dit-il avant de boire une petite gorgé de sa gourde qui semblait encore pleine d'eau et il donna encore une bonne tape sur l'épaule de son neveu. Uncino se frotta doucement l'épaule gardant un silence boudeur. Le traitre ne partageait pas son eau et de plus il le buvait en plein sous ses yeux. Son tempérament était mis à rude épreuve, déjà il voulait sauter au cou de son oncle pour lui prendre sa gourde, mais il connaissait déjà le résultat du combat. Il mit donc l'idée de l'assaut de côté et se prépara à dormir en creusant un peu dans le sable pour y faire une bonne couche et pour espérer ainsi garder sa chaleur en se couchant en boule dedans.

Pendant la nuit, Uncino rêva de viande, si bien qu'il semblait la sentir. Une bonne odeur de viande poivrée caressait ses narines, si bien que même les yeux ouverts il semblait encore la sentir. Il tourna tranquillement la tête, ce n'était pas un rêve. Son oncle mangeait des languettes de viande sèches. L'estomac d’Uncino semblait s'agiter et émit un gargouillement sonore à alerter les habitants du désert au grand complet. La tête de son oncle se tourna vers lui, armée d'un sourire cruel. Il se fichait royalement de lui. La haine attaqua les tripes d’Uncino qui aurait voulu ramasser une pierre et de défoncer le crâne de son parent, simplement pour saisir la viande qu'il portait à sa bouche avant de la mâcher bruyamment, mais il était affaibli par la faim, il devait à tout prix trouver quelque chose à chasser. Sur cette pensée, il sombra dans un sommeil agité. Il devait absolument trouver un coin d'eau pour la survie de Coraggio et de la sienne. Oui pendant son sommeil c'est dans cet ordre qui mettait l'importance. Il savait bien que Coraggio pourrait survivre au moins 3 journées sans boire, mais avec le soleil frappant cette donnée pourrait être erronée.

Le lendemain avant le lever du soleil, il se mit en marche. La nuit avait été beaucoup plus froide que prévu et le côté réparateur au sommeil semblait avoir été très absent. Il rêvassait encore à la viande séchée que son oncle avait probablement encore sur lui. Uncino chassa rapidement cette vision, pour se concentrer à sa tâche, survivre. Il suivit donc son instinct, alerté par son désire de vivre. La journée passa rapidement et encore une fois il n'avait pas trouver d'eau ni même une minuscule forme de vie. Ses lèvres craquèrent d'elles-mêmes, lui donnant l'impression d'avoir deux immenses saucisses à la place des lèvres et la sensation de cuir de sa langue était revenu d'une manière beaucoup plus présente. Sa gueule semblait avoir triplé de poids.

La fraicheur de la nuit le saisissait de nouveau, mais il ne voulait pas arrêter sa marche. Le jeune loup marchait au côté de sa monture, pour lui donner un peu de repos, mais il s'était interdit d'arrêter avant de trouver de l'eau. L'idée que son oncle était en train de le regarder mourir à petit feu, éveiller un dégout sans pareil et il désirait au plus profond de lui, le tuer. Il savait cependant qu'il n’avait nullement suffisamment de force pour le faire. Ses sens l'avaient heureusement bien guidé, il crut voir une bête s'abreuver à côté de ce qui semblait être de petites végétations. Il bondit sur Coraggio javelot en main. Donnant un bon coup de talons sous les flancs de sa monture, celle-ci partit à un bon galop.

Le javelot atteignit le pauvre petit mammifère, le fendant presque en deux. La bête n'était pas bien grosse. Plus près il constata qu'il s'agissait que d'un Fennec. Ce genre de bête n'était vraiment pas bien grosse, mais il avait tellement faim, qu'il ne prit même pas le temps de le faire cuire. La chaleur du sang lui brûlait les lèvres, il calma les brûlures en plongeant la tête dans l'eau boueuse. Il buvait en serrant les dents pour filtrer le plus possible l'eau terreuse. Après quelques bonnes gorgées d'eau au goût affreuse, il se laissa tomber le derrière sur le sol et retourna à sa petite proie.
Son oncle fit que simplement regarder la scène en hochant de la tête.

Il fêta son douzième anniversaire dans le désert en compagnie de son oncle et leurs deux chevaux. Comme le temps c'était prolongé, les deux hommes finirent pas travailler ensemble et finalement Beniamino commençait à partager certains secrets et lui enseigna le travail d'équipe. Les deux vivaient en nomade dans le désert depuis plus de 2ans. Le teint d'Uncino était devenu beaucoup plus basané. Alors qu'il prenait de l'âge, des signes de son héritage familial se manifestèrent. Il senti une douleur dans le bas du dos et y trouva un prolongement de sa colonne vertébrale, une petite touffe de poil noir avait commencé a poussé sur sa nuque, c'était sans l'ombre d'un doute de la fourrure et c'est dents étaient devenu un peu plus affuté et ses canines remplacées par des crocs. Le plus inquiétant était que ses yeux gardaient constamment le teint rougeâtre comme s’il était constamment en vision nocturne.

Lui et son oncle avaient passé par plusieurs villages en troquant de la fourrure et quelques outils fabriqués en échange d'autres sortes d'outils qu'ils ne pouvaient se procurer par eux même. Le jeu que Beniamino avait apprit à Uncino, était un jeu d'échec d'origine Khitaïns. Celui-ci bien plus compliqué que les échecs réguliers. Chaque soir avant de dormir Uncino devait se soumettre à ce jeu et dans le cas d'une défaite il recevrait un coup de bâton par pièce restante de son oncle. Dans les débuts il perdit à tout coup et recevait de nombreux coups dans le dos. Après quelques mois, lorsqu'il voyait la défaite éminente, il suicidait ses pions pour tuer le plus de pions de son oncle, pour recevoir le moins de coups possible. Quel beau lavage de cerveau pour un futur officier.

Sa treizième année il eut la chance de retourner à Belmonte et d'avoir une année de congé, car à quatorze ans il quitterait de nouveau la maison, et ce, pour bien longtemps. Son enroulement militaire sera la cause de ce long départ et il était excité à l'idée. Il était déjà un homme et trouvait maintenant les discussions de ses soeurs et de sa mère futiles et sans intérêt. Tout ce qu'il voulait c'était devenir officier, ce à quoi sa naissance l'avait destiné. Pendant ses temps de loisirs, il décida de prendre de l'avance et lisait des livres sur des tactiques militaires et des journaux de vieux vétérans. Il fit son possible pour assimiler le plus qu'il pouvait, pour que tout rentre très bien dans son crâne. Il voulait devenir la fierté de la famille, son oncle lui avait bien mit à jour toutes ses qualités et le fait qu'il était le seul seconds fils de sa branche familiale lui donnait encore un peu plus de pression. Il gérait très bien la pression, la transformant en motivation. Il était loin de l'enfant qu'il avait été jadis, il était déjà un homme prêt à servir sa famille et Belmonte. Sa grande soeur Clarissa, semblait ne jamais vouloir se départir d’Uncino, elle était constamment à ses cotés et pouvait passer une journée à simplement le regarder lire. Uncino ne commenta pas son attitude et fit comme si de rien n’était, lui qui avait l'habitude du regard lourd de son oncle.

La tête haute et les épaules droites, le jour de son quatorzième anniversaire, Uncino quitta la demeure en compagnie de son oncle. Lebenjamin , soit Gurdo donna sa bénédiction à Uncino. Gurdo avait pris congé du séminaire que pour cette occasion. Cela fit que rendre le Lupo plus fier. Uncino ne regarda jamais derrière, il pouvait même entendre les pleures de Clarissa. Quel Lupo faisait-elle? Les jumelles n’en faisaient pas autant et même que celles-ci regardaient leur soeur, d'un air très ennuyé. Le futur officier lui, quittait la tête haute en fixant l'horizon, aillant pour seul but de devenir le meilleur officier de la famille.
Il arriva au campement militaire des Lupos. Son oncle le saisit par les épaules en le secouant quelque peu.

-Uncino, soit notre fierté. Tu es mon fils autant que celui de ton père. Notre sang coule dans tes veines, tu ne peux échouer.

Sur ses mots, Uncino fit qu’acquiescer d'un mouvement de la tête bien décidé. Son oncle le respectait donc pour lui dire une telle chose, il n'allait pas le décevoir. Il se dégagea lui-même de la poigne de son oncle pour continuer son chemin. Il arriva devant un petit poste, ressemblant à un poste de péage de route. L'homme à l'intérieur était forcément un soldat ne pouvant réellement encore servir. Celui-ci portait un cache-oeil et avait un mognon au bras droit, sans compter toutes les cicatrices qui rayaient chaque parcelle de peau visible.

-Uncino Lupo, venu pour l'entrainement Sergent!

Bien qu'abimer il avait reconnu les galons sur l'uniforme du manchot. Il n'était pas un officier, mais un grader de l'infanterie, de plus il ne ressemblait à rien d'un Lupo. Il était sans équivoque qu'un soldat inutile à qui on donnait le droit de servir encore. Le sergent ne répondit pas, il feuilla seulement le registre et fit qu'un signe de tête. Un gamin sortit de nulle part et le salua.

-Uncino Lupo, suivez moi,on va vous assigner votre dortoir.

Bien qu'il s’agissait que d'un enfant celui-ci semblait prendre son rôle très au sérieux. Quelque peu déséquilibrer par ce petit personnage, Uncino acquiesça en suivant le gamin.

* * *

Uncino fut une vraie bête, il brûla les étapes et monta en grade rapidement. À peine dix-huit ans et il était déjà parmi l'élite. Il était l'aspirant pour devenir major. Il était déjà capitaine d'une petite troupe. Il était le capitaine de la meute noir. Une escouade spécialiste dans les attaques nocturnes et des embuscades. La rapidité d'Uncino à former des tactiques rapidement, selon les changements de dernières minutes, était la clef de son succès.

Il venait de recevoir trois nouveaux soldats dans ses rangs. Son regard rouge de colère se posa sur ses trois nouveaux à tour de rôle. Uncino n'était pas seulement reconnu pour ses bonnes idées, mais surtout pour sa pogne de fer dans un gant de fer. Il ne ménageait personne et semblait posséder la rage. Ses propres hommes le craignaient et le respectaient. Car en entrainement il était le pire des salops, mais en campagne il démontrait un grand respect à ses troupes et ceux qui le connaissaient bien, savait qu'il était dur pour les rendre durs, sans plus. Aujourd'hui c'était différent, dans les trois nouveaux il y avait deux Lupos à la chevelure pâle, cela mit Uncino complètement hors de lui. Il quitta même son escouade et on pouvait l' entre hurler dans la tente du Lieutenant- Général, son propre oncle.

-Des impures, vous me collez des impures dans mes rangs? Vous voulez la perte de la meute noire?

Beniamino leva la main pour le faire arrêter.

-Capitaine, vous connaissez votre position. Vous êtes sous MON commandement, vous allez entrainer ses hommes comme il se doit, c'est un ordre.

Uncino bouillait de rage, il n'arrivait pas à le croire son propre oncle lui tirant dans le pied de cette façon. C'était inexcusable. Il quitta la tente en exécutant un salut plutôt sommaire et retourna à son escouade en toisant les nouveaux du regard. Dans les deux Lupo impures, il y avait un jeune homme aux cheveux brun clair, très clairs....trop clair. Uncino retroussa le nez et fonça directement dessus pour plaquer son front contre le sien.

-Toi espèce de sous merde je te souhaite la bienvenue en enfer. Aucun cadeau ne te sera fait.

Le jeune homme resta de marbre. Visiblement les deux avaient le même âge, soif que la pigmentation de leurs chevelures les avaient promit à un destin différent. Mécaniquement le capitaine tourna la tête en direction de l'autre impure. Une femme à la chevelure neige. À la vue de cette femme, on pouvait voir la pilosité complète du capitaine s'hérisser. Il fit comme avec l'homme et lui plaqua le front contre le sien.

-Toi tu es mal tomber blanche neige. Je ne vois pas à quoi tu vas nous servir. Avec de la chance là prochaine purge t'emportera avant que l'on soit pris avec toi dans un combat.

La femme paressait encore plus impassible que son voisin. Elle avait vraisemblablement subi se genre de discours toute sa vie, donc une fois de plus une fois de moins, elle ne voyait pas la différence.
Le brun clair tourna les yeux sur Uncino. Celui-ci sentit le regard de cette impure sur lui et tourna rapidement la gueule sur lui.

-Un problème petite merde? Présente-toi, ou sinon tu seras toujours petite merde pour moi.

Uncino avait sifflé ses mots entre ses dents et il foudroya son cousin du regard sans ménagement.

-Fabio , mon lieu...Capitaine!

Il allait l'appeler lieutenant, c'était bien évident. Les hommes bien habituer à Uncino firent tous un pas de côté en groupe, alors que le Capitaine saisit son semblable par les cheveux avant de le jeter à terre.

-C'est mon capitaine! FABIO MON CAPITAINE! Ce n’est pourtant pas compliqué!

Bavant de rage Uncino se jeta sur sa recrue et lui déchira son uniforme à coup de griffes. Devant le regard de tous, il sodomisa Fabio sauvagement. Uncino agissait selon son instinct de loup, il soumettait quiconque bafouait son autorité. La nouvelle recrue s'attendait probablement à un mauvais traitement, mais surement pas à ce point. Une fois que le capitaine eu terminé sa besogne, il réajusta son uniforme et se tourna vers la Lupo blanche.

-Et vous recrue? Vous ne vous présentez pas?


Celle-ci toujours de sang-froid se raidit et parla avec une voix ferme et forte.

-Tizania Lupo, mon capitaine!

Uncino grimpa à la prononciation de Lupo. Cette chose était une cousine, une nièce, une soeur, une tante, un membre de sa famille. Il la trouvait bien chanceuse que leurs nombres étaient en déclin depuis quelque temps, sans quoi elle aurait été sans doute déjà été purgé. Il aurait aimé qu'elle fasse une erreur comme Fabio, simplement pour la corrigé et relâcher un peu plus de sa fureur sur elle. Pas par attirance bien au contraire sa chevelure neige le dégoutait, mais bien par esprit de domination.

Les nouvelles recrues se montrèrent par la suite à la hauteur de l'entrainement rigoureux du Capitaine Uncino. Les mois passèrent et son escouade était fin préparée et fonctionnait comme une seul unité. Un messager Leone vint porter un message de la plus haute intense au capitaine. Le message était une mission, sa dernière en tant que Capitaine, le rang de Major l'attendait par la suite. Souriant il lut le message jusqu'au bout. La nouvelle aristocratie était sur le point d'entrer en guerre. Des aristocrates rebelles s'étaient donné rendez-vous et les informateurs avaient donné le lieu précis. Cela allait être un jeu d'enfant. Éliminer des petits nobles, le message précisait également qu'il ne fallait pas que le bruit coure sur cette rébellion, donc laisser aucun survivant et faire disparaître les traces. Une routine pour la meute noire.

Le Capitaine Uncino donna ses ordres et expliqua la tactique. Ils allaient les attendes et faire une embuscade en formant un cercle pour ne permettre aucune fuite possible. Ses hommes étaient heureux d'être confiés d'une telle mission. Cette soirée-là Uncino se montra sur le jour d'ami plutôt que de Capitaine et partageait même la même bière. Demain ils allaient partirent et préparer l'embuscade, ils allaient surement les devancer de deux ou trois jours, donc le plan ne pouvait échouer.
Alors que la lune était haute dans le ciel, Uncino regagna sa tente en donnant l'ordre à tous de se coucher pour être en forme demain. Le Capitaine trouva rapidement le sommeil, mais quelque chose le tira de celui-ci. Une présence était dans sa tente. Discrètement il glissa la main pour chercher son épée, il posa la main sur son fourreau vide. Il allait bondir pour sortir hors de la tente, mais la lame de sa propre épée était sous sa gorge. Il se tourna lentement pour voir son assaillant. Ses yeux rouges brillaient et rencontrèrent un regard semblable. C'était une Lupo, Tizania pour être précis. Cette louve blanche était une traitresse, il aurait dû s'en douter qu'une Lupo impure ne pouvait être fiable, comment avait-il baissé sa garde ainsi? Il s'en voulait infiniment.

-Bonsoir mon Capitaine.

Elle parlait d'une voix victorieuse et malicieuse. Elle semblait en plein contrôle de la situation. Uncino lui grimaça et songea à quelque chose à dire de plus honorable que << je vais crier et tout le monde vont venir >>.

-Tu ne pourras pas t'en tiré, même dans la mort je te tuerais, salle chienne.

Dans un rire étouffer, se voulant discrète, Tizania laissa tomber l'arme.

-Je ne suis pas ici pour vous tuez mon Capitaine,mais pour me faire punir. Fabio a eu droit à votre colère, c'est à mon tour.

Uncino écarquillait les yeux, il n’en revenait pas. Non seulement elle était impure, mais elle était en fait décervelé. Sans attendre de réaction de la part de son Capitaine la louve le chevaucha et comme elle s'y attendait Uncino ne put se retenir et la prit bien plus violemment qu'elle l'espérait.Du coup elle le regrettait. L'ironie quand même qu’Uncino eût perdu sa virginité sur une impure et maintenant sa première fois avec une femme fut à peu près le même scénario.

Le lendemain il sentait le regard de ses hommes moqueur sur lui, mais il n'en fit rien. Le capitaine prépara donc sa meute et parti pour préparer leurs embuscades. Tout semblait parfait, et de plus selon les éclaireurs les rebelles se dirigeaient tout droit dans le piège et allaient être là à la tombée de la nuit. Quoi de mieux pour la meute noire. Uncino ne pouvait s'empêcher de penser à son avancement rapide. Le titre de Major ferait de lui, le plus jeune Major de son époque. Il allait rendre fière sa lignée pour des siècles! La motivation ne manquait pas dans le coeur du Lupo qui tâcha de ne pas laisser paraître la joie dont il débordait. Il fut arraché de sa rêverie par son instinct. Aucun bruit, si ce n'est que celui du vent. Trop calme. Le besoin de partir le prit directement au coeur, c'était un piège, il le sentait. Alors qu'il allait hurler la dispersion de ses troupes, des hommes sortit de derrières et se mirent à attaquer la meute noire. Prit aux dépourvues, le capitaine avait beau hurler de ce mettre en formation, nul n’était capable. L'ennemi avait brisé les rangs et avait agi comme un poison sur toute tentative de formation ou de fuite. Soudainement, Uncino fut pris d'une épouvantable peur. Comme un cauchemar éveillé. Ses Sens se jouaient de lui, il s'en rendit rapidement compte. Tout ce qui se passait autour de lui semblait tout droit sorti d'un rêve. Paralysé, il sentit un froid intense pénétrer son dos. Il avait qu'à baisser la tête pour voir une lame sortit de sous sa clavicule. Ses yeux rouges s'agrandissent pas seulement de douleur, mais d'une rage sans égale. Il était pratiquement plus concentré à regarder ses hommes tomber au combat que de s'occuper de celui qui était en train de le tuer. Une rage bouillonnait en lui, car pour que son escouade fût piégée de la sorte c'est qu'ils avaient été vendus. Uncino se retournait bien droit étant face à son agresseur qui avait perdu la prise de son arme dans ce geste inattendu de sa victime. D'une gifle digne d'un ours il arracha le visage de l'homme devant lui. Par la suite, ne s'occupant pas de l'arme en lui. Il bondit d'un adversaire en un autre, les exécutants de sa furie bestiale. Il hurlait et frappait comme une bête sauvage qui avait été retenue en chaines pendant des siècles. Tel Fenrir il bavait devant tant de chair à pulvériser.

Alors que la lune gorgeait de sang, personne encore debout pour se dresser devant le Lupo. Il balaya les alentours du regard, sa respiration s'échappant en légère fumée comme en hiver. Lorsqu'il se rendit compte qu'il n'avait plus personne à combattre, ses yeux tournèrent à l'envers et il s'écroula au sol empirant la blessure de la lame.

Il se réveilla en sursaut en agrippant l'infirmière. Ne lâchant pas son poignet ,il observait où il était. Dans une tente médicale, il n’en avait aucun doute. Uncino lâcha le poignet de la femme et sortie flambant nu de la tête. C'était un campement de base, sans militaires. Seulement quelques hommes qui rapatriaient la dépouille de ses confrères et consoeurs.

Pris d'une rage encore plus profonde, il lâcha un hurlement à effrayer les morts. Un cavalier ne tarda pas à arriver. Un éclaireur c'était visible que par son cheval, Uncino savait déjà comment distingué chaque rang et profession militaire et ce depuis sa première année dans l'armée. L'éclaireur approcha de lui avec un regard de mépris.

-Vous, Lupo. Vos ordres étaient clairs. Une attaque furtive et hors des oreilles des autres. Hurler ainsi n'est pas du tout ce que l'on vous a demandé.

Ce blond allait trop loin. Uncino fronça du nez et agrippa le blond pour le jeter en bas de sa monture. Il lui donna de bons coups de pieds dans l'estomac avant de le lever de terre par la gorge.

-Mes hommes sont morts dans l'honneur et vous voudriez que leurs morts soient secrets. La vôtre le sera peut-être!

D'un geste sec, il disloqua la trachée de l'éclaireur, avant de le laisser choir au sol. Il suivit l'homme qui cherchait son air des yeux et le regardait agoniser au sol. Il était accroupi observer se Leone mourir. Leone? Il venait de remarquer son écusson. Il venait de tuer de sang-froid un autre noble et d'une autre famille qui plus est. Qu'avez-il fait? Il se prit le visage à deux mains, c'est alors qu'il sentit sa blessure le brûler. Il avait le torse complètement couvert de bandages, comment ne l’avait-il pas remarqué? Prit de panique il se tourna en direction des spectateurs terrifiés. Sans prévenir, il bondit sur eux les massacrant jusqu'au dernier. Dans des pleurs de rage, il saisit une pelle et enterra lui-même ses hommes. Chaque corps mis sous terre était un cousin, une cousine, un frère, une soeur. Il passa la journée dans la terre mélangé au sang. Une fois terminé, il était debout accoté sur la pelle en fixant le cimetière improvisé, il fit un dernier salut à ses soldats.

Alors qu'il allait partir pour une destination encore inconnue, il crut entendre un cavalier. Le bruit se rapprochait, ce cavalier n'allait pas tarder à tomber sur les cadavres du campement qu'Uncino avait laissé pourrir à l'air. Prenant la pelle comme un javelot il la lança de toutes ses forces en direction d'où les bruits de fer à cheval qui heurtait le sol venaient. Au moment même que le cavalier devint visible de la colline, la pelle heurta son casque et envoya l'homme rouler au sol. Uncino, toujours nu aillant la peau complètement recouverte d'une boue à base de sang, il avança en marchant vers le cavalier complètement sonné.

Tranquillement Uncino reprit la pelle qui trainait à côté de l'homme. Il posa le bout de l'outil sur le genou droit de ce qui semblait être un éclaireur, qui était surement venu prendre des nouvelles du campement médical. Doucement le Lupo fit pression pour remettre cet éclaireur en étant de comprendre. Celui-ci lâcha un cri de douleur et lorsqu'il semblait revenu à lui même Uncino lui cracha au visage avant de hurler.

- Capitaine Uncino Lupo au rapport. Le capitaine a déserté!

L'éclaireur ne semblait pas encore comprendre la situation, Uncino répéta donc sa phrase en appuyant davantage sur la pelle jusqu'à un craquement. Une fois que l'homme semblait avoir compris, Uncino le laissa à lui même et partit.


* * *

Depuis environ 14ans il vit en nomade, errant ici et là.Principalement dans le désert. Les Lupo ont bien envoyer des assassins pour le traquer, mais seulement leurs crânes son revenu dans une boite pour témoigner qu'il on bel et bien rencontrer le traitre. Uncino vit maintenant que de chasse et de pillage, prenant ce dont il a de besoins et laissant le superflu. Quand l'envie se fait sentir, il s'approche dangereusement des villes pour se trouver un coin chaud dans les bras d'une femme consentante ou pas.
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Ludovico III Leone

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MessageSujet: Re: Uncino Le traitre.   Uncino Le traitre. Icon_minitimeMer 29 Déc - 18:02

Alors ne t'inquiète pas et ne t'excuse pas, je te connais assez et ton texte ne m'a pas fait souffrir le martyr chrétien des yeux. =)

Au contraire, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire une fiche audacieuse comme la tienne, avec beaucoup de Background. Ce n'est pas évident de jouer un répudié d'une famille mais je pense que tu vas très bien t'en tirer! Alors je salue l'initiative en te validant!

Bon jeu, mon chou. <3
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MessageSujet: Re: Uncino Le traitre.   Uncino Le traitre. Icon_minitime

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