Belmonte
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 Serafino C. Scogna

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Serafino C. Scogna _
MessageSujet: Serafino C. Scogna   Serafino C. Scogna Icon_minitimeMer 13 Oct - 18:04

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Scogna
    ۞ Prénoms : Serafino Celeste
    ۞ Surnoms : Seraf’ / Petit / Uccelino
    ۞ Âge : Six ans
    ۞ Statut : Héritier de l’entreprise maritime des Scogna
    ۞ Rang social : Milieu bourgeois
    ۞ Orientation sexuelle : Les peluches.

    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : L’enfant a une silhouette encore fragile, mesurant un mètre dix, ce qui est normal pour son âge. Son visage est encore assez rond et il a les joues de la petite enfance, qu’il perd peu à peu. D’ici une dizaine d’années, l’on aura à faire à un beau spécimen. Sa chevelure, sombre, lui vient du côté maternel. Son père est blond. Et l’on sait que les gênes sombres prônent sur les clairs, ce qui fait que l’uccelino a parfois des regards étonnés de la part des gens avec qui travaille son paternel. Cependant, le bas du visage de l’enfant, sa bouche surtout, est la réplique exacte de celui de Scogna-père. Les yeux qu’il possède, oscillants entre le bleu terne et le gris pâle, sont propres à ses deux familles. Pour l’instant, ils sont assez grands par rapport au visage de l’enfant, ce qui lui donne un côté mignon d’après certains des employés de son père. Et être mignon, ce n’est pas très agréable quand des femmes vous pincent les joues. Et cela donne toujours un sens ridicule à ses rares propos. Un enfant ne doit pas trop s’exprimer, sinon il en vient à être ennuyeux pour ceux, qui, ne lui portent qu’une attention superficielle de toute manière. Il ne sourit pas énormément de nature mais on voit parfois une mine un peu boudeuse sur ses petites lèvres. Ça lui arrive lorsqu’il ne comprend pas quelque chose.

    ۞ Allure : : Se tenir droit en permanence, ce n’est pas si simple lorsque l’on a que six ans. Pourtant, Serafino essaye de le faire le plus possible, même si ça lui donne mal au dos après un moment. Il a tendance à cacher ses mains derrière son dos assez souvent. Cela s’explique par le fait qu’il se promène généralement avec une peluche et que, à son âge, cela commence à être un brin déplacé. Son regard se porte facilement dans celui des gens, sans qu’il ne se rende encore bien compte de l’impolitesse de son geste. Il aime bien les yeux de ceux qui l’entourent, parce qu’ils sont tous différents, avec de jolis teintes. Quand ils sont verts, on dirait même des pierres précieuses, d’après lui. Lorsqu’il dort, il a tendance à sucer son pouce mais ça, il ne l’a jamais dit à qui que ce soit ; Sa famille ne serait pas contente.
    Ses mains d’enfants font parfois des gestes maladroits et il n’est pas si simple de tenir un objet trop grand dans des mains encore trop frêles. Il y a des instants où les choses lui échappent et on le dispute.
    Sa tête se baisse facilement, pour adresser un regard au sol ou juste reposer son cou, fatigué à force d’être tordu pour que son propriétaire soit capable d’observer les plus âgés, tellement grands mais rassurants par cette grandeur qui donne l’impression à Serafino d’être entouré d’une muraille solide.

    ۞ Goûts vestimentaires : : Les goûts, il n’en possède pas encore véritablement. Enfin, disons plutôt que ce n’est pas sa petite personne qui décide de ce qu’il a le droit de porter. Ses tenues sont généralement assez simple mais réalisées dans des tissus de bonne qualité, histoire que l’on ne puisse pas le confondre avec le premier fils de servante venu.

    ۞ Signes particuliers : Au niveau de son genou gauche, il a une cicatrice qui ressemble à une étoile et qui vient d’une chute alors qu’il n’avait que deux ans. L’on ne l’avait pas assez bien surveillé et il est tombé de sa chaise haute.

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Un enfant, en général, c’est bavard et curieux. Ce n’est pas exactement le cas de Serafino. Il a, en effet, un grand mal à prendre la parole devant quelqu’un d’autre que sa gouvernante. Et, même avec elle, il a parfois des hésitations. C’est qu’on lui a dit qu’il lui fallait s’exprimer correctement, et pas comme un gamin des rues. Alors, à chaque fois que l’un de ses parents lui pose une question, il ne peut tout simplement pas ouvrir la bouche, trop effrayé à l’idée de se tromper. Nulle punition ne l’attend pourtant. C’est juste une sorte de blocage qu’il fait. En contrepartie, il possède un regard très expressif, qui permet de lire en lui comme dans un livre ouvert.
    La mer le fascine beaucoup et parfois, lorsqu’on l’emmène se promener près de l’eau, il joue à s’approcher des vagues qui s’échouent sur le sable puis à se reculer très vite. Parce qu’il ne sait pas encore nager et que cette grande étendue lui fait un brin peur. Etrangement, il n’a pas le moins du monde ce sentiment dans la ville. Peut-être parce qu’il songe encore que les grands sont là pour le protéger, comme les rues ne sont jamais désertes, en tout cas aux heures où il sort.
    Dire ‘non’, cela lui semble impossible. Alors il est généralement d’accord avec tout le monde, parce qu’on lui dit que c’est ainsi qu’il doit se soumettre, accepter une autorité forte qui le protégera. Et puis, cette solution de facilité de toujours laisser les adultes décider à sa place ne lui semble pas si désagréable que ça. Ainsi, son opinion, même lorsqu’il atteindra un âge plus avancé, ne comptera sans doute pas. On lui donnera des voies à suivre, cachées par des conseils qui ne seront pas toujours dans son intérêt, et ainsi il fera ce qui est désiré par ceux qui l’entourent, incapable de se séparer de son mode de vie qui l’aura rendu indolent.

    ۞ Vices : Quels pourraient être les vices d’un enfant si jeune, qui n’a pas encore perdu la pureté que lui confère son âge ? Oh, il a bien un penchant désapprouvé par sa gouvernante et qui consiste à raffoler des gâteaux contenant des fraises, mais cela n’est sans nul doute par bien grave. De toute manière, on ne lui en autorise pas plus d’un par jour, ce qui est tant mieux sinon il est malade.

    ۞ Aime : : Les activités principales de Serafino sont les cours, dispensés par un professeur particulier, qu’il reçoit et d’inventer des histoires. Il aime beaucoup étudier l’histoire de l’île mais il est incapable de reproduire une carte correctement, ce qui a tendance à ennuyer son précepteur. Sa condition sociale lui permet de posséder un nombre de livres plutôt correct, certains imagés, et il aime à s’en inspirer pour créer des histoires un peu fantasques. Son sujet du moment, c’est les pirates. Il se voit les combattre, pour défendre la cargaison de son père et ainsi être admiré par ce dernier. Il a en sa possession plusieurs animaux en peluche, dont un mouton qui est son favori, et il est incapable de s’endormir sans l’un d’entre eux.

    ۞ N'aime pas : A propos de dormir, il faut savoir que ce bout de chou a tendance à avoir encore besoin d’une sieste l’après-midi et que cela ne lui plaît pas. Cependant, à chaque fois qu’il l’esquive, l’on a l’impression d’être en compagnie d’un zombie au dîner, ce qui est assez désagréable et que sa génitrice ne supporte pas. Si l’apparence est faussée et imparfaite, plus rien ne va. L’on pense que le fait qu’il ne dorme pas énormément la nuit, ayant du mal à trouver le sommeil, pathologie de famille, influence ce besoin de repos dans la journée. Etre touché ne lui plaît pas. Tenir la main à sa nourrice ne lui pose pas vraiment de problème mais être enlacé lui fait un peu peur ; cette impression d’étouffer ou d’être écrasé ne lui plaît pas du tout. Heureusement pour lui, ses parents ne sont pas ceux qui viendront lui infliger un tel traitement.
    Cela l’ennuie de voir un grand masquer ce qu’il ressent. Un de ses oncles ne dit jamais quand il est en colère ou en désaccord avec son père mais ça se voit à ses traits tirés et à ses poings serrés. Serafino est persuadé que s’il pouvait faire comme lui et pleurer de temps en temps, ça irait mieux. C’est sa gouvernante qui lui a dit que laisser couler les larmes ça soulageait de la douleur. Il s’impose une certaine discipline en se qui concerne la parole, n’appréciant guère de s’exprimer et d’avoir cette impression de déranger. Les rires de ses parents lors de simples soirées n’existent pas pour sa personne. Lui doit se contenter d’observer de loin.

    ۞ Sociabilité : Le monde est encore fermé pour lui. Après tout, sortir seul lui est impossible et il ne peut compter que sur sa gouvernante pour aller admirer sa ville de naissance. Cependant, si vous le rencontrez un jour, sachez qu’il n’aura, théoriquement, pas le moindre mauvais sentiment à votre égard. Par contre, sa timidité risque de l’empêcher de s’exprimer. Il est particulièrement impressionné par les femmes, sans doute à cause de sa gouvernante qui est, pour lui, la représentation de l’autorité.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé : Le corps se plie, se tend et vibre sous la douleur qui le traverse. Les entrailles se déplacent tandis que le regard vacille. La respiration, trop rapide, a du mal à retrouver son rythme normal. Et puis il y a ces femmes qui nous entourent, en chuchotant des paroles de réconforts dénuées de sens qui ne sont destinées qu’à amadouer l’esprit. Lors de son accouchement, Vinitia songea qu’enfanter n’était pas un don merveilleux offert aux femmes mais une façon de les humilier un peu plus, de leur faire comprendre leur infériorité. Il n’y a rien de pire que d’être incapable de régir la situation et de devoir se contenter de suivre les demandes fantasques d’une bande d’individus qui prône la vie alors que la douleur que l’on ressent pour l’offrir est si grande. L’acte d’enfanter n’était pas une science exacte et il n’était pas rare de voir une mère payer l’existence de son enfant par la sienne. Dans le cas de Vinitia, cela manqua de se produire. Les hurlements qui échappaient de ses lèvres qu’elle avait ravagé avec ses dents pour les retenir, sans succès, glaçaient le sang de son époux, de l’autre côté de la porte. Le sang coulait, tâchait les draps autrefois immaculés. Les femmes qui l’assistaient semblaient devenir des monstres qui se riaient du malheur de la pauvre allongée. L’accouchement se passait mal et l’on argumentait, par-dessus les hurlements. L’être minuscule qui refusait d’apparaître allait sans doute perdre la vie avant son premier souffle. Et la mère risquait de l’accompagner dans la mort, fidèle à son enfant. Tout cela parce que les traditions de la famille maternelle faisaient qu’elle avait demandé à accoucher chez elle alors qu’elle aurait pu se trouver dans un hôpital, soulagée de sa douleur.

    La délivrance arriva alors. Les chairs s’écartant une dernière fois pour permettre la libération. Vinitia fut alors plongée dans un sommeil sans rêve, provoqué par l’épuisement qui traversait son corps. Son sort fut laissé entre les mains du Seigneur, la branche maternelle étant trop pieuse pour décider d’une autre voie. Le nouveau-né, lui, était chétif, dans un état semblable à celui de la femme qui l’avait mise au monde. Pourtant, on décréta qu’il vivrait sans doute, parce que son état ne pouvait que s’améliorer. Les bras de son père vinrent lui apporter un soutien unique, qu’il ne posséderait qu’une seule fois dans son existence, de sa part en tout cas. L’héritier était d’une importance bien plus grande que la femme. L’on pouvait la remplacer, garder son argent grâce à l’enfant. Nul amour n’était là pour attiser la peine de Davide. Le nom du nouveau membre de la famille, celui dont on avait besoin depuis si longtemps, devait être décidé. Face à cet être frêle qui ne pleurait que peu, le Patriarche de la famille, soit le grand-père de l’enfant, opta pour Serafino, songeant que ce prénom reflétait bien celui qui avait échappé de peur à un décès prématuré. La tradition était que le prénom ne pouvait être remis que par cet homme et cela fut respecté. Ce n’est pas comme si une personne plongée dans le sommeil ou un individu ne voyant que le futur au lieu de se rendre compte de la richesse du présent allaient se soucier de ce détail, de toute manière.

    Cela se confirma avec les années. L’absence parentale. Lui, toujours accroché à ses cargaisons et aux jolies femmes qui passaient près des bateaux, lui lançant parfois des sourires faussement timides. Elle, appréciant les fêtes et les jolies jeunes filles, comme si enfanter avait provoqué chez elle une répulsion des hommes. Après tout, la fatigue ne la laissa jamais plus totalement en paix et il était rare qu’elle fut capable de profiter des longues marches comme elle le faisait auparavant. Serafino fit donc la rencontre de Coletta, une femme forte, à la voix pourtant douces et aux gestes qui jamais ne furent brusques. Cette femme du peuple, devant nourrir ses propres enfants après la mort de son mari, tué par des pirates qui en voulaient à son navire, avait accepté l’offre de gouvernante plus pour la simplicité du travail qu’autre chose. Mère de quatre petits, sa connaissance des enfants dépassait de loin celle de ses employeurs. L’on ne se souciait pas véritablement de ce qui se passait avec l’héritier, du moment qu’il se portait bien. La gouvernante s’autorisa donc à parfois amener ses marmots, à qui elle donnait tout de même un bain pour l’occasion, histoire qu’ils ne soient pas refusés à la porte, pour veiller sur eux et son petit protégé en même temps. Ce fut elle que Serafino nomma ‘Mama’. A elle aussi qu’il s’accrochait pour se cacher derrière ses jupes lorsqu’une bêtise avait été commise. Ce qui n’empêchait pas Coletta de savoir lui imposer son autorité, comme elle le faisait avec ses mômes, fermement mais sans violence. Frapper un enfant lui semblait malsain. Et, les géniteurs n’auraient sans doute guère apprécié de telles méthodes. Après quelques temps, l’on ne distingua plus le bout de chou aux cheveux sombres de ses deux camarades de jeux, Lucino et Ciara, les deux plus jeunes enfants de Coletta.

    Ce fut là que l’on vit le problème. Les conditions sociales étaient différentes et les comportements se devaient de l’être également. L’on ne voulait pas d’un enfant sachant chantonner les chansons du peuple. Mais plutôt d’un modèle présentable que l’on pourrait emmener aux soirées pour se vanter de sa réussite sociale. A quatre ans, on commença donc à lui donner des cours de vie en société en plus de ce qu’il effectuait déjà. Apprenant plutôt bien et ne contredisant jamais ses professeurs, on le qualifia d’élève agréable et sérieux. Quoique il sembla avoir des soucis avec la lecture et l’écriture, confondant des lettres sans pouvoir en expliquer la raison. Sa dyslexie dyséidétique, trouble avec la compréhension de la formation des mots, ne fut cependant vue que comme un léger défaut qui se corrigerait tout seul avec le temps. Cependant, après plus d’une année passée à se battre en compagnie de livres, l’on se résigna à dire que ce n’était pas son domaine de prédilection. Ce qui n’empêchait pas le jeune garçon de feuilleter des livres d’images ou d’en lire d’autres, assez simples. Son père accusa son épouse d’avoir causé tant de soucis à son enfant car il était commun que, dans la famille de Vinitia, l’apprentissage de la lecture commençait à quatre ans, ce que son époux trouvait totalement insensé. De nombreuses disputes eurent lieu à ce sujet et cela les amena à s’éviter par la suite. Plus ou moins à la même époque, l’on découvrit que l’homme avait un autre fils, d’une douzaine d’année, conçu au début de son mariage mais avec une vulgaire fille de joie. On décida de ne pas se soucier de ce gamin pour l’instant, considérant qu’il pourrait peut-être servir un jour. Mais cela fut la rupture totale du frêle équilibre qui restait entre Vinitia et Davide.

    Décidant que son fils –le légitime, bien sûr- devait voir le port, il l’y emmena par un jour de beau temps, lui faisant visiter son plus grand bateau, tout en narrant la beauté de son métier et sa passion pour la mer, espérant conquérir ce jeune esprit à partager cela. Serafino y apporta, certes, de l’intérêt mais ce dernier resta timide et il se contenta d’un simple hochement de tête d’enfant sage lorsque l’on lui demanda s’il voulait faire comme son père plus tard. Cela ne l’intéressait pas encore. Il préférait ses peluches et la douceur de son foyer, à écouter Coletta lui raconter des images tout en lui promettant qu’il aurait une grande vie, comme son père. Mais qu’est-ce qu’une ‘grande vie’ signifiait ?

    Les dirigeants de l’endroit, les grands familles nobles… Sa gouvernante lui raconta un jour qu’il était chanceux de ne pas être né dans l’une de ces demeures. Les membres étaient tous totalement déséquilibrés, anormaux et mieux valait rester loin d’eux. L’aversion de l’employée pour la magie qui coulait dans le sens de ces individus était plus que perceptible et le petit garçon ne répliqua pas, se disant qu’il verrait un jour, par lui-même, si cela était vérité ou mensonge.


    ۞ Famille : Les Scogna sont banals. Une simple famille qui a réussi à gagner un rang social correct en travaillant dur. L’on ne les remarque guère dans le paysage. Leur mariage a été arrangé par leurs familles respectives et jamais ils ne s’en sont plaint. Chacun collectionne les amants, comme si cela n’était qu’une conséquence banale à leur situation. Leur fils existe pour la simple raison qu’il en fallait un. Que peut-on faire sans un héritier solide après tout ? Oh, s’il lui arrivait un malheur, un demi-frère bâtard un peu plus âgé que sa personne pourrait rattraper la situation mais cela serait plus complexe à expliquer et créerait des histoires. Personne n’aimant cela, mieux vaut faire attention à l’outil destiné à reprendre le flambeau lorsque son père s’éteindra.


    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? Par notre fou favori~
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Sublime, tout simplement. L’histoire est solide, le règlement clair et précis et l’administrateur talentueux.
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Correct. Mais je suis un brin rouillée.
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Plusieurs fois par semaine, je présume.
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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

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Serafino C. Scogna _
MessageSujet: Re: Serafino C. Scogna   Serafino C. Scogna Icon_minitimeMer 13 Oct - 18:14

Et bien te voilà validé, Uccelino! Bienvenue à Belmonte, toi notre premier personnage enfant!

Smile
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Serafino C. Scogna

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