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| | Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) Lun 31 Jan - 13:34 | |
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Dernière édition par Gabriele Leonelli le Dim 6 Fév - 20:36, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) Dim 6 Fév - 20:35 | |
| ₪ HISTORIQUE ₪
۞ Passé :
C'est dans un cri qui déchira le fragile silence qui enveloppez le manoir de Roberto Leone que commença la vie de notre protagoniste.
Roberto Leone as toujours était connu pour être un franc coureur de jupon et cela malgré son épouse qui était pourtant de toute beauté. L'homme avait ce que l'on nommé à l'époque, l'âme libertine et parfois, florentine, mais cela était tout de même plus rare car les jeunes gens qui attiraient l'œil et les intérêts de celui que l'on nommé le Marquis. Ce ne fût néanmoins rien de plus qu'une modeste domestique donna à cet homme de noble stature le désir de la chair. Il l'avait découverte lors d'un regard égaré sur l'arrière de son domaine, aperçevant par la même une jolie jeune femme à la peau blanche et au seins généreux accrochant le linge de maison à une corde tendu. Cela ne vous paraîtra pas si attrayant que cela, mais pour l'homme rien n'était plus attirant qu'un balconnet bien garni et débordant de chair. Ce fût ainsi que son attrait pour la domestique commença. Il tenta bien de la séduire, offrant à cette femme du peuple, argent, fleurs, bijoux et autres présent, signe de son désir pour elle, mais elle refusa ses cadeaux les uns après les autres, donnant à chaque fois une nouvelle excuse polie pour ne pas fâcher son maître, ou les offrants à sa femme qui débordait alors d'amour pour son mari qu'elle lié au lit durant plusieurs heures, étanchant ainsi la soif de l'homme et donnant un peu de repos à la jeune domestique. Mais les gens de la noblesse ne comprennent pas qu'une simple femme puisse se refuser à eux, et ce fut par une nuit sombre qu'au détour d'un couloir, il fondit sur sa pauvre victime. Les cris et les pleurs emplirent tout l'étage mais pas une seule âme vint aider cette colombe assaillit par le vice qui n'eut d'autre choix que de laisser faire son violeur, qui, une fois repus de son repas de chair, s'en alla sans même un regard. Sa passion l'avait quitté au moment ou sa semence avait emplie le ventre de la jouvencelle....
Ce ne fut que quelques semaines plus tard que la pauvre femme commença à ressentir les effets de son viol. Son estomac ne cessait de la torturer, lui donnant des nausées quasi constantes, ses menstrues n'étaient encore apparues et sa faim ne cesser d'accroitre. Devinant la chose, mais ne souhaitant pas s'imaginer ce qui n'était peut être pas, elle couru chez le médecin qui après l'avoir ausculter, lui annonça sa grossesse. Le monde s'écroulait pour cette pauvre jeune fille qui, partie de chez ses parents vierge, devrait revenir rougissante et le ventre rond, sans même avoir de mari. Que dirait sa mère ? Que penserait son père de ce petit bâtard ? Et le maître...que ferait il d'un enfant bâtard, procréer durant le viol d'une de ses domestique ?
Préférant attendre quelques mois avant de révéler la vérité à son violeur, la jeune femme, continua son travail comme si de rien n'était, tentant tant bien que mal de gérer ses nausées, se fatiguant rapidement mais réussissant à cacher sa grossesse. Grossesse bien vite gâchée par l'annonce de celle de la maitresse de lieux. La maitresse et la domestique enceintes en même temps du même homme, était une situation certes peu orthodoxe, mais il fallait malgré tout qu'elle annonce sa gestation au Marquis quoi qu'il arrive, et tant pis si elle se voyait répudiée dans son pays.
Ce fut au début du second trimestre de sa grossesse, que rougissante et gênée, elle osa frapper à la porte du bureau de celui qui l'employée. Le ventre arrondi sous sa tenue de domestique, elle lui rappela, gênée l'épisode du couloir tandis qu'il souriait d'un air victorieux avant de perdre toute contenance sous l'annonce de la naissance prochaine d'un enfant bâtard de son sang. Ne sachant que faire dans pareille situation et ne voulant pas subir les foudres de sa femme, ou les moqueries de ceux de son rang, il offrit à la jeune femme un pendentif des Leone et de l'argent. Assez pour qu'elle puisse retourner chez elle mettre l'enfant au monde et vivre en toute discrétion avec celui ci. Mais elle ne put accepter, sachant ce que ses parents lui feraient subir si ils découvraient la grossesse de leur fille. Magnanime, le Marquis lui concéda sa place au manoir, lui demandant malgré tout de rester dans sa chambre tant que l'enfant ne serait pas venu au monde.
Résignée et n'ayant d'autres choix, elle accepta de devenir la prisonnière de sa chambre. Oh, elle n'avait pas à se plaindre, une de ses consœur s'occupé d'elle jour et nuit, n'ayant plus que cela pour tache, informant par là même celle qui serai d'ici quelques mois la mère de Gabriele, de l'avancement de la grossesse de leur maitresse. Celle ci se passait bien, et son ventre était aussi arrondi que celui de la jeune fille qui ne voyait plus le jour que par la lucarne de sa fenêtre. Du moins jusqu'à cette nuit d'avril ou ses cris réveillèrent tout le quartier des domestique.
Le bruit des pas résonna en quelques secondes dans les couloirs tandis que la porte de la chambre de la femme qui accouchait s'ouvrait à la volée, offrant aux autres domestiques, l'image d'une femme couverte de transpiration, hurlant la douleur du déchirement qu'elle sentait s'effectuer au sein même de son ventre. Mais elle ne serait pas là seule à donner la vie en cette nuit car plus haut dans le manoir, dans une large chambre aux draps de satin, une femme hurla elle aussi de douleur sous les contraction qui la blessait. Les deux enfant du Marquis naitrait dans la même nuit. Mais tandis que le premier devrais fuir, le second aurait la vie de château et tout les privilège du à son rang.
Gabriele naquit à trois heure vingt du matin après un peu plus de deux heures de travail. Son demi frère ou demi sœur n'était pas encore née que déjà on le tirait des bras de sa mère pour le nettoyer et tenter de l'envoyer au loin. Bien sur, une mère ne peux restée impassible devant ce spectacle, mais que peu faire une faible femme face à deux domestiques et quelques gardes ? Elle se débattit tant bien que mal, mais un coup de masse sur le crâne mis fin à cette pseudo bataille, en même temps qu'elle mis fin à la vie de cette pauvre femme. Plus jamais elle n'aurai à se demander comment ses parents prendraient la nouvelle de son accouchement.
L'enfant quant à lui quitta le château dans la nuit même, emporté par deux gardes qui avaient pour ordres d'emmener l'enfant dans un pays annexe au leur ou il ignorerait tout de la famille Leone et du prétendu héritage auquel il pourrait faire réclamation. Pourtant, l'enfant disparu avec autour de son maigre cou une chaine muni d'un pendentif bien trop grand pour lui à l'image d'un lion, présent de son père qui ne pouvait abandonner sans regret, son fils.
Le voyage mis plusieurs jours à entreprendre. Les soldat eurent à voyager loin avant de parvenir aux terres du khitaï ou ils laissèrent le berceau de l'enfant. Ce n'est qu'au petit matin que les habitants de cette maisonnée découvrir sur le pas de leur porte l'enfant muni du pendentif et d'une lettre demandant de prendre soin de Gabriele. C'était le nom que sa mère lui avait donné à la naissance et le Marquis avait fait grand attention à ce qu'il le conserve. Un geste de bonté pour lui qui se croyait si puissant, une chose normale pour le commun des mortels.
Le couple vivant dans cette petite maison recueilli l'enfant, et l'éleva comme si il avait leur propre enfant, gardant caché au fond d'un coffre les effets présents dans son berceau le jour de sa découverte. Dix huit ans passèrent aussi rapidement qu'un printemps et l'enfant devint un jeune homme aux long cheveux blond et aux yeux verrons. Chose que tout ceux de sa «race» aurait fièrement revendiqué, lui en était honteux et n'en pouvait plus d'être le sujet des railleries de ses camarades et des villageois qui trouvais son teint trop blanc, ses cheveux trop clair et ses yeux démoniaques. Ce fut le jour de ce dix huitième anniversaire qu'il pue enfin apprendre la vérité sur ses origine et sur son arrivée en ce lieu.
Bien entendu sa première idée fut de partir trouver des réponses, mais il ne savait par ou aller. Il ne savait si il devait marcher au nord ou au sud, et même à ce moment, comment pourrait il trouver ? Il ne possédait qu'un pauvre pendentif et cela ne pourrait l'aider réellement, il en était sur. Mais tout cela fut très vite oublié quand une semaine après cet anniversaire le village fut attaqué par une bande de bandit qui tua, pilla et viola dans les cris et le feu. Gabriele récupéra rapidement son pendentif et tenta de fuir....mais en vain. La course n'avait jamais était son fort, face à des cavaliers il ne pouvait rien. Apeuré et sachant qu'il allait être capturé ou tué, il avala dans une grimace et une forte toux le pendentif avant que tout ne devienne noir autour de lui.... Ce qui se passa durant ces instants, il n'en as qu'une faible idée, tout ce qu'il sais aujourd'hui, est qu'aujourd'hui, en ouvrant les yeux, il était dans une cage sur un chariot, les pleurs et les respirations d'autres villageois le perturbais. Il ne savait qui était là, si ils étaient de son village ou non, mais il n'était pas seul. Et tandis que son esprit ne cessait de le torturer, les cris des goéland et autres mouettes se firent entendre à ses oreilles. Il allait prendre le bateau. Mais pour ou.... ?
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| Sujet: Re: Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) Dim 6 Fév - 20:40 | |
| et bien et bien ^^" triple post je vais me faire incendier Je post malgré tout pour signifier que j'ai terminé ma fiche ( selon moi du moins ) J'ai tenté de corriger au mieux les fautes que j'ai pu trouver et espère que vous allez pas me manger tout cru ^^" |
| | | Ludovico III Leoneღ Il sua Altezza Femminiello ღ
| Sujet: Re: Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) Lun 7 Fév - 7:13 | |
| Quelques fautes d'étourderie par ci par là, qui rende l'écriture moyenne. Fais attention et ça ne devrait pas être trop pénible à la lecture. Attention également à ne pas trop prendre de libertés sur Khitaï, merci. Et Sangue Nobile max niveau Un pour les enfant bâtards, ne l'oublie pas, pas plus.
Je valide ta fiche, mais attention, relis-toi.
Sur ce bon jeu, bonne recherche de maitre. =) |
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| Sujet: Re: Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) | |
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| | | | Gabriele Leonelli (fiche en cours de rédaction) | |
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