Belmonte
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 Gabriele Helio Leone [En écriture]

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Invité



Gabriele Helio Leone [En écriture] _
MessageSujet: Gabriele Helio Leone [En écriture]   Gabriele Helio Leone [En écriture] Icon_minitimeMer 2 Fév - 19:48

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Leone
    ۞ Prénom(s) : Gabriele, Helio
    ۞ Surnoms : Il Colonnello
    ۞ Âge : 34 ans
    ۞ Famille : Leone
    ۞ Sangue Nobile : Maestà (Riverenza, Sguardo terribile et Inquietudine. Il semblerait qu'une affinité particulière permette également l'usage de l'Invocazione envers sa complice, Kouraï A. Lupo. Peut-être par un effet de complicité, de résonance, ou parce que les sens de Kouraï sont plus développé que ceux de quiconque.)
    ۞ Statut : Responsable de la garde privée des Leone. Exécuteur de la volonté du Prince. Ancien Colonel de l'armée de terre.
    ۞ Orientation sexuelle : Bisexuel dominateur, ses goûts et ses vices dépendent grandement de ses humeurs.


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique :
    ۞ Allure :
    ۞ Goûts vestimentaires :
    ۞ Signes particuliers :

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités :
    ۞ Vices :
    ۞ Aime :
    ۞ N'aime pas :
    ۞ Sociabilité :



    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? De top-sites en Top-sites, il arrive que l'on découvre une perle.
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Un contexte motivant, des joueurs motivés, des personnages de caractères et des pistes de jeu en tout sens. Le paradis de tout rôliste.
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Très bon niveau mais d'une lenteur agaçante pour finir mes fiches.
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage?
Un jour sur deux la plupart du temps.


Dernière édition par Gabriele Helio Leone le Sam 5 Fév - 8:01, édité 1 fois
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Invité

Invité



Gabriele Helio Leone [En écriture] _
MessageSujet: Re: Gabriele Helio Leone [En écriture]   Gabriele Helio Leone [En écriture] Icon_minitimeSam 5 Fév - 7:49

₪ HISTORIQUE ₪


۞ Passé :

S'il avait à dire qui il est vraiment, quelle est son histoire et quels raisons l'ont poussé à devenir ce qu'il est, voici ce que répondrait cet homme, Gabriele Helio Leone

« Je suis Gabriele Helio Leone, autrement appelé « Il Colonnello ». J'incarne l'image idéale de la famille Leone, leur parangon, leur avatar, et siège au conseil Leone en tant que responsable de la Garde et garant de l'exécution de la volonté du Prince. Connus et reconnu au sein de mes pairs, on me désigne comme le représentant et l'exécutant et des Leone. Ainsi que l'exécuteur.
Depuis de nombreuses années Marco Antonio Leone incarne la main droite de la famille, la main armée des Leone, celui qui impose sa poigne, la main qui pourfend et porte le coup fatal, ou que l'on embrasse en signe de respect. Ce rôle va à ravir à l'être d'honneur et de lumière qu'il incarne. Aussi ais-je reçu à mon retour en Belmonte l'honneur de devenir la main gauche de la famille. La main qui tient la dague et agit dans l'ombre. La main qui coordonne, consolide. Et exécute loin de la lumière.

Je ne suis pas en train de parler de traîtrises ou de complot. Mais certains actes doivent être accomplis, certains ordres doivent être donnés. J'agis pour les Leone, mais surtout pour Belmonte. Et Belmonte nécessite de l’ordre. Seul l'ordre peut protéger la ville de la corruption, de la faiblesse et du chaos. Les cours des grandes famille vacillent et se chargent d'opportunistes, de couards indécis prompts à se rallier à la première grande gueule venue, d'égocentriques assurés de leur supériorité par leur droit d’aînesse. Tous plus avide les uns que les autres, et plus prompt à répandre chaos et violence pour satisfaire leur ego et asseoir leur suprématie. Ils sont un danger pour Belmonte. Chaque complot risque de tâcher les rues de sang, devenant une menace pour la paix en Belmonte, favorisant le crime et l'injustice.

« Belmonte, la florissante cité des Princes. », tel est mon idéal, et tel est le moyen de defendre la ville du chaos et de l'opportunisme. Je ne suis pas stupide, je sais que la ville et les Princes se sont construit dans le sang et la trahison. Les Leone sont comme les autres. Faibles, influençables et corruptible, leur nom est tâché de sang. Mais ce passé est révolu. Ce passé doit être révolu, ou ce sang n'aura servi qu'à attirer la vengeance. Aussi ai-je prêté allégeance à la Manigance. Alors, la Manigance sera protégée. Ainsi le peuple de Belmonte connaîtra la grandeur sous l'égide des Princes.

Mais il y a peu, une famille qui n'aurait jamais du revenir à refait surface. « Les vainqueurs vivent, les vaincus meurent ». Ou auraient du mourir. Les Serpentes. Il faudrait être stupide pour les croire animés de bonnes intentions. Même en tant de paix, les Serpentes ne furent jamais animés de bonnes intentions, trop lâches pour s'imposer, trop faibles pour diriger, trop orgueilleux pour se contenter d'une place secondaire. Et visiblement trop dénué d'honneur pour tirer leur révérence lorsqu'il est temps pour eux de disparaître. La vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. Pour un animal à sang froid, cela semble tout naturel. Mais qu'elle soit justifiée ou non, cette vengeance aura un goût amer pour les Leone, trahis par leur propre Prince.

Aujourd'hui mon allégeance balance là où elle ne devrait subir aucun doute. L'homme à qui j'ai juré allégeance en embrassant la cause de la Manigance, le Prince Ludovico III, a fuit la famille Leone et toutes les responsabilités de sa charge, laissant la famille Leone sans son Prince légitime. Une situation sans précédent et déshonorante où les Leone se voient affublés de deux dirigeants.
Marco Antonio Leone. La force de caractère d'un homme d’expérience, tacticien hors-pair ayant prouvé à mainte reprise sa poigne de fer et sa volonté inébranlable, mais qui couvrit de déshonneur sa famille et son nom et qui aujourd'hui ne pense qu'à son précieux pouvoir qu'il sait fragile. Un pouvoir dérobé, arraché, mais fort et légitimé par son mariage. Cette avidité de pouvoir, mêlé à son incommensurable orgueil, le rendent dangereux et inconséquent.
Et de l'autre coté, cet enfant faible et inconscient. Longtemps je me suis forcé à croire que le jeune Prince apprendrait aux cotés du Lion Roux, et gagnerait de sa force. Un espoir vain, déçu par la première action d'éclat du Prince. La fuite. Fuir et laisser la famille sans Prince, sans tête légitime. Et pire encore, ouvrir les portes de la cours aux Serpentes, et par cet acte mettre en péril tout l'équilibre de Belmonte. Comme ouvrir la porte de sa maison aux démons et la regarder mourir. Et c'est à cet être là que va mon allégeance, le traître de sa propre famille.

« Le Prince Fantoche et le Vieux Lion Avide ». On dirait un titre de sombre fable, aussi sombre que les heures qui attendent aujourd'hui la famille des lumières. Les chacals au sang froid ne tarderont pas à roder autour de leur proie.
Mais je n'attendrais pas sans rien faire. Kouraï, ma chère Kouraï, nous allons avoir du travail cette nuit. »

Là où l'avenir se montre incertain, il faut revoir le passé pour comprendre l'histoire et ses protagonistes. Le passé du Vieux Lion Avide et du Prince Fantoche sont déjà connus, ainsi que celui des Serpentes. Aussi laissez moi vous livrer le passé d'Il Colonnello Gabriele Helio Leone.

Inutile de s'attarder sur l'enfance prévisible d'un rejeton Leone. Fatalement le fruit d'une généalogie complexe où parents, frères et cousins s'entrecoupent en tout sens pour ne former au final une vaste et puissante famille. Et comme chaque descendant de la caste, Gabriele reçu l'éducation d'un Leone, apprenant les devoirs et privilèges lui étant dus, le poid de sa charge, et l'histoire de sa ville, Belmonte la Magnifique.

Dans son passé, trois éléments forgèrent le caractère de Gabriele tel qu'il est aujourd'hui. Trois phases de sa vie. Et l'élément déclencheur fut le plus marquant.

Il Caos Cranio.

Comme chaque Leone, Gabriele fut suivi de près par nombre de médecins qualifiés, dans la crainte de la dégénérescence des Leone. Si la plupart des tares familiales se révèlerent mineures, ou au moins invisibles ou assimilable à un simple trait de caractère, d'autres troubles plus profonds se dévoilent chez certains enfants, et de plus en plus souvent avec les nouvelles générations.
Mais Gabriele, fier exemple de l'image qu'aiment à se donner les Leone, ne montra qu'un trouble minime, tout au plus quelques migraines venaient le saisir, sans gravité particulière. La crainte de la débilité héréditaire poussa néanmoins la famille à prendre certaines précautions médicamenteuses et à faire prescrire au jeune Leone de quoi évincer le mal lorsqu'une crise se présentait.
Et ces crises ne manquèrent pas de revenir, rapidement réprimées à coup de drogues, évitant tout trouble au jeune Leone et lui permettant de se développer en s'imprégnant des préceptes de la Famille et de Belmonte. Nul médecin ne parvint réellement à découvrir la cause véritable de ces crises, mais les drogues fonctionnant, la question n'eut plus lieu d'être aussi fut-elle mise sur le compte des tares génétiques des Leone. Et au fil des années, à mesure que les crises de migraine revenaient, le médecin se contentait d'adapter les doses de ses d'augmenter les doses de ses médications afin d'assurer l'efficacité du traitement.

Ainsi Gabriele profita de l'éducation des Leone jusqu'à l'adolescence. Mais les années et les migraines successives avaient commencées à toucher le jeune homme sans qu'il n'y prenne gare. Les maux de crâne s'intensifiaient d'années en années, gagnant en profondeur et en violence, forçant le médecin à sur-doser le traitement de ces migraines. Jusqu'à dépasser le raisonnable, rendant Gabriele amorphe et apathique à chaque crise. Et même en dehors des crises, le jeune Leone commença à se montrer parfois incohérent, apathique, extravagant, dénué de tout sens des conséquences ou de moralité. Perdant peu à peu pied avec la réalité. Et si le trouver à déambuler sans but dans les couloirs de la demeure des Leone en pleine nuit n'attira qu'à peine l'attention de sa famille sur ces troubles, mais le voir pousser de sang froid une de ses tantes dans l'un des escalier et passer outre en la voyant blessé eut le mérite de leur révéler les troubles du jeune homme.

Immédiatement le traitement fut arrêter afin de forcer Gabriele à reprendre le contrôle de ses actes. Mais sans les drogues du médecin, les migraines se montrèrent insoutenables et se mirent à détruire le corps et l'esprit de l'adolescent. A chaque crise Gabriele luttait pour ne pas hurler. Des nuits durant il restait enfermé dans sa chambre, recroquevillé la tête entre les mains, gémissant des propos inintelligible sous la douleur. Et chaque crise transformait le brillant jeune homme en un pathétique pantin tremblant et fiévreux durant des jours.
La douleur le rendait hargneux et agressif. Plusieurs fois on le retrouva dans les couloirs de la demeure des Leone, le corps tremblant, transpirant de fièvre, s'appuyant contre les murs, agressant toute personne passant à sa portée. D'inconscient, il était devenu violent et dangereux, mordant et frappant ceux qui tentaient de le raisonner ou de l'enfermer, près à se jeter sur tout moyen d'atténuer sa douleur. Puis la crise passait, et Gabriele redevenait le jeune homme brillant qu'il était. Jusqu'à la prochaine crise.
Dans cet état de perdition il essaya tout ce qu'il pouvait trouver lorsqu'une crise se présentait. L'alcool d'abord, s’enivrant au delà de toute raison jusqu'à devenir fou avant de tomber inconscient, sombrant dans un coma dénué de sensation et de douleur. La drogue ensuite, légale ou non, passant de l'opium et son univers cotonneux à d'autres produits plus exotiques. Et puis d'autres méthode encore. L'épuisement, la violence, le vice. Sans cesse dans l’excès, jusqu'à ce que la douleur se taise.
Les remèdes qu'il testa se montraient plus ou moins efficace pour chasser les douleurs de son crâne, mais s'ils calmaient la douleur ils poussaient invariablement le jeune homme dans des comportements extrêmes et imprévisibles. Certains ont l'alcool joyeux, ou même agressif. Il apparaissait que Gabriele avait l'euphorie violente, et même destructrice.

Dire que durant ses crises il n'était plus lui-même fut une bonne excuse un temps, mais c'e n'était pas le cas. Lui-même mi des années à le comprendre, comprendre ce qu'il advenait de sa volonté lorsqu'il luttait contre ses maux de tête. A aucun moment il ne cessait d'être Gabriele. Il ne devenait pas subitement stupide, déviant ou immoral. Et si parfois les effets de l'alcool lui interdisait certains souvenir, la plupart du temps il savait ce qu'il avait fait de ses instants d'ivresse. Et il savait avoir voulu exécuter chacun des gestes commis durant sa crise. Des actes qu'il n'aurait sans doute pas commit en d'autres circonstances, mais qui lui auraient effleuré l'esprit. Gabriele ne faisait durant ses crises que ce qu'il voulait réellement faire, perdant le contrôle de ses penchants, de ses désirs et de ses pensées secrètes, jusqu'à les rendre concrètes. Et plus il craignait de désirer quelque chose, plus ce quelque chose s'imposait à lui par la suite. Comme la violence, le vice, l'audace. L'inconscience. Le sadisme.

Durant trois années, l'adolescent devenant adulte ne pu rien faire d'autre que subir ses crises de migraine, alternant phases de calme et crises de migraine durant lesquels il finissait invariablement par sombrer dans l’excès de telle ou telle substance, devenant sous les effets de son esprit torturé et de sa drogue du moment un être hors de contrôle et de moralité. Quelques scandales éclatèrent, rixes violentes et désirs assouvis dans l'instant, quels qu’ils soient.

Ces pertes du contrôle de ses propres penchants le poussèrent à s'endurcir, à forger sa volonté afin de parvenir à se contrôler. En tout temps. Mais vouloir n'est pas pouvoir. Toutefois au prix de grands efforts, et de maintes nouvelles crises, Gabriele parvint à doser ses excés, à dompter quelque peu ses inconséquences, aidé en cela par ses partenaires consommables de toujours, tantôt à coup de médicaments, d'alcool ou de drogue. « Chasser ses démons ». Ou se chasser lui-même.
Enfin grâce à une discipline volontaire il parvint à lutter contre ses crises sans trop perdre pied. Mais cela suffirait-il. Il lui fallait forger plus fortement encore sa volonté, son corps, sa détermination à garder le contrôle.

Arrive la seconde partie de sa vie, et le deuxième événement à marquer sa vie. Son engagement dans l'armée de Terre.

Corpo disciplinato. Spirito padronanza.

Afin de fortifier son corps et sa volonté Gabriele subit l'éducation militaire. La voie de la discipline, de la maîtrise, de l'ordre. Un carcan idéal pour se forger et se construire.
Son engagement ne choqua pas. Aux yeux de ses proches le jeune Leone brillant qu'il était avait évolué avec ses crises, gagnant en hargne, en paranoïa, en désir permanent de contrôle. L'archétype idéal d'un haut officier militaire. Ainsi reçu t'il l’appui de sa famille, et notamment l'appui de son oncle et héros familial, le Lion Roux, en sa qualité d'ancien général et de représentant de Famille Leone. Un appui de poids qui lui ouvrit bien des portes.




L'armée le transforma totalement, lui apportant discipline, force et respect. Les mois lui forgèrent le caractère et le corps. En quelques années il devint un homme. Fier, audacieux, réfléchis. Sa poigne, calme et inflexible, son pragmatisme et son efficacité, ainsi que ses appuis politiques, lui permirent de gagner les grades d'officier pour la plus grande fierté de sa famille.

Mais ces années de service lui apprirent bien d'autres choses. Des choses générales alors qu'il observait ses comparse de régiment. La violence, la punition, la mort. La psyché humaine et la façon dont chaque homme, même coupable des pires méfait, trouve des excuses, des raisons et des injustices à son sort.
Des choses plus personnelles aussi, refusant de s'abaisser comme tant d'autres à se chercher des excuses, apprenant le véritable sens du mot « honneur », et le prix que cela pouvait coûter. Dans ce carcan d'autorité, ses crises de migraines se raréfièrent, et l'homme apprit à les contrôler. Lui seul sait comment, et à quel prix. Certaines nuits l'homme disparaissait de la caserne. L’expérience lui permettait de déceler ses crises, savoir quand elles éclateraient. Et avant que ses démons ne s'emparent de sa volonté il s'éclipsait, disparaissant quelques jours pour réapparaître ensuite, comme si de rien n'était. Et il ne parla plus jamais de ses crises à quiconque.

Et l'homme gagna en maturité, en sens tactique et en maîtrise de la discipline. Rapidement, il quitta les troupes régulières, ses capacités de jugement et d'analyse ne s'accordant pas avec le combat sur le terrain. Au contraire l'homme se montrait réfléchis, efficace, pragmatique et avide de contrôle. Et pour contrôler quoi que ce soit, il faut savoir, connaître, s'informer. Ou espionner. Le savoir est la base de tout contrôle, aussi ses supérieurs décidèrent-ils d'utiliser ses capacités au ses de leur réseau d'information faisant de lui un informateur, un espion. Puis, le gérant d'une escouade dédiée à l'information et l'espionnage. Et avec les années il parvint à se forger un nom et une place au sein de l'armée, jusqu'à devenir Il Colonnello Leone, haut officier de l'armée de terre.

Et enfin, la troisième et dernière période. Le retour en Belmonte.

Gloria ai Vincitori. Morte ai vinti.

Après plus de dix années de service, Gabriele revint en Belmonte afin de se mettre au service du nouveau Prince des Leone en lui jurant allégeance. Son retour lui offrit les honneurs du conseil familiale des Leone, et la charge de la Garde. Il accepta, désireux de servir au mieux son Prince et Belmonte.

Et une fois installé au cœur de la vie politique de Belmonte, Gabriele fit ce qu'il avait fait durant des années au sein de l'armée. Utilisant ses contacts militaires et familiaux, Gabriele développa un réseau d'informateurs, groupe d'activistes chargés d'agir pour le bien de Belmonte. Ce groupe fut chargé de la collecte d'informations, d'enquêtes privés ne dépendant d'aucune police, traquant les nuisibles et les complots. Vint le temps de faire disparaître ces menaces. Et c'est lors d'une de ces missions qu'il rencontra Kouraï A. Lupo et. Une Lupo, une militaire, et une mercenaire qui devint bien vite la dague de Gabriele dans ces opérations d'épuration. Une arme précise et efficace.


C'était il y a plusieurs années. La situation politique a évolué, les suppression nécessaire se sont multipliés. Et la complicité entre Kouraï et Gabriele gagna en profondeur et en intérêt. Aujourd'hui elle est le bras droit officiel de Gabriele, son garde du corps comme son représentant. Mais rares sont ceux à savoir quelles tâches Gabriele donne à faire à sa comparse et complice.
Mais la menace pullule dans les égouts de la ville. Et Gabriele commence envisage d'engager d'autres agents. Pour la jeune et chère Kouraï, d'autres projets se profilent. Des projets sanglants. Un sang froid et venimeux.
۞ Famille :
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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

Ludovico III Leone

◊ Messages : 1302

Carnet de Bord
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Gabriele Helio Leone [En écriture] _
MessageSujet: Re: Gabriele Helio Leone [En écriture]   Gabriele Helio Leone [En écriture] Icon_minitimeDim 20 Fév - 19:51

Sans nouvelles, je déplace dans les archives; la fiche peut être refaite au besoin.
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Gabriele Helio Leone [En écriture] _
MessageSujet: Re: Gabriele Helio Leone [En écriture]   Gabriele Helio Leone [En écriture] Icon_minitime

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