Belmonte
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 Vincenzo Leone

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Vincenzo Leone

▲ Il Volubile

Vincenzo Leone

◊ Messages : 823

Carnet de Bord
Carnet de Bord:
Vincenzo Leone _
MessageSujet: Vincenzo Leone   Vincenzo Leone Icon_minitimeDim 6 Fév - 10:53

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Vincenzo
    ۞ Prénom(s) : Leone
    ۞ Surnoms : Vince
    ۞ Âge : 32 ans
    ۞ Famille : Leone
    ۞ Sangue Nobile : La Maestà

    Spoiler:

    ۞ Statut : Propriétaire de la fumerie d’opium
    ۞ Orientation sexuelle : Homme ou femme, quelle importance ? Ce qui compte, c’est bien le plaisir que l’on prend dans les vices de la chair. Vincenzo est loin de s’arrêter sur le sexe de la personne, et après un passage à la fumerie, il va sans dire qu’il n’est parfois même pas capable de faire la distinction entre mâle et femelle.


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Comme tout bon Leone qui respecte, Vincenzo est blond aux yeux bleus. Un blond qui rappelle la couleur du blé, pendant les jours ensoleillés, et un bleu qui rappelle celui du ciel, que l’on observe depuis le quai. Ce sont des yeux profonds qui, à une époque, étaient très expressifs. Aujourd’hui, ils ont l’air plus fade qu’autre chose. Ses cheveux blonds lui arrivent jusqu’à la nuque, la chatouille légèrement. C’est une chevelure folle, partant un peu partout, les pointes se rebiquant. Et pourtant il les coiffe, en prend un minimum soin. Mais durant le courant de la journée, à l’aide du vent, les mèches n’en font plus qu’à leur tête. Assez grand, il mesure 1m86 pour un poids de 80 kilogrammes. Il arrive à voir au-dessus de la foule et domine les autres grâce à sa taille. Il déteste par-dessus tout les gens plus grands que lui, surtout s’ils sont d’un rang inférieur à lui. Sa peau est lisse, et pâle. Il faut dire qu’il ne prend pas souvent le soleil. Cela serait très fâcheux si sa peau prenait une teinte rouge écrevisse. Comment ferait-il pour séduire tout ce beau monde, avec sa tête naturelle d’enjôleur ? Oui, parlons de sa tête tiens. Un visage anguleux, tout en finesse, symétrique. Un nez un peu rehaussé, une bouche fine. A croire qu’il a fait appel aux services des Pavone. Que nenni. Tout cela est bien naturel chez lui, et il en est bien fier. Oui, l’apparence compte beaucoup après tout. C’est bien pour cela qu’il entretient son corps comme il se doit. Un corps d’athlète, musclé, et qui pourtant ne s’active aucunement dans des causes nobles comme l’armée. Non, c’est juste un corps qui lui plaît, tout en finesse, sans pour autant être féminin. Car il ne veut surtout pas qu’on le compare à une fille. Malgré son visage charmeur, il sait se faire féroce.

    ۞ Allure : Ce Leone est quelqu’un qui n’en fait qu’à sa tête. Alors l’étiquette, ils peuvent se la mettre là où il pense. Monsieur dégage une certaine oisiveté, et une certaine lassitude. On dirait qu’il est aussi vaporeux que la fumée qui sort de sa pipe. Cependant, il garde une certaine élégance. Il reste un noble malgré tout et si besoin est, il revêtit l’attitude que tout bon Leone se doit d’avoir. Il sait inspirer une pointe d’admiration envers le peuple, mais ne fait pas grande figure dans la famille. On ne le voit d’ailleurs presque jamais au Palazzo Leone. Il n’inspire pas la crainte, et n’utilise presque jamais le Sguardo Terribile. Il y a une sorte d’air calme qui flotte autour de lui, en permanence.

    ۞ Goûts vestimentaires : Vincenzo affectionne les tenues légères, qui ne l’encombrent pas. Dès qu’il le peut, il va enfiler l’une de ses robes chinoises en soie, qui glissent sur sa peau. La sensation est si agréable qu’il ne peut pas s’en passer. Il possède d’ailleurs une gamme de ce genre de robes assez impressionnante. Sinon ce sera jeans serrés et chemises, sans cravate s’il vous plaît. Et si vous voulez lui faire enfiler un costume, qu’il soit deux ou trois pièces, vous avez intérêt à lui présenter quelque chose en échange. Mais tout ce qui compte pour ce cher Vincenzo, c’est que ses vêtements proviennent des plus grands tailleurs, des plus grands couturiers. Il n’y a jamais rien d’assez bien pour sa petite personne. Le tout reste cependant très sobre, et il ne porte rien de très voyant ou de tapageur quand il va à l’extérieur. Il n’aime pas se faire remarquer, du moins pas à l’aide de sa tenue vestimentaire.

    ۞ Signes particuliers : On le voit souvent avec une pipe à opium dans la bouche, ou en train de se promener dans ses quartiers avec.

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Vincenzo est quelqu’un de très… lunatique. Il n’a que peu de qualités à vrai dire, et on peut les compter sur les doigts d’une main. Orgueilleux et fanfaron, il aime rabaisser les gens, jouissant sans aucune limite de son statut de noble à Belmonte. Un jour, il peut vous aimer, l’autre vous détester. Son humeur est aussi changeante que le temps. Il n’aime pas rire, et est quelqu’un de très froid. Difficile d’ailleurs de trouver quelqu’un qu’il aime dans son entourage, à part peut-être sa bien-aimée mère. Mais c’est bien tout ce qu’il y a. Il a un caractère exécrable et pense que tout lui est dû. Oui, tout. Même vous. Il adore être entouré, admiré, aimé. Autant dire que son titre de noble de Leone lui colle bien à la peau. Cependant, il n’en a que faire des Leone et de leurs petites manigances. Il n’y a que lui qui compte, lui et sa mère. Alors oui, quelles qualités a-t-il ? Et bien malgré tout, il reste loyal aux Leone. Il n’irait jamais divulguer des informations aux autres familles de la noblesse, même si cela pourrait lui rapporter gros. Il sait aussi se montrer courtois quand il le faut, mettant son mauvais caractère de côté. Vous seriez surpris du nombre de gens qui ont une bonne impression de lui. Et puis, c’est à peu près tout. Son esprit est aussi bordélique que ses appartements. Il est aussi très souvent dans un état de léthargie affolant.

    ۞ Vices : Du fait de l’utilisation de la Maestà, Vincenzo souffre de l’erotomanie. Sauf que pour lui, cela ne s’applique pas à une seule et même personne. Non, cela tombe au hasard. Il peut vous croiser dans la rue, sans même vous connaître, et être persuadé que vous l’aimez, que vous l’adorez, que vous le suivez en secret. Ah, il en a fait bien des victimes, ce pauvre fou ! Un autre de ses vices serait bien entendu l’opium, source de délire d’ailleurs, et de dépendance extrême. Il ne peut plus s’en passer. L’alcool aussi est l’un de ses vices, ainsi que la décadence et la frivolité.

    ۞ Aime : L’opium, ainsi que sa pipe fétiche. Il ne s’en sépare jamais de cette dernière, et y prend un grand soin. Il aime également sa mère, qu’il admire, bien qu’il ne prenne jamais en compte ses enseignements. Il aime aussi vivre dans le luxe, et qu’on le flatte.

    ۞ N'aime pas : Vincenzo n’apprécie pas maintes choses. La trahison, les intellectuels, les moralisateurs. Il déteste tout ce qui pourrait restreindre sa liberté. Il n’aime pas les gens condescendants avec lui, et surtout pas son frère aîné, encore moins son père.

    ۞ Sociabilité : Autant dire que sa sociabilité est nulle. Il n’a aucun ami et sa seule confidente est sa propre mère, chose bien triste d’ailleurs. Cette dernière a de quoi être désespérée avec un fils pareil. Il n’aime pas côtoyer les gens et est d’un naturel misanthrope. D’ailleurs, si vous parlez alors qu’il ne vous a pas sollicité, attendez-vous à être remballé illico presto.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé :

    - Quand vas-tu enfin faire quelque chose de ta vie ? Incapable !

    Incapable. Oui, il avait déjà entendu ce mot maintes et maintes fois. Il lui collait à la peau, lui correspondait, le décrivait entièrement. Quand allait-il faire quelque chose de sa vie ? Probablement jamais. Il n’en voyait pas l’intérêt. Après tout, il est né comme étant un raté, et raté il le sera toujours. C’est une étiquette qu’on lui a collé dès la naissance. A quoi bon se battre contre cela, si c’est ce que pensent les gens depuis toujours. Non, il préfère se laisser aller, ignorer ses voix pleines de remontrances. Ignorer cette joue rouge qui le lance. Ce n’était pas en le giflant qu’il allait réagir. De toute manière, lui avait déjà abandonné. Les autres devraient en faire autant, au lieu d’essayer de le remettre dans le droit chemin. Et puis, les Leone n’étaient plus ce qu’ils étaient. Ils étaient tombés dans la décadence, les complots, les manigances. Il suivait juste l’ère de son temps, tout simplement.

    Mais il n’a pas toujours été comme ça, ça non. A la naissance, le palais était charmé d’avoir un nouveau-né. Ce fut une grande nouvelle. Encore un Leone ! Et qui plus est, vu comment est son très cher frère, on peut en attendre beaucoup ! Certes, il avait été un accident, un indésirable, mais tout de même ! Il aura, pour sûr, les mêmes qualités et le même talent que son frère. Son frère, son frère, son frère. L’unique facteur de comparaison.

    Bien vite cependant, on se rendit compte que non, il n’était pas du tout comme son frère. Il devait avoir pris le mauvais gène. Et la valse commença, pour ne jamais s’arrêter. Un fond sonore perpétuel, qui l’agaçait, mais qu’il avait appris à ignorer avec le temps, à mettre en sourdine.

    - Pourquoi n’es-tu pas plus comme ton frère ? Lui, au moins, sert dignement la famille des Leone !

    A quoi bon ? Je ne serais jamais aussi doué que lui, ou aussi doué que vous, Père.

    Des mots silencieux, traduit seulement par un regard haineux. Mais la haine avait juste remplacé la douceur. Car il avait sincèrement aimé son père et son frère, et avait tout fait pour être à la hauteur de leurs espérances. Il travaillait ses cours comme un forcené, faisait de l’escrime, et allait même à la chasse, passe-temps pour lui des plus détestables. Mais il n’était pas un prodige lui. Il n’était qu’un être humain normal, sans qualité particulière. Alors il se réfugiait auprès de sa mère, s’installait sur la terrasse avec elle, en buvant du thé, en mangeant des gâteaux. Tous deux regardaient alors le père et le frère aîné s’entraîner à l’épée. Petit à petit, Arnaldo oublia qu’il avait un fils cadet. Il ne lui portait plus aucune importance, ne lui jetait aucun regard, sauf peut-être de rares fois. Et encore, ils étaient remplis de déception, de pitié.

    - Tu n’es qu’un bon à rien. Cesse donc de m’importuner.

    Et voilà, il était rejeté par son frère également. Me vois-tu comme un raté également ? Un dégénéré ? Un être qui n’est pas digne d’être à tes côtés ? Ce n’était pas faute d’avoir essayé. Il lui demandait s’il voulait qu’ils jouent ensemble, ou bien qu’ils aillent en cuisine chaparder quelques sucreries. Mais la réponse était toujours non. Alors il allait se faire réconforter par sa mère. Cette dernière, d’ailleurs, en était ravie. Elle pouvait enfin profiter de l’un de ses enfants ! Luca, lui, était toujours trop occupé à étudier, et restait avec son père. Il n’était pas difficile de voir que la famille était séparée en deux.

    Qu’importe ! se disait Vincenzo. Il n’y a que Mère qui m’aime pour ce que je suis. Elle sera la seule dans mon cœur. Les autres peuvent pourrir en Enfer !

    C’est ainsi qu’il passa le reste de son enfance, à partir de ses neuf ans. Il restait auprès de sa mère. On commença à dire de lui qu’il était un garçon chétif, et les domestiques adoraient le taquiner sur son manque de virilité. Chose qui l’agaçait d’ailleurs. Un garçon ne pouvait-il pas rester avec sa mère ? Devait-il forcément se rouler dans la boue et donner des coups à ses camarades ? Ne pouvait-il pas boire tranquillement une tasse de thé en lisant un bouquin ? Il ne s’intéressait guère à la politique, à ce qu’il se passait à Belmonte. Certes, il avait entendu quelques discussions entres domestiques, ainsi que la tragédie qui avait frappé les Cygno et les Serpente. Mais tout cela lui était indifférent. Oui, il commençait à se détacher de tout cela.

    Puis ce fut l’adolescence. Ah, l’adolescence. On disait que c’était la meilleure époque d’une vie. En plus, son frère était partit au front pour prouver dès la majorité atteinte qu'il était un homme, un vrai! Il était un peu mégalomane sur les bords, mais qu'importe! Quel bonheur ! Quel délectation de ne plus avoir cette épine dans le pied ! Il espérait sincèrement que son très cher frère ne reviendrait jamais, sinon son cadavre désarticulé. Oui, il se ferait une joie de préparer ses funérailles, de lui faire un dernier discours d’adieu. Mais cela était encore loin ! Autant profiter du moment présent, de sa jeunesse ! Enfin, il quittait les jupons de sa mère, pour découvrir la vie. Il n’avait pas de bonnes fréquentations, ça non. Cela commença par les bordels, la découverte des plaisirs de la chair. Il commença à avoir des petites amies, à sortir avec, à rentrer tard, faire le mur. Il n’en avait que faire de ce que disaient ses parents ! Il voulait vivre sa vie, comme bon lui semblait. Les amants défilaient de plus en plus rapidement. Le temps aussi. Enfin, il était libre. Puis ce fut la découverte de l’opium. Quel délice ! Quelle jouissance ! Il n’y avait rien de mieux, vraiment. Il tombait de plus en plus dans la décadence.

    Il commença à souffrir des contrecoups de la Maestà également. Le syndrome de l’érotomanie. Mais pour quelqu’un comme lui qui est si dispersé, se fixer sur une seule personne n’est pas suffisant. Non, il est persuadé que chaque personne qu’il rencontre est folle amoureuse de lui. Ou du moins presque chaque personne. Ce fut le début des problèmes. On le trouva encore plus fou qu’il ne l’était déjà. Les autres membres de la famille le voyaient de plus en plus comme un dégénéré. Il harcelait hommes et femmes parfois, allant jusqu’à les menacer d’arrêter de le suivre, leur disant qu’il n’était point intéressé par leurs petites personnes. Il se faisait des idées, bien évidemment. Malgré cela, il attirait encore beaucoup de gens. Et c’était juste un cercle vicieux.

    Un jour, il crut qu’une domestique était tombée amoureuse de lui. Il croyait qu’elle s’était mise à son service dans le but unique de l’approcher. Grossière erreur. C’était juste un ordre de là-haut. Elle gardait ses distances, connaissait bien le caractère de ce Leone. Mais ce dernier était de plus en plus persuadé qu’elle l’aimait éperdument. Si ce n’était pas le cas, pourquoi pliait-elle donc d’une certaine manière ses vêtements ? Pourquoi mettait-elle toujours deux sucres dans son thé, au lieu d’un demi, si ce n’était pas pour attirer son attention ? Il la repoussait, lui disait que cela suffisait, qu’ils ne pouvaient continuer ainsi. Elle, elle ne répondait rien. Il attendait une déclaration d’amour ouverte, mais rien ne venait. Alors il commença à déprimer. La domestique, ne supportant plus la situation, demanda à être la domestique d’un autre, et elle partit. Cela le rendit fou. Il la chercha partout, se faufila dans sa chambre. Et un jour, il explosa littéralement, la giflant, la frappant, tout en lui hurlant d’arrêter, qu’il ne l’aimerait jamais, que cela ne menait à rien. Que leur amour était impossible dans un monde pareil. On l’arrêta.

    Depuis, les domestiques défilent. Chacun ne reste pas plus d’un mois, au risque que cela ne dégénère de nouveau. Mais son complexe, lui, resta, bien que moins fort. Tant que la personne sur qui il a jeté son dévolu n’est pas une personne qu’il fréquente souvent, alors tout va bien. Il est persuadé que le monde entier l’aime, sauf sa famille, si on exclue sa très chère mère.

    Sa vie continua ainsi, pleine d’oisiveté. Il se décida un jour à racheter la fumerie d’opium. Tellement plus pratique. De plus, il pouvait choisir lui-même les produits qui seraient vendus, et n’avait plus besoin de payer pour s’en procurer. C’était un commerce florissant, que les autres membres de la famille voyaient d’un mauvais œil. En plus d’être fou, il était aussi un drogué ! Mais qu’allait-on faire de lui ? Son frère rentra du front. Ce fut avec dépit qu’il apprit la nouvelle. Ainsi donc, il n’était pas mort. Mais au moins avait-il perdu un œil ! Ah, qu’il aimerait envoyer un bouquet de fleurs à la personne qui avait réussit à faire cela ! Et le retour de son frère n'amenait pas que de bonnes nouvelles. Non, bien au contraire. Ayant perdu son oeil, il était irascible, du moins aux yeux de Vincenzo. En plus, il semblait prendre un malin plaisir à venir l'embêter dès qu'il en avait l'opportunité. Ne pouvait-il pas juste le laisse tranquille, l'ignorer comme auparavant? De plus, il y avait une plus forte demande à la fumerie, des impayés qui s'accumulaient. Tout cela était si ennuyeux...

    M'enfin, il avait encore beaucoup de choses à vivre, lui qui avait atteint les vingt-quatre ans. Tout ce qu'il avait à faire, c'était éviter et ignorer son père, ainsi que son frère, et de continuer à vivre comme il l'entendait. Les dix dernières années de sa vie n'ont donc rien de spectaculaire. Il maîtrisa un peu mieux sa Maestà, s'amusant à l'utiliser sur les gens proches de lui, puis son cerveau commença à se dégrader à force de fumer de l'opium. Il devenait quelqu'un de lent, passif, sans aucun but dans la vie. Il avait tant consommé qu'il avait commencé à perdre goût à la vie. Tout lui semblait être du déjà-vu. Tout lui semblait futile. Ah oui, il était réellement devenu un incapable, un bon à rien.

    - Tu brûleras en Enfer pour tes tares !

    Oui, comme nous tous de toute manière. Et maintenant, le rideau se lève.

    ۞ Famille :
    Aurora Leone – mère, 55 ans : Une femme pleine de douceur et de grâce qui accepte son fils comme il est. C’est bien pour cela que Vincenzo l’aime plus que tout. D’ailleurs, s’il le fallait, il donnerait probablement sa vie pour elle.
    Luca Leone – frère prodige, 38 ans : Eux deux ne s’entendent guère. Luca considère son frère, Vincenzo, comme étant un raté, un dégénéré. Luca suscite l’admiration chez les Leone grâce à son dévouement et sa loyauté sans borne. C’est bien pour cela d’ailleurs qu’il s’est engagé auprès de l’armée de la famille.
    Arnaldo Leone – père, 60 ans : A la retraite à présent, il a fait partie de l’armée. Il porte toute son affection sur son premier fils, le deuxième étant un accident, et qui plus est, un raté, un incapable. Vincenzo le déteste.

    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? Partenariat !
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Chouette contexte, chouette idée, ça faisait un moment que je cherchais un nouveau forum qui me plaisait !
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Hum, assez bon sans non plus être exceptionnel !
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage?Régulière !



Dernière édition par Vincenzo Leone le Dim 27 Fév - 13:49, édité 1 fois
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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

Ludovico III Leone

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Vincenzo Leone _
MessageSujet: Re: Vincenzo Leone   Vincenzo Leone Icon_minitimeLun 7 Fév - 7:18

Haaaa, de la familllleee, et un mec drôle! *sautille en lui tournant autour*

Je valide la présentations, très bonne, avec un personnage très chouette que j'espère bien croiser en RP un de ces quatre! Bon jeu à toi sur Belmonte! =)
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Vincenzo Leone

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