Belmonte
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 Rosalinda Fenice

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AuteurMessage
Rosalinda Fenice

♥ Allumette de Porcelaine ♥

Rosalinda Fenice

◊ Messages : 494

Rosalinda Fenice _
MessageSujet: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitimeLun 15 Nov - 15:15

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Fenice
    ۞ Prénom(s) : Rosalinda
    ۞ Surnoms : /
    ۞ Âge : 24 ans
    ۞ Famille : Fenice
    ۞ Sangue Nobile : Fuoco Ardente
    ۞ Statut : Noble dilettante
    ۞ Orientation sexuelle : Hétéro à priori


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Rosalinda est une jeune femme frêle,
    au corps délicat qui semble émettre un halo de lumière dès que les rayons du soleil la frappent (paf). Pâle, les cheveux plus gris argentés que réellement blond cendré, elle promène sur le monde un regard doux, aux yeux clairs, presque gris eux aussi. Du fait de ces colorations claires, bien éloignées des tons flamboyants de sa lignée, son tempérament de Fenice ne se remarque pas au premier abord, et bien malins seraient ceux qui pourraient coller un nom sur son visage peu connu alors qu’elle ère parfois sans but dans les rues de la ville, comme pour s’imprégner des lieux, silencieuse, gracieuse, presque fantomatique. Elle est mince et souligne souvent sa taille d’un corset bien ajusté. Elle coiffe souvent ses longs cheveux avec des chignons compliqués, éducation oblige, mais elle aime laisser quelques mèches folles de ci de là. Je suis noble, dit son allure, mais j’ai enfin réussi à sortir du carcan, disent les mèchent qui volent au vent là où l’on attendrait une mise plutôt soignée. Elle cache ses membres longs et fins sous de lourds tissus et ne sortirai pas d’avantage bras nus que sans jupon. Elle se maquille dans des teintes pastels, irisées, en petites touches. On la forçait à se mettre un parfum lourd et capitonné, le même que celui de sa mère, mais depuis peu elle lui a préféré une nuance plus florale qu’elle diffuse derrière elle. (vaut mieux ça que de sentir l’oignon.)
    Comme elle ne s’est quasiment jamais servi de ses pouvoirs, son corps va très bien, merci. Elle n’ignore pas que l’utilisation prolongé du Fuoco Ardente la fera horriblement souffrir et risquera même de la déformer mais pour le moment tout ceci n’est qu’une vague légende liée à sa famille, rien de bien concret.
    1m75 pour 60 kilos, elle ne se prive pas vraiment pour ce qui est de manger mais entre les corsets et la génétique, rien de bien apparent. Et puis qui irait voir de la cellulite sous une robe sous laquelle il y a encore un jupon puis des bas qui montent quasiment en haut des cuisses, hein ?

    ۞ Allure : Rosalinda semble flotter sur Belmonte. Avec ses longues robes qui tombent jusque par terre, et son air rêveur, elle a tout à fait l’air d’une apparition.
    Elle sait que sa famille fait partie de l’élite de Belmonte et pour éviter d’être importunée par n’importe qui à ce sujet elle sort souvent avec une ombrelle pour se protéger du soleil qui trahit sa condition auprès d’un œil avisé. Elle semble souvent s’agripper des deux mains à son ombrelle mais il faut dire que si Belmonte la fascine, ce monde qui lui est tout de même étranger l’effraye un peu aussi.
    Corset et éducation oblige, elle se tient toujours très droite, le menton levé, la tête haute. Il ne lui viendrait même pas à l’idée de s’avachir quelque part, même seule. Elle rougit souvent parle peu et sait se fondre dans le décor malgré ses robes richement ouvragées.
    Elle marche à petit pas, comme une dame, se gardant bien de courir ou de marcher à grand pas sauf si la situation l’exige. Auquel cas elle prend son jupon à la main, et trottine comme elle peut. (qui a dit « gourdasse » ? Allez courir en jupon avec des talons et un corset qui vous comprime XD)

    ۞ Goûts vestimentaires : Longues robes aux lourds jupons, voilà ce qui constitue 90% de sa garde robe. Elle aime se parer de vêtements pastels le jour, et sombres la nuit. Elle peut passer du violet pastel pour une balade diurne à un ensemble rouge cramoisi pour un bal en soirée. Pour se vêtir, chaque jour que Dieu fait, elle enfile des bas retenus par des jarretelles accrochées à son porte jaretelle. Puis elle fixe son corset, et enfin ses jupons et sa robe. Manches longues évasées à dentelles, décolleté pigeonnant, rubans de ci de là. Si certaines robes sont à manches courtes, alors elle enfilera des gants qui masqueront sa peau presque jusqu’en haut. Et enfin, souvent une paire de bottines assorties à ses vêtements, même si elle est souvent la seule à les voir. Il lui arrive de voiler son visage à certaines occasions. Ses robes sont finement brodées, parfois avec des dentelles et parfois avec de petits chapeaux haut de forme.
    Pour passer inaperçue elle optera pour des broderies tons sur tons. Pour souligner sa condition, ça sera aussi contrasté et flamboyant que possible. On est une Fenice ou on ne l’est pas. (Quand on l’assume) Elle porte également beaucoup de bijoux en argent, pour coller à son teint de porcelaine.
    La plupart de ses gants résistent à de hautes températures, par précaution.

    ۞ Signes particuliers : Elle est pâle, très pâle, et comme dit précédemment elle a les cheveux fins et argentés. En dehors de ça et de ses tenues de nobles, elle n’a rien de particulier en dehors de son air rêveur et d’une certaine chaleur corporelle un peu plus élevée que la moyenne, mais il faudrait l’approcher de près pour s’en rendre compte, ce qui n’est pas donné à tout le monde.

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Rosalinda est un peu craintive, toujours discrète, mais si elle doit faire valoir son rang elle saura se montrer flamboyante et se faire respecter comme ses pairs. Même si ses origines sont moins nobles que celles des Leone ou des Pavone, elle sait qu’elle est issu de l’une des grandes familles de Belmonte et sait se comporter comme telle. Elle a reçu une éducation très stricte, et en cas de grande contrariété, son sang bouillonne et elle s’emporte violemment, ce qu’elle regrette bien sûr ensuite.
    Elle aime se balader en ville et découvrir des quartiers dont elle ignore tout (elle a été élevée en milieu clos) même si elle n’oserait pas aller jusqu’aux docks qui sont pourtant la propriété de sa famille. Trop d’hommes, trop de bruit, trop de… Gueux, en somme. Elle n’est pas vraiment condescendante, juste ignorante et craintive. Elle aime la mer, sans grande surprise, pour son côté romantique. Elle sait que la plupart des environs maritimes de Belmonte, docks compris, sont sous domination Fenice, et elle aime se dire qu’au pied des vagues, elle est un peu chez elle.

    ۞ Vices : La coquetterie, son désir de plaire et elle compte bien découvrir ce qui ce cache derrière le mot « luxure » à présent qu’elle est libre.

    ۞ Aime : Les jolis vêtements, les bijoux. Lire, la viande rouge (étonnant venant d’une femme de sa stature) les fleurs et leurs parfums, se balader.

    ۞ N'aime pas : rester enfermée. Elle ne le supporte plus. Sa chambre est la seule pièce de la maison où elle supporte de s’enfermer elle-même. Elle n’aime pas que n’importe qui lui adresse la parole, à plus forte raison si c’est aviné ou mal rasé.

    ۞ Sociabilité : Elle est avenante face à des personnes de son rang, mais se ferme assez facilement à des « inférieurs » qu’elle ne connaît pas et qui la mettent mal à l’aise. Ceci dit elle reste polie et courtoise en toute circonstances. Même si la politesse peut vite se teinter de sarcasmes.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé : Rosalinda a été élevée comme une princesse, en milieu clos, avec tout ce que cela implique.

    Fille unique de Matteo et Fiametta Fenice, Rosalinda est née avec une cuillère en argent dans la bouche. De son père, un homme discret qui l’adorait, elle a hérité ses grands yeux bleus, ses cheveux clairs et son sens inné de la discrétion. De sa mère, femme de pouvoir qui tenait toute la maison sous sa coupe, elle a hérité sa passion pour les vêtements et les bijoux et… C’est tout. Rosalinda détestait sa mère au plus haut point.

    Rosalinda naquit donc il y a 24 ans, dans une luxueuse villa des Fenice, qu’elle ne quitta plus jusqu’au départ de sa mère.
    De son enfance, elle ne se rappelle que de la villa, de sa chambre, et hauts murs derrières lesquels elle était protégée, et qui ne laissait rien voir d’une ville dont sa mère parlait souvent, et qui lui faisait envie.
    Quand elle fut assez grande pour se hisser sur la pointe de ses petits petons et regarder à l’extérieur par la plus haute fenêtre de la villa, elle ne vit que des toits à perte de vue, et la mer. De la vie au-delà de l’enceinte de la villa, elle n’entendait qu’un vague murmure. De la vie au-delà de la mer, elle ne voyait que quelques voiles, par temps clair. Et ce seulement quand on lui laissait le loisir de contempler l’horizon.
    Les journées de son enfance étaient rythmées par l’éducation. L’éducation culturelle, scolaire le matin et l’après midi. L’éducation culinaire, parfois, en fin d’après midi. Et enfin les cours de bienséance, d’étiquette et de maintient avant d’aller se coucher.
    Un soir par semaine, elle avait des cours de danse avec son père, l’une des rares choses qu’il avait pu obtenir en tenant tête à madame Fiametta Fenice, harpie de son état. Moment privilégié où elle se retrouvait enfin seule avec le chef de famille (le chef officiel, sa mère tirant toutes les ficelles dans l’ombre) et où en se perdant dans ses yeux bleus au détour d’une valse, elle pouvait se rappeler ces moments passés dans le jardin sous le soleil, quand son père lui montrait comment fabriquer des petits bateaux en bois pour les faire naviguer sur la fontaine, où quand il lui racontait les prouesses de ses corsaires d’ancêtres.
    Mais sa mère qui tenait à tenir chaque personne de la maisonnée sous sa coupe trouvait toujours un prétexte pour que chacun s’isole, pour les priver de ces moments de retrouvailles où ils étaient vraiment bien tous les deux. Le père fier de sa fille, et la fille qui reportait tout l’amour qu’elle aurait du donner à ses deux parents sur un seul d’entre eux, ne laissant qu’une haine glaciale à l’autre.
    Sa mère, au début de l’éducation de Rosalinda, tenait à assurer elle-même les cours, n’hésitant pas à user de châtiments corporels pour motiver sa fille. La moindre faute de conjugaison était sanctionnée d’un coup de règle sur les doigts, une faute de calcul pouvait se solder par une gifle, et un plat brûlé par un coup de torchon mouillé en travers du visage. Fiametta était ce genre de femme calculatrice, manipulatrice, qui avait construit sa vie en se battant pour épouser un noble qu’elle n’aimait pas pour avoir le statut qu’elle convoitait tant, et qui ne laissait aucune place à l’échec dans sa vie. Et comble de malchance, Rosalinda faisait partie intégrante de sa vie. Alors l’échec n’était pas toléré.
    Mais un jour qu’elle avait encore sermonné à outrance Rosalinda et l’avait traîné dans la boue en la traitant de moins que rien, elle vit étinceler dans les yeux de sa fille une colère effrayante, et ce fut le dernier éclat qu’elle vit avant que toute la salle éclairée à la bougie selon la tradition Fenice ne fut plongée dans l’obscurité. En tant que « pièce rapportée » elle n’avait expérimenté le Sangue Nobile de la famille Fenice que de loin (son mari n’aimait pas vraiment faire de démonstrations devant elle, puisque ce pouvoir était très contraignant) mais cette fois ci elle prit peur, et fit appel à un précepteur pour poursuivre l’éducation de sa fille.
    Une fois la petite Rosalinda remise sur pieds (l’extinction de toutes les bougies alentours lui avait fait faire un malaise, même si elle avait été guidée par la colère) on lui trouva un précepteur fort sympathique, qui plut beaucoup à la jeune fille. Il fut immédiatement renvoyé et remplacé par un vieil homme acariâtre, désagréable et aussi desséché que les épais volumes qu’il lui faisait parcourir.
    Son père mourut lorsqu’elle avait dix-sept ans, usé par le Sangue Nobile et la méchanceté de sa mère. Rosalinda qui adorait son père et pour qui cette histoire de dégénérescence n’était qu’un fait sans fondement apparent (elle avait attribué son malaise à la colère) attribua la mort de son père aux manigances de sa mère et dès lors, un climat de haine plomba toute la maisonnée.
    N’en pouvant plus de tristesse et de douleur à mesure que les années passaient, Rosalinda qui s’opposait de plus en plus souvent à sa mère en lui tenant tête finit par provoquer un accident qui l’horrifia. Alors que sa mère l’empoignait dans les cuisines pour la battre pour un énième prétexte fallacieux, malgré ses 23 ans, elle l’attrapa au poignet et avant de se rendre compte de ce qu’elle faisait, embrasa le tissu qui prit feu instantanément. Sa mère n’était une Fenice que par les liens du mariage, elle fut brûlée jusqu’au cou le temps que sa fille ne prenne un seau d’eau pour lui jeter au visage, avant de s’effondrer, la poitrine comprimée par l’angoisse et le Sangue Nobile.
    Les soins prirent des semaines. Les deux femmes n’osaient plus se croiser. Et un matin, Rosalinda s’éveilla soudainement apaisée. Elle se leva, ne croisant personne, sortit dans le jardin où le soleil la baigna de sa lumière, et où elle croisa finalement un domestique qui lui annonça le départ de madame sa mère, avec une partie des finances de la famille. Peu importait, il restait une somme considérable pour vivre, sans compter l’apport qu’avait placé son père pour qu’elle ne manque jamais de rien, et enfin, une bouffée d’oxygène. LA bouffée d’oxygène qui alluma définitivement sa flamme de Fenice, et la fit se sentir plus vivante que jamais.

    Le jour même, elle prenait la clé de la grande porte qu’elle n’avait jamais franchi. Elle la serra contre son cœur toute la nuit, les yeux grand ouverts, l’esprit voguant à toute allure vers ce monde extérieur, tentant de l’imaginer avec ce qu’elle avait lu, entendu de sa mère ou des étrangers de passage.
    Deux jours plus tard, elle sortait enfin, avide et curieuse, mais terriblement apeurée…
    C’était il y a quelques mois.

    ۞ Famille : Son cousin, Guiliano Andrea Fenice qu’elle a déjà vu étant petite, mais dont elle ne garde qu’un souvenir confus (si ça ne dérange pas Guiliano, bien sûr)


    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? Je suis sur Angel’s House, j’ai regardé la liste des partenaires en random et j’ai accroché comme un vieux bout de scotch qui traîne, et que t’as beau remuer les paluches, il reste collé.

    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Les graphismes de ce forum m’ont fait saigner des yeux et le contexte Mascaradien avec une pointe de Lovecrafterie au détour d’une fiche de famille m’ont définitivement fait fondre. J’ai lutté mais j’ai perdu. XD ce forum est beau (avec des petits détails de ci de là qui font classe), bien pensé, et le règlement avec les kikoolol34 et autres Mary Sue m’a bien fait rire.

    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Qui suis-je pour me juger ? Demandez plutôt à mes partenaires (gens de Angel’s House, reconnaissez vous !)

    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Quotidienne, j’suis une sale geek.


Dernière édition par Rosalinda Fenice le Mer 26 Jan - 21:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitimeLun 15 Nov - 15:22

Lu, acceptée et validée!

Et je suis très contente de ton commentaire, je vois que les Angelousiens viennent en masse. Un très bon forum, un très bon niveau.

Mais kikitué dessus?
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MessageSujet: Re: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitimeLun 15 Nov - 15:23

Un personnage aux antipodes de celui ci XD
Un nouveau là bas aussi d'ailleurs, Daryan dit "le punk", "le furet" ou "tête de damier" ou plus sommairement "TG tu nous fait ch** à nous contredire tout le temps". Je suis aimée. Si si.
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MessageSujet: Re: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitimeLun 15 Nov - 15:39

DARYAAAAAAAAAAAAAANNNN KEUPONNN! Ha bah merde alors, un membre que je l'adore! Bon aller, validée, file jouer, biquette!
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MessageSujet: Re: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitimeLun 15 Nov - 15:40

Je l'savais qu'on m'aimait 8D

*file jouer*

Mêêêêêh *biquette*
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MessageSujet: Re: Rosalinda Fenice   Rosalinda Fenice Icon_minitime

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