Belmonte
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 Armando Lupo

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Armando Lupo

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Armando Lupo

◊ Messages : 169

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Armando Lupo  _
MessageSujet: Armando Lupo    Armando Lupo  Icon_minitimeMer 27 Avr - 9:54

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Lupo
    ۞ Prénom(s) : Armando
    ۞ Surnoms :
    ۞ Âge : 53 ans
    ۞ Famille : Lupo
    ۞ Sangue Nobile : Bestialità, niveau 5
    ۞ Statut : Retraité de l’armée, ancienne tête de famille
    ۞ Orientation sexuelle : Information non disponible


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Il n’y a pas à dire, quand Armando Lupo est là, on le remarque tout de suite. Déjà de part son air hirsute, limite animal sauvage, mais aussi par sa taille imposante. Mesurant 1m95, il dépasse largement la plupart des gens. Commençant donc par son corps. Il n’y a pas que la taille qui est imposante chez ce loup, bien au contraire. On peut aisément deviner des muscles saillants sous son costume deux pièces. Musclé, ça il l’est sans aucun doute, pratiquant la course régulièrement, et passant de temps en temps à la salle d’escrime du manoir, histoire de se maintenir en forme malgré son âge. Sa peau est hâlée, rappelant les habitants de Jazerath. Il représente parfaitement l’homme viril et plein de testostérone. Ses mains sont également assez particulières par leur taille. Elles sont rugueuses, et ses doigts sont noueux, pas du tout délicats. Elles ont été forgées par le combat, par la guerre. Il porte une chevalière en or à l’index de sa main droite qu’il ne quitte jamais d’ailleurs. Au niveau de son visage, première chose étonnante, sa coupe de cheveux. Ses cheveux partent dans tous les sens, et sont la plupart du temps ramenés en arrière. Ils sont d’un marron foncé, presque noir à vrai dire. Lui arrivant jusqu’au bas de la nuque, rebiquant aux pointes, cette coiffure naturelle lui confère un air sauvage, animal, et séduit bien des personnes. Mais il les coiffe souvent en queue de cheval pour lui donner un air plus correct, officiel. Vient ensuite la barbe qu’il possède, tout le long de son menton, et seulement là. Un loup-garou, voilà ce à quoi il ressemble, même sous sa forme humaine. Ses sourcils sont épais et broussailleux. Ses yeux légèrement en amande sont couleur noisette. Et son sourire… Des dents toutes blanches, et des canines un peu pointues, accentuant encore plus son côté bestial. Un sourire ravageur, charmant.


    ۞ Allure : En société, quand il lui faut aller en ville, il a une démarche droite, fière, militaire. Après tout, il a travaillé dans l’armée de terre, et a même été à son commandement, à une époque lointaine. Mais chez lui, ou quand il se balade dans les bois, sa démarche est plus détendue, relâchée, le dos un peu recourbé. Cependant, où qu’il soit, il reste alerte, écoutant le moindre bruit, reniflant la moindre odeur suspecte. Il n’est pas paranoïaque, loin de là, mais disons que l’armée l’a rendu comme cela, ainsi que son éducation stricte. Quand Armando débarque quelque part, il inspire le respect, la crainte. Et il vaut mieux vous tenir à carreaux avec lui.

    ۞ Goûts vestimentaires : Côté vestimentaire, il est très sobre quand il sort de chez lui. Des costards iront parfaitement, avec chemise de toutes les couleurs, cravates de tout genre. A lui tout seul, il pourrait ouvrir une boutique de costumes. Il possède toutes les couleurs possibles, tous les rayés possibles, et le tout sur-mesure, bien entendu. Monsieur ne fume pas de cigarettes, mais des cigares coûteux, qu’il allume avec des allumettes qu’il emporte toujours avec lui. A le voir, on comprend tout de suite qu’il fait parti de la classe supérieure, des grands riches, les nobles. Rien que les chaussures en cuir lustrées le prouve. Sa démarche est discrète, mais fait toujours son petit effet. Peut-être est-ce son regard observateur, ou alors ses bonnes manières, ou encore la façon dont il parle. Il a une attitude très noble et courtoise, et vous entendrez rarement sortir de sa bouche des insultes ou des mots grossiers. Monsieur sait se tenir en société. Chez lui par contre, c’est tout autre chose. Il enfile des vêtements larges, sans forme, dans lesquels il se sent confortable, et traîne pieds nus, cheveux en bataille. Joseph est quelqu’un d’assez naturel au final, mais qui a eu une éducation très stricte au final, qui aujourd’hui le poursuit encore. Un parfum d’eau de Cologne se dégage de lui, mais en l’approchant de plus près, vous pourrez sentir une légère odeur de roses.

    ۞ Signes particuliers : Avec le temps qui passe, Armando devient de plus en plus une bête. Ses oreilles sont légèrement plus pointues, ses canines le sont également, le faisant passer pour un vampire parfois. Ses yeux ne sont plus que des prunelles fendues à présent. Mais le plus marquant, c’est la queue de loup qui commence au bas de ses reins. Une queue touffue, sombre, qui bat de l’air au rythme de ses humeurs. Malgré la crainte et la fascination que cela inspire chez certaines personnes, il ne la cache point. C’est sa vraie nature. Et un jour, il deviendra complètement un loup. D’ailleurs, quand il se transforme en loup, il est toujours aussi imposant avec ses longs crocs acérés, ses griffes, son poil dru et sombre.


    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Armando est un homme taciturne. Il ne parle que très peu. Evidemment, il n’a pas toujours été comme ça. De nature, c’était quelqu’un de plutôt jovial et chaleureux. Mais de nombreuses choses au cours de sa vie ont changé son caractère. Il s’est construit une sorte de carapace, une armure en béton, et il ne se laisse plus toucher par quoi que ce soit. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Derrière ses airs froids, son regard sévère, il est quelqu’un qui reste loyal à la meute, à leurs convictions. Il n’hésiterait pas à reprendre les armes pour défendre ses proches. Et il montre les crocs à quiconque oserait les menacer. Mais cela n’est pas nécessaire. Après tout, les Lupos se sont retirés de la ville pour vivre au plus près de la nature, là où personne ne viendra plus les déranger. C’était mieux comme ça. Il est également quelqu’un de très solitaire. Oui, cela fait cliché, mais qu’importe. C’est ainsi qu’il aime vivre sa vie. Seul. Mais il ne peut évidemment pas survivre sans les autres membres de la meute. Etrange paradoxe que d’être un loup tel que lui. Il a un besoin de solitude, mais en même temps, a besoin de compagnie. Cependant, vous ne le verrez fréquenter que des autres loups. Il est rare pour Armando de se tourner vers d’autres personnes, encore moins vers d’autres nobles.

    ۞ Vices : Les cigares sont tels une petite douceur pour lui, et il ne peut s’en passer. Il en fume plusieurs par jour, s’enivrant de cette odeur légèrement caramélisée. Il a également un penchant pour l’alcool, sans non plus qu’il soit très sévère.

    ۞ Aime : Aussi étrange que cela puisse paraître, il adore l’opéra. Mais il n’y va plus. Non, cela fait vingt ans qu’il n’y va pas. Quel intérêt ? Personne ne peut égaler les Cignos. Il aime également la viande, non, adore la viande. Il faut qu’il en mange à chaque repas. Sûrement un contrecoup de son côté animal, qui devient de plus en plus présent. Il adore la forêt, et peut y passer des jours et des nuits entiers, à courir, à chasser. Oui, la chasse. Un de ses passe-temps préférés. Et si c’était vous qu’il chassait ?

    ۞ N'aime pas : La politique, les autres familles nobles belmontiennes, mis à part les Cignos, qui n’existent plus. Il n’aime pas non plus avoir sa viande trop cuite, et qu’on le dérange inutilement. Il déteste les fêtes, les bals, et tous ces autres aspects superficiels de la vie d’un noble.

    ۞ Sociabilité : Armando est très peu sociable. Certes, si vous le lancez sur certains sujets qui le touchent particulièrement, il peut parler jusqu’à plus soif. Mais sinon, il est quelqu’un qui reste à l’écart, volontairement. Il est proche des autres Lupos, à sa manière. Mais pour un homme qui a tout perdu, difficile de vouloir se nouer aux autres.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé :

    Armando Lupo est né un 1er février, en plein hiver. Il a vu le jour alors que des flocons de neige descendaient lentement du ciel, déposant un manteau blanc et pur sur le paysage. C’était le début de l’histoire d’un grand homme. Un grand homme qui, trente-deux ans plus tard, allait être brisé.

    Mais commençons par le début.

    Fils unique de Giuseppe et Arianna, il était destiné à faire parti de l’armée de terre, tout comme son père. Giusuppe était un grand combattant. Il était respecté de tous. Et son fils sera également respecté de tous. C’était ce qui fut décidé, dès sa naissance. Mais pour l’instant, il aurait un peu de répit. Pour les premières années de sa vie, il serait choyé, chouchouté. C’était exactement ce qu’il se passa. On s’occupa de lui comme d’un roi, accordant sa tenue de nourrisson avec celle de sa mère ou changeant sa nourriture s’il se mettait à pleurer. Mais ces années-là, il ne s’en rappelait pas. Personne ne se souvenait clairement de ses toutes premières années. C’est alors que tout bascula, quand il atteint l’âge de sept ans.

    L’enfance était à présent terminée. Au placard les jouets ! Au placard les jolis vêtements et les livres remplis de contes de fée ! Il était temps de commencer son apprentissage d’homme, de loup. Et pour cela, il fallait d’abord passer par l’éducation. Gare à ceux qui osaient dire que les Lupos n’étaient pas des gens cultivés, qu’ils n’étaient que des rustres. Ils vivaient en harmonie avec la nature, avec leur côté animal, mais ils n’en étaient pas moins des humains. On apprit donc à Armando tous les rudiments de la vie comme comment se comporter en société, et comment allumer un feu dans une forêt. Ce fut comme une sorte de double éducation. D’un côté, le côte noble, de l’autre, le côté animal. Les années suivantes furent les plus difficiles pour Armando. Pourquoi ne pouvait-il pas jouer avec les autres enfants ? Pourquoi devait-il apprendre des théories philosophies farfelues ? Parce que c’était pour son bien. Et s’il n’était pas content, qu’il aille s’enfermer dans sa chambre pour quelques jours, sans manger.

    Il était ce jeune garçon assis à une table. Ses cheveux sont d’un brun très foncé, coiffés en arrière, gominés. A ses côtés, une dame aux airs très stricts, une règle à la main, penchée au-dessus des cahiers du petit. Il fait ses devoirs de maths. Après, ce sera l’astronomie, puis la physique, et enfin la biologie. Demain, il allait falloir qu’il finisse le livre sur ce grand philosophe français au risque d’être puni. Ses pieds se balancent dans le vide. Il ne touche pas le sol tellement la chaise est haute. Tous les meubles sont d’une taille démesurée d’ailleurs. La salle d’études, comme on l’appelle, est gigantesque, et un silence religieux y règne. C’était là son souvenir le plus marquant. Et le plus récurrent.

    Au fil du temps, son caractère se forgea, comme son père le souhaitait. Il devint un jeune homme à l’allure fière, à la démarche droite. Menton relevé, il était prêt à commencer son service militaire. Car il était destiné à être dans l’armée, pour tout le restant de sa vie, du moins jusqu’à la retraite. Son père et sa mère ne pouvaient être plus fiers de leur enfant, de leur progéniture. Certains auraient pu croire qu’il n’était pas heureux de sa vie. Et bien ils se trompaient. Car Armando était lui aussi très fier de son éducation, fier de ses origines. Et il allait à présent faire ses preuves. Sur le terrain, on le railla souvent de par ses connections. Son père était après tout un grand régent de l’armée de terre. Mais il ne laissa pas les remarques l’atteindre. Il leur montrerait à tous, de quoi il était capable.

    Quelques années plus tard, à son retour du front, il avait été promu capitaine. Il ne pouvait pas être plus fier. Et comme récompense, sa mère l’emmena à l’opéra. Elle ne passait que trop peu de temps avec son fils, et depuis, il lui semblait qu’elle l’avait perdu de vue. Il s’éloignait de plus en plus, ne pensant qu’au combat, qu’à la guerre, qu’aux différentes tactiques et stratégies. Il devait se détendre, de temps à autre. Et l’opéra était un endroit parfait pour cela.

    Il avait alors vingt-quatre ans.

    Et ce fut le jour où un ange tomba des cieux.

    Elle avait son âge, à peu près. Le teint pâle, les cheveux blancs, elle semblait aussi fragile que de la porcelaine. Elle était un bijou qui brillait de milles feux. Et à la voir, il ne pensait pas que la jeune fille était capable de chanter de l’opéra. Après tout, elle était bien trop mince, bien trop fluette ! Et pourtant… Il s’était trompé. Sa voix était enchanteresse, aucune note ne semblait lui résister. Et tout le public était sous le charme. Il était sous le charme. Conquis. Mais qui était-elle donc ? Une Cigno. Oui, les Lupos étaient leurs bras-droit, leurs familles étaient étroitement liées. Cela voulait-il dire qu’il pourrait un jour la rencontrer ? Peut-être. Peut-être.

    Il vint à toutes les représentations, sans exception, délaissant alors l’armée, ses obligations. C’était la première fois qu’il ressentait une telle chose, qu’il se sentait si transporté. Un jour, il prit son courage à deux mains. Armando était quelqu’un d’un peu maladroit. Il n’avait jamais ressentit de l’amour pour quelqu’un. Mais la chanteuse d’opéra sembla tout aussi troublée en le rencontrant. Ses lèvres tremblaient légèrement alors qu’elle lui demandait son nom.

    Il s’appelait Armando. Elle s’appelait Elisabetta.

    Et elle resterait toujours auprès de lui, jusqu’à ce que la mort les sépare. Car il était son âme-sœur. Dieu existait-il en ce bas monde ? C’était la question qu’Armando se posa, quand il découvrit cette face cachée des Cignos. Elle lui était destinée. A lui. Pour toujours. Il ne pouvait pas être plus heureux. Ils commencèrent à se fréquenter, et bien que les Lupos n’aiment pas se mélanger avec les autres familles, le fait qu’elle soit un Cigno sembla arranger bien des choses.

    Deux ans étaient maintenant passés. Deux ans qu’il vivait un rêve, bien que les séparations fussent un cauchemar. Il se devait d’aller au front, de temps à autre. C’était son métier. Et alors qu’il était rentré pour voir sa belle, son Elisabetta, la manigance fit tourner les aiguilles de nouveau, et le désigna lui. Pourquoi lui ? Il n’avait que vingt-six ans, et on le mettait déjà à la tête d’une famille ? Les anciens s’insurgèrent. Etait-ce là une mauvaise farce ? Mais n’avait-il pas fait ses preuves ? N’était-il pas un combattant téméraire, loyal ? A présent qu’il était à la tête de la famille, il se devait d’être plus présent sur l’île. Et cela l’enchantait à vrai dire. Il pouvait à présent commander des troupes à distance, tout en restant auprès de sa bien-aimée. Puis le temps passa. Il voulait se marier avec elle, mais certains s’opposaient encore à leur union. Une Cigno ne pouvait pas marier un Lupo voyons ! Leur mariage fut toujours de plus en plus repoussé, et l’idée fut bientôt abandonnée. Qui avait besoin d’un mariage franchement ? Etre ensemble était plus que suffisant !

    A l’âge de trente-trois ans, une nouvelle arriva. Elisabetta était enceinte de lui. Et au même moment où il l’apprit, on lui signala qu’il y avait un problème au front, qu’il devait s’y rendre le plus rapidement possible. Ce fut donc avec un regret amer qu’il la quitta. Il se rappellerait toujours de cette dernière image d’Elisabetta. Sa robe blanche, immaculée, son air doux, son sourire.

    Ce jour-là, elle disparut.

    Et les autres membres de sa famille également. Ils furent évincés, tous. La nouvelle l’assomma, littéralement. C’était impossible ! Tout cela n’était qu’un rêve, qu’un cauchemar ! Et pourtant… La cruelle vérité était bien là. C’en était fini de l’amoureux transit. C’en était fini d’Armando Lupo.

    A compter de ce jour, les Lupos se retirèrent de la politique. Il était tête de famille, il pouvait décider du sort de la meute. Et c’était le mieux pour eux. Tout n’était que manigance en ce bas monde. Ils ne pouvaient faire confiance aux autres familles. Tous les nobles étaient pourris, les uns autant que les autres.

    Il fit construire un énorme manoir, dans la forêt, loin de tout, loin de tous. Et les Lupos disparurent de Belmonte, ne se montrant que très rarement. Là, dans la forêt, il tenta d’épancher sa peine, sa douleur. Mais surtout, sa haine. Il commença à échafauder des plans, lui aussi, pour exterminer les Leone. Car quel aurait été l’intérêt pour les Serpente de faire cela ? Eux-mêmes avaient été évincés par la suite. Ils n’avaient été que des pions sur l’échiquier. Petit à petit, il se renferma sur lui-même. Il vit ses parents mourir, de vieillesse. Il vit le racisme entre loups blanc et loups noirs prendre le devant de la scène. Mais quand il se réveilla de sa torpeur, il était trop tard pour tout cela. Il était venu à une simple conclusion.

    Elisabetta n’aurait pas voulu tout ça.

    Alors il laissa sa haine de côté. Elle était encore un peu présente, le lançait de temps à autre, mais il devait s’occuper de sa famille avant tout, essayer de réparer les pots cassés. Il était la tête de famille, aussi las qu’il puisse être de cette position. Combien d’années cela faisait-il à présent ? Un peu plus d’une vingtaine. Il n’était plus qu’un loup fatigué à présent.

    Et comme si la manigance avait entendu son souhait, elle tourna de nouveau, et désigna une jeune fille. N’était-ce pas là un peu cruel ? Un loup roux, au pelage clair, de surcroît. Mais Armando fut soulagé, soulagé de voir ce fardeau sur ses épaules être transféré à quelqu’un d’autre. Il se promit alors de tout faire pour aider leur nouvelle tête de famille, de faire en sorte que tous l’acceptent. Ils étaient des loups. Et les loups vivaient en une meute unie.

    Aujourd’hui, il n’allait plus à l’opéra. L’opéra lui laissait un goût amer dans la bouche.

    Celui des regrets.

    ۞ Famille : La meute.


    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? J’y suis déjà.
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Cool, cool.
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Les gens aiment bien jouer avec moi à ce qu’il paraît.
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Régulière.



Dernière édition par Armando Lupo le Mer 27 Avr - 11:39, édité 4 fois
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Ludovico III Leone

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MessageSujet: Re: Armando Lupo    Armando Lupo  Icon_minitimeMer 27 Avr - 10:08

J'ai pleuré en lisant ton histoire. T___T

Une très très bonne fiche, j'aime beaucoup ton personnage, comme toujours! Donc validéééééé, et bon jeu! =)
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Armando Lupo

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Armando Lupo

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MessageSujet: Re: Armando Lupo    Armando Lupo  Icon_minitimeMer 27 Avr - 10:10

Wow t'as pleuré, sérieusement? OwO

J'espère que ça fera pas la même chose aux autres personnes qui liront ma fiche hein!

Merci en tout cas! ^w^
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Ludovico III Leone

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MessageSujet: Re: Armando Lupo    Armando Lupo  Icon_minitimeMer 27 Avr - 10:17

Oui j'ai pleuré, papi Lupo, je suis un cœur sensible. XD
Aller, re-bienvenue à la maison! =)
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MessageSujet: Re: Armando Lupo    Armando Lupo  Icon_minitime

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