Belmonte
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 Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !)

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Giovanni R. Serpente

ܤ Il Divino Marchese ܤ

Giovanni R. Serpente

◊ Messages : 153

Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) _
MessageSujet: Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !)   Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) Icon_minitimeJeu 16 Juin - 21:37

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Serpente
    ۞ Prénom(s) : Giovanni Rico
    ۞ Surnoms : Gio pour sa famille et ses rares amis, l'Ecrivain pour les autres, souvent dit d'un ton méprisant. Pour les filles du bordel, il est "Monsieur Giovanni".
    ۞ Âge : 41 ans
    ۞ Famille : Serpente
    ۞ Sangue Nobile : Dominio niveau 4
    ۞ Statut :Écrivain sujet à polémique et Propriétaire de la Casa Delle Ragazze
    ۞ Orientation sexuelle : Bi.


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Giovanni est bel homme: grand, solidement bâti, ses traits ressemblent un peu à ceux de son cousin Francesco en plus durs encore, disons plus hautains. Il ne sourit presque jamais et aime à se vêtir sobrement, soignant son collier de barbe et sa moustache. Il sait bien présenter mais la plupart du temps, il préfère se montrer sombre et mystérieux.

    ۞ Allure : : Il se tient toujours droit, et marche d'un pas conquérant, la tête haute. Jamais on ne le verra se déplacer la tête rentrée dans les épaules en traînant les pieds, pas plus qu'on ne le verra sortir de chez lui sans une mise impeccablement soignée. Les cheveux toujours bien peignés, la moustache bien droite, et pas un pli de travers sur ses vêtements. Il n'a pas besoin qu'on ajoute une allure négligée aux racontars désobligeants qui circulent déjà. Il arbore en permanence un air sérieux et préoccupé… Qui lui permet d’écouter des conversations sans en avoir l’air. Quand il écrit ou met en place les éléments de l’un de ses récits douteux en place dans son esprit, son regard se fait fiévreux, brillant, et sa superbe se métamorphose en un côté bestial insoupçonné lorsqu’on ne connait que le personnage public.

    ۞ Goûts vestimentaires : Sobriété est le maître mot de sa garde robe. Couleurs sombres, vêtements bien coupés, souvent faits sur mesure, rehaussés parfois de bijoux en argent ou en or. Colliers discrets, bagues imposantes. Il a passé l’âge des couleurs flamboyantes et des tenues excentriques.

    ۞ Signes particuliers :

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Giovanni n'est pas spécialement un homme raffiné. Bien que cultivé, il n'est pas d'une intelligence supérieure à la moyenne et si la conversation ne tourne pas autour de la littérature, il est peu loquace. Cependant, c'est un observateur: ce qui l'intéresse, ce n'est pas qu'on s'intéresse à lui, mais ce sont les autres. Il adore tout savoir des autres et est un fin cancanier. Il aime à s’immiscer dans la vie des autres pour connaitre ce qu'ils vivent et ressentent. En dehors de cela, il aime profondément toute sa famille et il y a fort à parier qu'il donnerait sa vie pour les protéger. Ses rapports avec sa sœur cadette n'ont jamais été très proche et cela ne l'a jamais gêné: Raffaela préférait la compagnie de ses cousins, lui préférait ses livres... et ceux de leur père. Son vice a tendance à l'isoler un peu des autres et malgré son charme viril, il n'a que peu d'amants et d'amantes, toujours déçu d'eux.
    Il est manipulateur dans l’âme, et bien que son affection envers ses proches l’empêche de faire des dégâts au sein de sa propre famille, il n’en reste pas moins calculateur dans tous ses faits et gestes. A cela s’ajoute une absence de honte totale quant à son vice. Il en est fier et le revendique, ne baissant jamais les yeux lorsque les critiques fusent, mais tenant au contraire le crachoir à tous ces béotiens qui n'entendent rien à son art.

    ۞ Vices : Dépendance à la pornographie écrite.
    Giovanni ne peut se passer de la lecture et écriture d'ouvrages bien plus qu'érotiques. Cette addiction le prend presque incompétent dans les relations réelles, trop accaparés par ses expériences littéraires, souvent déçu et se complaisant dans le culte de la performance. Depuis quelque années, son addiction à pris un dangereux tournant à la lecture des œuvres des écrivains François Léopold Von Sacher-Masoch, le père du masochisme) et Donation Alphonse François de Sade, dit le Marquis de Sade...

    ۞ Aime : La littérature de tous autres types, bien qu’à ses yeux elle s’affadisse de plus en plus à chaque page d’ouvrage pornographique qu’il parcourt d’un œil avide. Il aime également fumer en écrivant, pour occuper ses mains quand l’inspiration se fait hésitante. Il aime sa famille qu’il protégera à n’importe quel prix.

    ۞ N'aime pas : Les écrits médiocres *tousse*twilight*tousse*, qu’on lui refuse ce qu’il veut, qu’on aille à l’encontre de sa volonté. Quand il a décidé quelque chose, il déteste qu’on lui barre la route. Il a les bigoteries en horreur, et critiquer son oeuvre ou ses goûts littéraires sous des prétextes religieux est à ses yeux la pire des hypocrisies.

    ۞ Sociabilité : Sans être asocial, il ne recherche pas réellement la compagnie.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé :La première passion de Giovanni fut son père: il voulu lui ressembler, faire la guerre comme lui. Quel enfant n’a jamais rêvé de tenir une arme, et de guerroyer comme dans les histoires ? Giovanni n’y faisait pas exception. Et bien que leur père soit distant, il savait reconnaître ses démonstrations d’affection. Toujours collé à son père lorsque Marco-Antonio Leone daignait enfin le rendre à sa famille, il vouait à cet homme austère et autoritaire une admiration sans bornes, suivant ses ordres à la lettre. La moindre attention à son égard était conservée comme un souvenir précieux. Feuille arrachée lors d’une balade entre père et fils, bouton du costume paternel qui avait cédé, tout était conservé dans une petite boite en bois que le jeune garçon cachait sous une latte du plancher de sa chambre.
    Le meilleur souvenir que Gio garde de ces rares moments passés avec ce père distant reste cet après-midi ensoleillé, où Archibaldo Serpente avait décidé de lui enseigner le maniement d’une épée. Alors âgé de huit ans, le petit Giovanni avait écouté passionnément les conseils de sa Bible de père, son épée de bois à la main, la faisant virevolter plus ou moins adroitement. L’enseignement n’avait duré qu’une journée, il avait été dur, le père étant exigeant et avare en compliments, mais cet instant entre homme chargé d’héritage d’un père à son fils avait été le plus beau jour de sa courte vie. Il poussa le vice jusqu’à entretenir les bleus de cette entraînement rigoureux en se blessant à nouveau avec l’estoc de son épée pendant quelques temps, pour le plaisir de voir les marques physiques de ce moment subsister.

    De son admiration envers cette figure paternelle marquante découla une autre passion dévorante : la religion. Leur père était pieux, et parmi les ordres qu’il exécutait avec plaisir il y avait ces obligations de prière, aux moments clés de la journée. Et dans son désir de ressembler trait pour trait à cet idole absente, de compenser son absence en remplissant ce vide par sa propre présence, aussi ressemblante que possible, il commença à étudier la Bible, respectant ses codes, ses obligations. Dès lors, il se coupa du reste de sa famille, préférant passer plus de temps avec ses livres, ses ouvrages religieux, qu’avec les femmes de la maison. Son père ne manifestant aucune affection pour sa femme, et sa sœur étant trop occupée à jouer avec ses cousins, Giovanni ne vit aucun problème à ne les voir qu’épisodiquement, en présence de son père, de préférence. Le silence de sa chambre était propice à une étude approfondie de la Bible, et nul ne vint jamais déranger l’enfant modèle dans son sanctuaire. Moine avant l’heure, il finit par être envoyé à l’abbaye San Cristobal en Livenza où son tempérament malgré tout peu compatible à la vie contemplative des moines lui permit une ordination en tant que prêtre. Loin d’être une punition, cette ordination lui permit de concilier ce qui l’avait jusque là toujours passionné : son père, les champs de bataille, et la religion.

    En voulant trop bien faire son travail de prêtre, il usa et abusa du dominio pour faire de ces soldats bruyants et vulgaires de vrais soldats de Dieu. Il fit la découverte en confisquant l’un des ouvrages salaces de ces béotiens de son premier ouvrage de littérature pornographique. Intrigué, dégoûté et pourtant terriblement excité, il le lut fiévreusement la nuit même, découvrant un monde auquel ni sa Bible ni sa condition de prêtre ne l’avaient préparé. Chaque acte était décrit dans les détails, et si l’histoire du récit était bien présente, elle s’amenuisait au fil de l’ouvrage pour tomber dans l’accumulation de scènes des plus équivoques. Il se réveilla le lendemain, toujours fiévreux, de cette fièvre implacable de celui qui a passé la nuit à faire des choses interdites, et à aimer ça au point que sa conscience le torture le lendemain. Sous couvert de religion, de pudeur et de bienséance, il convoqua tous les soldats, un à un, ce qui lui prit un temps fou, mais il parvint à récupérer à grand coup de Dominio tous les ouvrages peu recommandables de la garnison, en prenant soin d’effacer la mémoire des soldats, au moins partiellement. Il se félicita, une fois le butin obtenu, du refus de son père de partager sa tente avec son rejeton, et à cause du Sangue Nobile dont il avait abusé pour obtenir les ouvrages, il se sentit glisser dangereusement sur la pente de l’interdit, mais il parvint à sauver les apparences… Jusqu’à ce que sa route et celle d’Archibaldo Serpente ne se séparent.

    Dès lors, il n’eut qu’une envie, écrire lui aussi cette littérature scandaleuse, y mettre son âme qu’il savait dès lors damnée pour la libérer de ces images qui lui tournaient en tête sans arrêt. Décharger son esprit religieux de toutes ces horreurs pornographiques, ces scènes de débauche, de concupiscence… Tel était son but premier. Se convaincant lui-même de n’écrire que pour ce motif presque prude, il y mit toute son ardeur, passant ses nuits blanches à lire, et les autres à écrire, cachant soigneusement dans son paquetage toute traces des écrits suspects, qu’ils fussent de sa main ou non.
    Il apprit le massacre de sa famille par une missive qui lui arriva sur un champ de bataille, où on le pressait de quitter les troupes au plus vite. Son nom pouvait lui couter sa tête, disait la missive, et il y avait plus d’espions et d’assassins à la solde des Leone que d’hommes loyaux envers celui qui les avait guidé spirituellement jusqu’ici. Dégoûté, en colère, blessé dans son amour propre par cette perte horrible causée par une famille à laquelle son père avait été s loyal, se sentant plus que jamais à l’écart de ces hommes qu’il avait pourtant suivi loin de sa terre natale, il fit son paquetage et partit sans un mot pour la Francia, loin des Leone et de leur maudite influence. Il fut recueilli dans un monastère Bénédictin où il continua malgré tout à lire et à écrire… Mais le mobilier austère de sa cellule ne fut pas d’une grande efficacité pour dissimuler son vice, et il se fit prendre lors d’une bête inspection de cellule par un abbé trop minutieux. En tant que moine copieur, Giovanni ne put nier que la plupart des écrits étaient de son fait. Et si la possession de littérature pornographique avait pu être pardonnée quoique lourdement sanctionnée, leur écriture lui valut d’être mis à la porte sur-le-champ.

    Il échoua à la taverne du coin, un endroit bruyant et vulgaire, à des années lumières de son abbaye, et se mit à boire plus que de raison, et à fumer, pour occuper ses journées. Un homme se présenta à lui quelques jours après son éviction, et se proposa de lui présenter d’éminents écrivains de Francia qui seraient sensible à son art. Ivre, Giovanni accepta en toute confiance, chose qu’il n’aurait jamais faite à jeun. Mais cette rare incartade à ses principes de base lui fut profitable, puisqu’il rencontra les esprits les plus débauchés de Francia, ce qui n’était pas un vain mot dans ce pays où le concept même de luxure semblait avoir été inventé. Il lut beaucoup, fit lire ses ouvrages, et remis en confiance et accepté dans ce cercle de déviants, il prit de l’assurance, et écrivit l’ouvrage le plus long et le plus pornographique de sa carrière. « Sainte Lucia du Bordel » était un ouvrage critique, très critique, qui attaquait directement le clergé, multipliant les scènes les plus torrides, avec moult détails les petites Françoises peu farouches avaient enfin libéré l’ancien prêtre de son vœu de chasteté qui lui avait tant pesé jusque là, et hommes et femmes s’étaient succédés dans son lit à un rythme indécent. Pris la nuit dans ces relations charnelles et le jour dans ses écrits, il fut enfermé dans un cercle vicieux, d’un vice exquis qui le laissait le souffle court tant la nuit que le jour, profitant de ses partenaires au maximum, couchant le lendemain leurs ébats déviants sur papier.

    Encouragé par ses camarades de débauches, pour les plus intellectuels, en tout cas, il retourna à Belmonte pour en assurer la publication, sur ses deniers personnels, en s’assurant qu’il tombe entre les bonnes mains. L’Eglise réagit immédiatement en l’excommuniant. La belle affaire, une fois son statut de prêtre retiré, il n’avait plus qu’une immense aversion pour ce paquet d’hypocrites, et il salua le verdict d’un sourire carnassier.

    Les dix ans de détention le firent un peu plus grincer des dents… Au début. Parce qu’il savait comment procéder. Grâce à son dominio, il fit passer sous silence l’apport de sa littérature par les gardiens, et en dehors de l’entretien de son vice, il resta silencieux et calme, décidé à ne pas causer d’ennui à sa sœur Raffaela, directrice de la prison dans laquelle il était incarcéré, qui elle continuait sur la voie de la bigoterie, et qui avait apparemment souffert des incartades de son frère, bien qu’elle soit trop lâche pour l’aider à sortir d’Il Muro autrement que par la voie légale. Il ne lui voulait aucun mal, et c’est lorsqu’il voulut défendre son honneur qu’on le provoqua en racontant les sévices que Raffaela avait fait subir à ses prisonniers. Il força l’homme à tout lui raconter, et apprit par la suite qu’il avait été envoyé en isolation. Lorsqu’il le revit pour lui demander à nouveau des détails, l’homme n’avait aucun souvenir de ce dont parlait Giovanni, qui se doutait du sort qu’il avait subi. Il effaça lui-même à nouveau sa mémoire, pour ne pas que l’homme ne se mette à divulguer cette seconde conversation, et retourna dans son coin, le sourire aux lèvres.

    Quelques mois plus tard, le détenu modèle était libre, libre de vérifier par lui-même ce dont il avait entendu parler au sujet de sa charmante sœur, si fervente chrétienne…
    Ecraser le poids des remords religieux par le poids bien plus lourd des passions charnelles, libérer sa sœur du carcan dans lequel elle étouffe, faire d’elle l’héroïne de son prochain roman, salace au possible, tel est l’objectif de l’ancien condamné. Mais les secrets sont faits pour être gardés, et si Giovanni brille de cette aura malsaine des pervers assumés, il ne veut pas que sa sœur soit à son tour illuminée par la lueur impure de l’opprobre, mise à nue sous les feux des critiques. Personne à Belmonte ne doit connaître son secret.



    ۞ Famille : Raffaela Serpente, sa cadette.

    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? Au hasard de mes pérégrinations virtuelles.
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Pervers à souhait.
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Joker
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage?
Régulière.


Dernière édition par Giovanni R. Serpente le Sam 18 Juin - 20:28, édité 1 fois
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Raffaela S. Serpente

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Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) _
MessageSujet: Re: Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !)   Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) Icon_minitimeSam 18 Juin - 5:28

Oh, mais quelle concupiscence! *sort*

Tu as vraiment fais un Giovanni classe, je suis contente de te l'avoir cédé. Et je crois que ça va être un combat de titan de résister au Divin Marquis. Très belle sign' au passage, très smexy! Bienvenue sur le forum et amuse-toi bien en notre compagnie! <3

Et comme dirait mon groupe préféré: the principles of lust are easy to understand. ---->

*Va s'écouter un peu de Sadeness d'Enigma pour le coup*

Je need RP avec toi donc, fratello.
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Giovanni R. Serpente

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Giovanni R. Serpente

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Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) _
MessageSujet: Re: Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !)   Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) Icon_minitimeSam 18 Juin - 19:40

Tout le plaisir est pour moi, ma chère soeur, et vos compliments me comblent de joie <3

Ça va ch... Nous allons bien nous amuser. Surtout moi. Hin hin hin.

Edit: fiche éditée pour ce qui est du bordel.
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MessageSujet: Re: Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !)   Giovanni Rico Serpente, le Divin Marquis (finished !) Icon_minitime

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