Belmonte
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 Narcissa Diamante Serpente

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Narcissa D. Serpente

Padrona del Casinò

Narcissa D. Serpente

◊ Messages : 131

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Narcissa Diamante Serpente  _
MessageSujet: Narcissa Diamante Serpente    Narcissa Diamante Serpente  Icon_minitimeLun 14 Fév - 0:42

    ₪ CARTE D'IDENTITE ₪

    ۞ Nom : Serpente
    ۞ Prénom(s) : Narcissa Diamante. Son surnom "Diamante" lui vient des tables de jeux.
    ۞ Surnoms : Cissi, Dia
    ۞ Âge : 34
    ۞ Famille : Serpente
    ۞ Sangue Nobile : Dominio
    Spoiler:
    ۞ Statut : En attente
    ۞ Orientation sexuelle : Bisexuelle


    ₪ ASPECT PHYSIQUE ₪


    ۞ Physique : Narcissa est indéniablement une belle femme. Grande, la tête haute, le regard perçant des serpents, elle est de celles que l'on remarque par son impeccable tenue et l'aura de froideur apparente qu'elle dégage. Froideur qui peut se muer en une chaleur quasi incandescente si la dame a besoin de vos services... Mais nous reviendrons sur ses talents de manipulatrice dans la section appropriée. Grande, donc, aux longs cheveux d'un rouge profond qui contraste avec sa peau laiteuse. Ses yeux gris ont tendance à s'adapter, quasiment s'assortir à la couleur des vêtements qu'elle porte. Mais elle les dissimule souvent sous un voile, quasiment transparent pour toujours user et abuser de son Sangue Nobile, par coquetterie. Ses longs cheveux souvent détachés tombent avec élégance sur ses épaules. Pour souligner leur couleur, elle pare souvent ses lèvres d'un rouge très sombre. Elle ne sortirait pas plus démaquillée que toute nue.
    Elle ne cache pas vraiment sa poitrine qu'elle exhibe sous des décolletés pigeonnants, ourlés de dentelles noirs, invitation à la luxure et au plaisir entre les douces mains de cette femme prédatrice qui calcule chacun de ses gestes, qu'ils soient doux ou blessants. Elle cache souvent ses mains et ses bras dans des gants de velours, matière qu'elle affectionne pour son côté disons... Connoté.

    ۞ Allure : Elle protège son image et jamais un faux pli ne viendra ternir sa mise. Elle aime les voiles dentelés sur ses tenues, souvent sombrement vêtue. Elle porte toujours un couvre-chef assez masculin, c'est sa manière de s'imposer dans un milieu d'hommes. Mais elle féminise les siens de plumes et autres dentelles chics, pour ne pas ternir son image.
    Ses tenues sont souvent extravagantes dans leurs coupes, mais jamais dans leurs couleurs. Elle s'habille avec goût, porte des bijoux chers et lourds mais discrets et raffinés. Tout dans la finesse, mais dans la richesse, dans l'élégance sans jamais opter pour quoi que ce fut qui soit trop tape à l'oeil. Elle porte souvent des corsets, et déambule souvent armée de son fume-cigarette, accessoire indispensable pour que ni son chapeau ni ses doigts ne trahissent son vice léger pour le tabac.
    Elle se tient toujours droite, mais sans raideur.

    ۞ Goûts vestimentaires : Souvent des robes aux coupes originales, ouvragées, dans les tons sombres, afin de passer relativement inaperçue... Des chapeaux sur la tête, souvent, très souvent. Même à l'intérieur du casino. Il n'y a que chez elle qu'elle s'autorise à rester tête nue. Ses vêtements, ses chaussures, ses bijoux sont autant d'instruments pour la mettre en valeur, faire un écrin parfait autour de sa féminité affirmée. Corsets obligatoire, quelle que soit la tenue. De toute façon, une robe n'est bien portée que si elle souligne une taille fine et une poitrine désirable, ni trop plate, ni trop vulgaire. C'est tout un art.

    ۞ Signes particuliers : Une cicatrice près du sein gauche, ancienne, qui ne laisse plus qu'une trace brunie par le temps.

    ₪ INFORMATIONS PSYCHOLOGIQUES ₪


    ۞ Généralités : Nous y voilà. Madame est une Manipulatrice née, et pour un talent pareil, osons la majuscule. Narcissa - qui porte bien son nom - a fait de Belmonte son terrain de jeu, après avoir parcouru les casinos du coin et des pays voisins. Avec son Sangue Nobile bien aiguisé et sa passion pour le jeu elle a gagné un fond d'investissement suffisant pour racheter le casino et se faire une place dans le monde de Belmonte alors que sa famille déchu avait sombré. C'est pourquoi pour se faire respecter et pour obtenir des faveurs des gens biens placés, elle n'hésite pas à user de ses charmes. D'aucun disons que c'est une traînée de luxe, une tisseuse sans foi ni loi qui ramène dans sa toile toutes les proies qui seront favorables à son profit. Ce qui n'est pas vraiment faux. Mais ceux qui vous dirons ces choses seront sans doutes des amants délaissés une fois leur heure de gloire achevée. Elle a fait de son sexe faible le principal atout de sa réussite et n'hésite pas à payer de sa personne. Mais si elle offre parfois ses courbes et son corps en toute discrétion pour obtenir ce dont elle a besoin, en ce qui concerne son coeur, personne ne l'a encore pénétré. Elle le barricade, en permanence, ne s'autorise pas à apprécier pleinement un individu, parce qu'elle considère ça comme une marque de faiblesse. Depuis des années elle a enfermé son coeur dans un coffre tellement verrouillé que sa clé n'est plus qu'un lointain souvenir brumeux, et si ses baisers et ses caresses promettent des sentiments sincères, il n'en est rien.


    ۞ Vices : Le jeu, le tabac, l'argent.

    ۞ Aime : L'argent et ce qui en découle, elle aime ses tenues, sa vie confortable. Dominer les gens, par nécessité ou simplement pour son bon plaisir. Elle aime tricher, aussi.

    ۞ N'aime pas : Les racontars, ce qu'on peut dire de négatif à son sujet, elle qui aime garder un total contrôle de son image. Elle déteste ces poules©Cordy vaines, bruyantes et lourdement vêtues, aux bijoux clinquants, loin de sa finesse. Les Leones, bien entendus.

    ۞ Sociabilité : Elle est une manipulatrice maladive, sa sociabilité s'accorde à ses pulsions. Mais en bonne joueuse professionnelle habituée à fréquenter les places fortes de jeu, elle n'est pas vraiment agoraphobe non plus.

    ₪ HISTORIQUE ₪


    ۞ Passé :Narcissa est née dans le clan maudit des Serpente quatorze ans avant l’exécution fatidique de l’ordre des Leone.
    Sa passion du jeu lui a néanmoins épargné le spectacle affreux de la nuit sanglante qui signa l’arrêt de mort de ses parents bien aimés. Mais nous y reviendrons plus tard.
    Dès sa plus tendre enfance, Narcissa a manifesté un intérêt pour les jeux, et un talent certain pour la triche. En un bel après-midi de son septième printemps ou elle battit cinq fois d’affilée son père à plate couture à un jeu de carte, ce dernier, amusé, finit par se dire que sa fille adorée pouvait avoir un don pour le jeu, et que le Sangue Nobile pourrait sans conteste l’aider dans sa réussite. Pour se divertir, au début, le père et la fille travaillèrent de concert pour affiner les capacités de la petite demoiselle. Bien entendu, sa mère veilla à ce qu’elle reçoive en plus de ces cours particuliers une éducation noble digne de ce nom. Il était inutile de tenter de détourner Narcissa du jeu. Chaque membre de la famille et de son entourage en était conscient. Mais puisqu’elle devait devenir une joueuse compulsive, sa mère décida qu’elle serait la plus élégante et la plus raffinée d’entre elle. Narcissa laissa sa mère en décider ainsi, certaine que c’était pour son bien, et soulagée qu’aucune pression parentale ne vienne s’interposer entre elle et le jeu. Sans parler de vice dévorant à un âge si tendre, elle était de plus en plus obsédée par les cartes, les jetons, le jeu, quel que soit son support, bien qu’elle ne rechignât pas à jouer à des jeux plus traditionnels avec ses petits cousins Al-Cid et Anima, bien que ce dernier ne soit pas vraiment un enfant comme les autres…
    La petite Narcissa jouait dans des cercles d’adultes, nobles, tout d’abord, puis roturiers, pour affiner son Sangue Nobile sur le bas peuple. Souvent accueillie dans ces cercles à grands rires et autres moqueries, elle parvint néanmoins à chaque fois à se faire une place dès les premières parties. Puis Belmonte devint trop étroite, et la jeune fille de douze ans, lasse de ces éternels visages connus aux tactiques maintes fois observée harcela ses parents pour qu’ils la laissent partir vers des lieux plus exotiques, dans des casinos, dans d’autres pays s’il le fallait, pour qu’elle puisse jouer encore et encore, sous d’autres cieux. Un premier conflit éclata alors entre la jeune fille et son père qui regrettait à présent de l’avoir si bien formée.

    « Père, je vous en prie, laissez moi aller à Jazerath ou même Livenza !
    - Hors de question Narcissa, ces pays hébergent des peuples de voyous, une jeune fille comme vous souffrirait de mille façons une fois passées nos frontières !
    - Alors partez avec moi !
    - Mes affaires me retiennent ici, vous le savez pertinemment.
    - Alors Mère…
    - Ne soyez pas sotte. Elle n’a jamais quitté Bulluno. Un voyage pareil ne ferait que la -
    - Je vous déteste ! » cria la jeune fille au bord des larmes avant de faire une sortie tapageuse.

    Cette première dispute ne fut que la première d’une longue série, et son père, de guerre lasse, décida de laisser partir sa fille pour l’étranger avec une armée de domestiques, dont certains formés aux arts guerriers, avec l’obligation d’écrire une lettre destinée au domaine familial tous les deux jours. La petite Narcissa sauta au cou de ses parents, fit la promesse, et partit. Elle visita les tables de jeux des grandes capitales, apprit de nouvelles façons de tricher façon Livenziens , Jazerathis et même Khitaïns, puisqu’autour de ces tables richement peuplées se trouvaient d’autres voyageurs plus exotiques encore…
    C’est auprès d’un Khitain qu’elle sentit pour la première fois son cœur battre la chamade sans raisons apparente… Agée alors de quatorze ans, elle s’éprit d’un jeune homme de huit ans son aîné qui, fasciné par son aptitude au jeu et sa force de persuasion lui apprit beaucoup de choses sur son pays, ses coutumes, ses jeux… La Serpente resta plusieurs semaines au même endroit, elle qui avait été si désireuse de bouger d’un lieu à l’autre, pour le plaisir de côtoyer ce jeune homme qui lui plaisait de plus en plus chaque jour. La jeune fille l’écoutait parfois sans l’entendre, perdue dans la contemplation de ses cheveux d’un noir de jais et de ces yeux sombres ourlés de cils si noirs qu’elle se sentait happée par chaque battement… Fantasmant comme seule une jeune fille de bonne famille pouvait le faire, elle s’imaginait le ramenant au Palazzo pour le présenter à ses parents, puis l’épouser, un jeune homme si beau, aux traits si fins, aux si belles manières… Elle en soupirait d’aise dans le lit de la chambre d’hôtel d’une ville lointaine. Mais peu importait la distance, elle avait retrouvé la chaleur qui lui avait manqué depuis son départ auprès de ce séduisant jeune homme aux traits exotiques. Elle abusait de son pouvoir pour faciliter la vie à son éphèbe, et celui-ci , qui ignorait tout des pouvoirs des Serpente appelait la jeune fille « sa petite fée », qui semblait tant lui porter chance aux tables de jeu… Et un soir où la chance combinée au Sangue Nobile leur fit gagner une fortune conséquente, le jeune homme décida de jeter aux orties sa réserve habituelle, et de fêter leurs gains dignement. L’alcool coulait à flots et si Narcissa s’en autorisa un verre, avant de sentir sa tête tourner, lui vida plusieurs bouteilles, dans l’espace assez intimiste bien que soudainement plein de visiteurs avides, d’un luxueux casino, réservé aux joueurs désireux de fêter leur victoire en grandes pompes. Elle se fustigea d’avoir cédé au démon de l’alcool, bien élevée qu’elle était, et elle sortit un moment pour prendre l’air. Romantique, rendue téméraire par l’alcool, elle leva les yeux vers les étoiles et un sourire se dessina sur ses lèvres. Ce soir serait le grand soir. Elle resta quelques instants dehors, pour se donner du courage, pour aller déclarer sa flamme à son Apollon, lui offrir son cœur et… Peut-être même plus, même si cette possibilité l’effrayait grandement. Elle retourna à l’intérieur, les joues écarlates, et maudit pendant une dizaine de minutes l’individu qui l’avait arrêté pour lui parler de la performance que lui et son « grand frère » avaient offert au casino ce soir là. Elle prit congé de ce crétin aussi poliment que possible, revint à la petite alcôve ou le Khitain l’attendait, prit une profonde inspiration et entra.

    Le spectacle qui s’offrit à elle la frappa brusquement, comme une claque en plein visage. Elle se sentit vaciller, le cœur lui tombant au fond de la poitrine, en ayant l’impression de se vider totalement de son sang à la vue de son Apollon, son charmant et distingué chevalier servant, chevauché par une pulpeuse créature qui avait visiblement trouvé le chemin jusqu’à sa virilité et qui était affairée à la dresser droite comme un i alors qu’il embrassait une autre de ces maudites harpies au corps de rêve tandis qu’une troisième glissait ses mains sous la chemise du jeune homme, en lui murmurant des choses à l’oreille. Elle ne resta spectatrice de la scène que quelques secondes, mais tout lui apparut dans une netteté si proche de l’obscénité qu’elle sentit son repas avalé quelques heures plus tôt danser la cabriole dans son estomac. Sous les lumières intimistes, tout lui apparut d’une insoutenable clarté , le rouge aux lèvres de ces catins, leurs mains expertes sur le corps qu’elle adorait, cet air d’extase qu’il arborait alors qu’il se laissait aller aux caresses de ces filles vulgaires, ces flashs horribles, vulgaires et indécents lui coupèrent le souffle, et elle partit s’enfermer dans sa chambre pour en pleurer toutes les larmes de son corps . Le lendemain, elle quitta l’hôtel et loupa de peu une missive importante de sa famille. Elle n’apprit que plus tard que le jeune homme s’était ruiné pour ces pouliches sans vergogne, mais l’affreuse nouvelle l’avait frappé entre temps, et ce souvenir cuisant n’était plus qu’un fade évènement d’une vie qui semblait appartenir à un siècle passé.

    Le messager la retrouva néanmoins. Il était porteur d’une missive de la plus haute importance, et ne pouvait se permettre de la laisser en poste restante jusqu’au prochain passage de l’héritière Serpente. Il la coursa, poussant son cheval jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce qu’il retrouve enfin la jeune fille qui arborait un air boudeur et accueillit froidement son visiteur dans sa chambre d’hôtel, peu encline aux démonstrations d’affection dans un moment pareil. Sans pouvoir prononcer un mot, l’homme lui tendit une missive maculée de quelques traces brunes. La jeune fille la prit avec dégoût, et lut la lettre avec un profond dédain… Qui se changea en une horreur non dissimulée à mesure que la lettre dévoilait son contenu et que les traces brunes apparaissaient dans toute leur signification morbide. Son père avait signé sa dernière lettre avec son sang, et suppliait son trésor de venir le rejoindre avant que ses blessures n’aient raison de lui. Les Leone qui avaient eu recours quelques temps auparavant aux services des Serpente les avaient ensuite exterminé, et seuls quelques survivants pouvaient encore en témoigner, cachés comme des malades contagieux, traqués par la famille au Lion. La lettre ne mentionnait pas sa mère, et l’angoisse rongea la jeune fille qui chevaucha à bride abattue jusqu’à Belmonte, en ne s’arrêtant que pour changer les chevaux, jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’endroit où le messager avait prit son dernier courrier.

    Loin du Palazzo, elle pouvait néanmoins encore sentir dans l’air la fumée de ses débris encore rougeoyants. Elle retrouva son père affaibli qui lui intima de changer d’identité, lui fit jurer de changer d’identité, et se félicita d’avoir envoyé sa jeune fille loin du massacre, d’avoir préservé son petit bijou du sort qui avait frappé sa mère, dont le corps mutilé avait été jeté dans une fosse commune sans que personne ne puisse rien y faire. Narcissa veilla son père toute la nuit, pansa ses blessures sans grand espoir, et au lever du jour, elle assista à la mort de son dernier parent qui, dans un dernier souffle d’amour, lui murmura quelques paroles réconfortantes. Elle le fit enterrer loin de Belmonte, dans une tombe uniquement gravée de ses initiales, et incapable de se confronter à la mort de sa mère adorée, elle ordonna à ses domestiques d’aller rechercher son cadavre à l’endroit où il avait été jeté. Trois d’entre eux furent envoyés à Belmonte à bord d’une charrette. Seul celui qui avait été formé aux arts guerriers revint, un corps enveloppé dans un linceul sale et maculé du sang des deux autres serviteurs. Elle enterra sa mère, sans avoir le courage d’ouvrir le linceul, se fiant à la parole de Marco Antonio, son garde du corps.
    Fidèle à sa parole, elle partit de Bulluno pour rejoindre les contrées qui lui étaient désormais familières, pour noyer sa douleur et sa rage dans le jeu. Elle amassa une coquette somme qu’elle plaça sur différents comptes gérés par les trois domestiques qui lui restaient. Sa vieille gouvernante, Marco Antonio et un jeune homme muet qui la servait avec ferveur. Plus tard, alors qu’elle devenait une femme accomplie et une joueuse émérite, elle se décida à offrir son corps à son garde du corps qu’elle prit pour premier amant, l’un des rares pour qui elle éprouvait de l’affection. D’abord attirée par son corps meurtri par de nombreuses cicatrices, elle finit par le délaisser effectivement, sans pour autant lui refuser ses charmes. C’est ainsi qu’elle commença à jouer de son corps et de son esprit aiguisé au Sangue Nobile toujours plus puissant pour se faire un nom, une réputation, un compte en banque solide, qui lui permit de revenir à Belmonte pour ses trente ans, forte de sa réputation et de quelques informations ciblées sur le maître du Casino des lieux. Elle fit un retour en fanfare en se dirigeant immédiatement vers le casino où elle fit sensation avec son costume original, rehaussé de l’un de ses hauts de forme, un fume cigarette dorée à la main, gagnant encore et encore comme mue par une chance insolente. Le directeur descendit de son bureau pour féliciter la gagnante de la soirée, et après une nuit dans son lit, le casino fut à elle. Chantage, partie de jambe en l’air, et acte de vente en bonne et due forme. L’ancien patron, affilié aux Leones fut humilié et partit la queue entre les jambes sous bonne escorte, Marco Antonio veillant à ce que sa sortie soit publique et ne passe pas inaperçue.

    Depuis quatre ans, la Serpente est de retour sur les terres qui l’ont vue naitre, en position de force, bien que paria aux yeux des nobles. Mais elle s’en moque. Elle est un électron libre, qui a passé plus de temps loin des siens qu’à leurs côtés. La famille Serpente au sens large ne vaut pas grand-chose à ses yeux. Ce qui compte pour elle, c’est la vengeance dirigée par les reptiles contre les lions, à laquelle elle compte bien participer à sa manière.

    Avec ou sans les autres.

    Elle a d'ailleurs été surprise de l'apparence de Cruzio, mais soucieuse de ne pas plomber une famille déjà mutilée, elle n'a fait aucune remarque.

    La tentative de Ludovico Leone reste un acte isolé qui ne rachète pas le reste de sa famille. La haine de Narcissa envers cette famille est bien trop forte pour qu’un simple retour au statut de noble n’éteigne le feu du Palazzo qui brûle encore dans son cœur (tatsaaammmm).

    ۞ Famille : Al-Cid Seprente, Anime Cruzio Serpente, Raffaela Serpente, Franscesco Serpente, Lelio Serpente... tous les Serpente quoi. Reste à éditer ma fiche pour plus de précisions quand j'aurai réussi à joindre tout le monde xD


    ₪ ET VOUS ALORS ? ₪


    ۞ Comment avez vous découvert le forum? J'y suis déjà !
    ۞ Que pensez vous de ce dernier? Hé hé
    ۞ Comment définiriez vous votre niveau RP? Pas vraiment raccord avec celui des autres joueurs par ici, mais je m'accroche.
    ۞ Quelle sera votre fréquence de passage? Fréquentielle.
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Ludovico III Leone

ღ Il sua Altezza Femminiello

Ludovico III Leone

◊ Messages : 1302

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Narcissa Diamante Serpente  _
MessageSujet: Re: Narcissa Diamante Serpente    Narcissa Diamante Serpente  Icon_minitimeLun 14 Fév - 22:20

Une sacrée histoire, rondement menée!: J'ai beaucoup aimé lire ta fiche, elle est tellement... Serpente. Aller hop, validé! Bon jeu sur Belmonte, merci de nous enrichir d'un nouveau personnage! <3
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Narcissa Diamante Serpente

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