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Michelangelo Leone♬ Cignetti caduto dal Cielo ♬
| Sujet: Michelangelo Leone Lun 21 Mar - 7:53 | |
| Régulière, même si je ne poste pas tous les jours, non plus.
Dernière édition par Michelangelo Leone le Lun 21 Mar - 8:09, édité 1 fois |
| | | Michelangelo Leone♬ Cignetti caduto dal Cielo ♬
| Sujet: Re: Michelangelo Leone Lun 21 Mar - 8:07 | |
| ₪ HISTORIQUE ₪ ۞ Passé :Il était une fois...oui, tout cela avait un peu commencé comme un conte de fées. Donc, il était une fois, une jeune et jolie jeune femme issue d'une famille noble, les Cigno. Elle possédait des cheveux longs et doux, une peau aussi pâle que la neige et une silhouette délicate, certes son visage n'était pas très expressif, mais il était beau et puis finalement, qui pouvait se vanter d'être vraiment jovial dans cette famille ? Un beau jour, elle rencontra un jeune homme, il n'appartenait pas à sa famille et était même considéré comme un ennemi par la plupart des membres de sa famille. Seulement aucun des deux jeunes gens ne purent grand-chose aux sentiments qui naissait peu à peu dans leurs coeurs. La jeune fille avait reconnu son âme soeur, il ne lui était pas possible de retourner en arrière. Elle multiplia les rencontre fortuite, les rendant de plus en plus naturelles, de plus en plus régulières. Bientôt, ils devinrent amants. Une routine s'installa entre les deux amoureux, ils se retrouvaient en secret, la nuit la plupart du temps. Leur amour était fait de petit rien, ils étaient forcé de se contenter chacun de quelques miettes de bonheur. Il n'est jamais facile d'avoir une relation interdite. Et plus, les deux jeunes gens se rapprochaient, plus la querelle des familles nobles s'accentuait. Un jour, la destruction des Cigno fut annoncé, à ce moment le Serpente rentrait chez lui le sourire aux lèvres. Il revenait d'une bijouterie où il avait fait confectionné une alliance, il souhaitait demander sa jeune compagne en mariage, le soir même. Malheureusement, sa joie se fana rapidement face à la nouvelle et bravant encore une fois, une dernière fois, son sang et sa famille, il partit. Il se précipita chez sa bien aimée, afin de la convaincre de le suivre. Évidemment, au début, la jeune fille hésita, mais finalement elle abandonna sa famille à son funeste sort, lui préférant l'amour. Ensemble, ils quittèrent la ville qui avait vu naître leur idylle, pour se rendre à Alberoni. Ils s'y marièrent et quelque année plus tard, l'enfant tant attendu vit le jour. Michelangelo vint au monde. Dans cette nouvelle vie, leur situation n'avait plus rien à voir avec la noblesse à laquelle on les avait habitués. Cependant, grâce à quelques bijoux appartenant à la belle, ils purent se permettre une vie décente, sans jamais réellement manquer de rien. Ils éduquèrent leur fils avec patience et amour. Sa mère chantait avec lui, alors que son père prenait toujours le temps de l'emmener avec lui, malgré son apparence frêle et maladive. Oui, leur petit garçon n'était pas comme les autres, mais quelle importance au final . Ils l'aimaient. C'est ainsi que Michelangelo grandit, entouré de sa famille, heureux même si son visage et son attitude peinaient à le montrer. Il avait toujours des petits gestes, que ses parents comprenaient. Son enfance était équilibré, l'enfant possédait même quelque très rares amis. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, alors ? Pas vraiment non.Parce que c'est justement parce que les histoires finissent rarement bien qu'on les arrête avant... Cette vie merveilleuse se termina un jour d'été. Michelangelo était en train d'aider sa mère à étendre le linge quand on vint leur annoncer la triste nouvelle. Son père était mort, dans un de ses propres pièges, triste fin pour un homme tel que lui. Le petit garçon versa quelques larmes, mais sa mère elle demeura inconsolable, elle lui embrassa le front et partit s'enfermer dans la chambre qu'elle et son mari avait encore partagé la nuit précédente. Dire qu'ils prévoyaient un nouvel enfant... Il comprit tout de suite...il ne reverrait plus sa maman. Néanmoins, l'enfant s'assit devant la porte et attendit, espérant entendre le bruit de la poignée. Il resta sans bouger, pendant plusieurs jours. Et ce fut seulement au bout de deux jours que des voisins, inquiet de ne voir personne sortir ou rentrer de la maison, entrèrent et trouvèrent l'enfant, affaiblit. Michelangelo ne se plaignit ni de la faim et de la soif, ni de la mort de ses parents. Il versa encore quelque larme quand on sortit sa mère de la chambre. C'est tout. Quelques recherches furent mené pour trouver un parent à qui confier le jeune orphelin, mais cela n'aboutit en rien. On se décida finalement à le mener dans un orphelinat de la capitale. Rapidement, le petit enfant se retrouva seul dans ce grand endroit, son caractère particulier l'excluait des autres et lui-même ne faisait rien pour arranger sa solitude. Il était aussi petit et faible qu'une fille et les autres garçons le désignèrent vite comme leur souffre douleur attitrée. Mais parce qu'il avait déjà vécu bien des choses, Michelangelo se fichait bien de ce qu'il lui faisait subir. Il avait l'habitude de rester silencieux, malgré la violence, par son calme et sa froideur il irritait toujours plus. Son mutisme était tel que même les adultes devant les aidés et les encadrés commencèrent à l'ignorer, de toute façon quoi qu'on lui dise, quoi que l'on tente, l'insolent se contentait d'ignorer. Peut-être était-il même stupide ? Ou malade. Les années passèrent, rythmé par bien peu de chose finalement, tout était si lent, si bête, si ennuyeux pour l'orphelin. Il ne pleurait pas ses parents, mais penser continuellement à eux avec tristesse et mélancolie. Pourtant, il n'en voulait ni à son père de ne pas avoir été assez prudent, ni à sa mère de l'avoir abandonné pour son mari. Mais un jour, alors qu'il passait au milieu des couloirs, ignorant les personnes croisant son chemin, Michelangelo vit son regard attiré par une chevelure flamboyante. Son corps s'emballa et une étrange sensation l'envahit. *** « Adoptez-moi ! » Le directeur avait beau tenter de le tirer en arrière, le garçon tenait bon, il refusait de lâcher cette jambe à laquelle il s'accrochait désespérément. Ses grands yeux restaient toujours fixés sur cette chevelure rousse et ce visage encore si jeune. Peu importe qui il avait en face de lui, il devait partir avec lui. Ce jeune homme devait l'emmener. « Signore, prenez-moi avec vous ! Emmenez-moi ! » Tout autour d'eux, tout le monde était choqué, cet enfant qui ne disait jamais rien, qu'on apercevait à peine. Il s'accrochait et parlait à quelqu'un. C'était à ne rien y comprendre. On lui ordonna de lâcher prise, on le frappa, on le secoua, mais jamais le petit garçon n'obéit. Il ne pouvait pas, ce qu'il ressentait était plus fort que la douleur ou la peur. « S'il vous plaît ! » Michelangelo avait trouvé son âme soeur. *** Comment était-il parvenu à convaincre le jeune inconnu ? Il eut lui-même du mal à comprendre, mais emporté par l'enthousiasme de celui-ci, l'enfant ne chercha pas vraiment d'explication. Il allait pouvoir partir de cet endroit, avec cette personne qu'il aurait dû rencontrer, pour une fois depuis la mort de ses parents, la chance semblait lui sourire un peu. Michelangelo regarda bien sagement les papiers être signé, il ne garda sur lui que ses vêtements, car tout le reste appartenait à l'orphelinat. Il suivit donc, celui-ci qu'il apprit être plus tard, Ludovico Leone. Son nouveau père, qui pourtant ne l'était pas vraiment, car cela n'avait rien à voir avec son papa. Peu importe quel lien il avait à présent de toute façon, si Michelangelo pouvait être à ses côtés, cela lui allait très bien. Ce n'est qu'en vivant un peu au côté de lui qu'il comprit que Ludovico n'était pas tout à fait comme les autres. Sa première crise devant lui le surprit bien plus qu'elle ne l'effraya et le gamin plutôt que s'enfuir, préféra aider son père adoré à se sortir de ses propres illusions. Michelangelo réalisa alors seulement tous ces gens qui tournaient sans cesse autour de Ludovico et avec ses yeux d'enfants, il comprit rapidement que bien peu lui était favorable. Le garçon se promit alors de protéger de son mieux cet homme qui était tout pour lui, sa famille, son meilleur ami et surtout son futur mari, il n'y avait aucun doute. Après tout, mon adoration est aussi déraisonnable que ta folie...۞ Famille :Ses parents biologiques sont morts tous les deux, sa famille se résume à présent à Ludovico Leone qui l'a adopté.
Dernière édition par Michelangelo Leone le Mar 22 Mar - 7:01, édité 1 fois |
| | | Ludovico III Leoneღ Il sua Altezza Femminiello ღ
| Sujet: Re: Michelangelo Leone Lun 21 Mar - 11:04 | |
| Coucou mon petit Cygneau! <3 je suis très contente de ta fiche car elle correspond parfaitement à l'idée que je me faisais du personnage. Un seul petit bémol, comme l'a fait remarqué Virgilio dans le flood: - Citation :
- Par contre... y'a une erreur dans ta fiche... Visiblement Michel est né juste après la destruction des Cigno et des Serpente (vu que la mère était enceinte juste avant que ça ne pète) ce qui n'est pas possible parce que... ben les Cino et les Serpente ont été détruit il y'a 20 ans. Donc bon, c'est un peu illogique... à moins que Michel n'ai au moins 19 ans.
Il faudrait juste modifier pour dire que Michelangelo est né bien plus tard, lorsque ses parents étaient déjà au calme à Alberoni. C'est juste une erreur de chronologie, rien de grave. Après je te validerai avec un très grand plaisir! =D |
| | | Michelangelo Leone♬ Cignetti caduto dal Cielo ♬
| Sujet: Re: Michelangelo Leone Mar 22 Mar - 7:02 | |
| Voilà, j'ai fait la modification. Encore désolé pour ça, pendant la fiche ça m'est complètement sortie de la tête |
| | | Ludovico III Leoneღ Il sua Altezza Femminiello ღ
| Sujet: Re: Michelangelo Leone Mar 22 Mar - 9:58 | |
| T'inquiète donc pas, c'est pas très grave. Et hop validée, bon jeu petit Cygneau! =) |
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| Sujet: Re: Michelangelo Leone | |
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